Le samedi 20 janvier à l'initiative du comité des fêtes, l'église Saint Jean-Baptiste accueillera la Nuts Gospel Company pour un concert à 17 h 30.

L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du lundi 27 décembre 1993.

Une salle comble et des décorations à la hauteur de l'événement

Photos archives, décembre 1993

Les enseignants et leurs élèves du primaire ont cette année encore organisé de très belle manière le traditionnel loto, qui a réunit dans un théâtre municipal superbement décoré un grand nombre d'amateurs de quines. Une ambiance de fête familiale a accompagné parents, enfants, enseignants, tout au long de cette veillée de fête marquée par la prestation sur scène à l'heure de l'entr'acte, de talentueux chanteurs et danseurs qui ont donné le meilleur d'eux-mêmes pour soulever l'enthousiasme d'un parterre de connaisseurs.

La ronde des CE1

Les élèves du cours préparatoire, des cours élémentaires et cours moyens sont à féliciter ainsi que leurs enseignants, Mmes Thérèse Carcy et Lisette Richou, et MM. Jean Plauzolles, José Navarro et Serge Garus. Bonnes fêtes de fin d'année à tous !

Les mamans super organisées comme toujours

Les cours de solfège de Sophie...

... portent leurs fruits

Charles Bonté leur a fait partager un heureux moment, entre gaîté et nostalgie mêlées

Dans le cadre des festivités de fin d’année, les pensionnaires de l’hôpital local étaient réunis mercredi 20 décembre, à l'invitation de l'équipe emmenée par Valérie Taurines, animatrice de l'établissement. Le regard des aînés réunis dans le grand salon se sont très vite tournés vers la scène, où Charles Bonté, auteur, compositeur et interprète, a proposé un récital de chansons françaises.

De grands classiques populaires du siècle passé (1930 à 1970), de Reggiani à Montand, Brel, Aznavour, Adamo, ont offert des moments d'émotion à un auditoire multi générations invité à fredonner des compositions éternelles. Invité également à retrouver le nom des interprètes ou des compositeurs, dans un challenge relevé avec brio par Claudine, tandis que Gilles depuis la corbeille offrait un bref « finale » à ses amis.

Encore quelques refrains d’un remarquable tour de chant, un Noël blanc, et il était l’heure de refermer momentanément un bel album des souvenirs. L'heure d'une pause gourmande était proche, partagée grâce aux bons soins du personnel des Hauts de Bon-Accueil et de chaleureux applaudissements ont conclu ce nouvel après-midi festif, très apprécié au pied de la colline de Roquefère.

Un peu plus tôt en ce mois de décembre, les pensionnaires avaient participé à une animation autour de l'expression théâtrale avec Mélodie Rivière (« Les pas perdus » de Denis Bonal), et à une Fête des anniversaires, avec Esther Noury. L'occasion de souhaiter à nos aînés, de belles fêtes de fin d'année.

La compagnie des « Cousins » a retrouvé les planches

Elle s'était ouverte le 7 décembre avec une soirée auberge espagnole au café des Sports, pour prendre fin mercredi 20 décembre en compagnie des « Mioches d'Elsa » et une soirée dédiée aux sonorités irlandaises, l'édition 2023 du festival « Choses et autres au théâtre » aura pu réchauffer les artères engourdies de la cité chalabroise. Au fil des animations et des rencontres, le collectif « Et tant pis si ça vous fait rire » a réussi à fédérer autour d'une initiative qui visait « à établir des relations harmonieuses et créatives, et à faire vivre le petit théâtre de Chalabre, tout en renforçant les liens sociaux ».

Tout au long d'un rendez-vous aux saveurs hivernales, le festival a permis de tisser des liens entre acteurs et artistes locaux, à l'image entre autre de la soirée du samedi 16 décembre. Et un spectacle offert par la compagnie des « Cousins », laquelle a proposé une version revisitée de « La vie en rose ». Alternant grands classiques de la chanson et couplets moins susurrés, les artistes présents sur la scène du théâtre Georges-Méliès ont libéré leurs sentiments et stimulé l'auditoire.

Tandis qu'au pied d'un décor changeant, les musiciens Guillaume Bernauer, Rudolph Klotz et Vincent Lefebvre enveloppaient le jeu des interprètes. Avec un intermède aux allures d'hommage imprévu à Guy Marchand, et à sa destinée, croisée la veille.

Auparavant, avant le lever de rideau et avec classe, Geoffrey Thomas avait échangé son piano contre le traditionnel brigadier. Il était l'heure des trois coups. Chapeau à Diabasis, Eckco, Cap culture, Flow moove, un quatuor d'associations initiateur de dix rendez-vous aussi divers que vivants.