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danielle tisseyre

  • Gueytes-et-Labastide : Danielle n'est plus

    Après le décès de Danielle Tisseyre, survenu dernièrement à Gueytes-et-Labastide, ses proches ont souhaité lui rendre hommage.

    danielle tisseyreLe mardi 25 octobre dernier, la cruelle nouvelle est brutalement tombée. Après avoir courageusement lutté contre la longue et mauvaise maladie, Danielle Tisseyre s’est éteinte auprès de son mari vers 5 h du matin, à l’âge de 70 ans. Danielle était arrivée de Toulouse en 1974, en joignant son destin à Jean-Paul Tisseyre, un enfant de Gueytes. Elle s’intégra rapidement à la vie du village. Bientôt, un petit garçon, Eric, viendra faire la joie de ce jeune foyer et des grands-parents.

    C’est un rayon de soleil qui fût amené par cette jeune fille, toujours joviale, souriante, prête à rendre service à n’importe qui dans ce petit village qui ne demandait qu’à accueillir des jeunes comme elle, pour donner un peu d’animation dans ce monde rural.

    Il faut dire que dès son arrivée, Danielle n’a pas reculé devant les responsabilités qui allaient bientôt l’accabler, car très vite sa belle-mère Noélie est tombée gravement malade, et sans relâche pendant trois longues années, Danielle s’est donnée sans compter pour soigner et agrémenter les journées de Noélie, qui s’est éteinte en janvier 1977.

    Par la suite, elle dût assumer la tache de soigner son beau-père Joseph, tombé lui aussi gravement malade en 1982, et qui décèdera en 1985. Pour terminer, voilà un peu plus d’un an, ce fut autour de son beau-frère Albert de tomber malade, emporté en deux mois par la maladie. Dans le même temps, Danielle travaillait comme technicienne de surface à la clinique La Soulano de Lavelanet.

    Danielle avait le cœur sur la main, car en plus de son travail et des responsabilités familiales, elle était toujours prête à rendre service, à un ami, un voisin, qui n’avait rien pour se déplacer, pour aller faire des courses ou chez le médecin.    

    Malheureusement, la maladie cruelle et sournoise n’a pas tenu compte de tout ce qu’elle avait fait pour rendre service à sa famille ou ses voisins, et s’est attaquée à elle en septembre 2015. Après deux lourdes interventions chirurgicales à l’hôpital Pierre-Paul Riquet de Toulouse, son état s’est soudainement aggravé, jusqu’à son dernier souffle, mardi 25 octobre dernier.

    A son mari Jean-Paul qui a veillé sur elle à la maison tout au long de sa maladie, à son fils Eric et à sa petite-fille Océane, qui ont contribué à ses soins, et à tous ceux que ce deuil afflige, sincères condoléances et mots d’encouragement.