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Sport - Page 550

  • Football : Le FCC a bien voyagé

    COC -FCC.jpgLe vétéran Coco Pereira a montré la voie à ses cadets.

    Dimanche 22 septembre, la deuxième journée du championnat de première division emmenait le onze du FCC I en Lauragais, où il devait affronter les réservistes du CO Castelnaudary. Face à une jeune équipe chaurienne évoluant sur son pré, le onze du coach Philippe Gérard l'a emporté sur le score étriqué de 1 à 0 (score acquis à la pause). En mettant plus d'intensité dans son jeu, le FCC a réussi à gommer la prestation en demi-teinte rendue à Quillan lors de l'ouverture du championnat.

    Son entrée en matière sera des plus offensives, et dès la 5e minute, le capitaine Hugues Ferrié venu presser une défense fébrile ouvre la marque (0-1). Le premier temps se soldera par une nette domination chalabroise, avant que Kévin Cazas entré en cours de deuxième mi-temps ne se procure deux occasions qui auraient pu plier la rencontre. Les dix dernières minutes seront à l'avantage d'un COC poussant afin d'arracher l'égalisation, mais les prestations de Mickaël Padet (stoppeur) et Anthony Rosich en milieu, conjuguées aux arrêts déterminants d'Alexandre Cassagnaud, assureront les quatre points de la victoire pour le onze du président Olivier Cazas. Bon arbitrage d'Olivier Masson, et mention à Alexandre Pereira, Hugues Ferrié et Alexandre Cassagnaud. Prochain match le 6 octobre à Belvèze face à Razès-Lasserre.

    Dans le même temps, les réservistes du FCC II se rendaient à Saint-Papoul, pour l'ouverture du championnat de 3e division. Un déplacement gagnant pour les doublures du team fanion, qui l'emportent sur le score de 2 à 1 (score acquis à la mi temps). Christophe Pierron ouvrira la marque, et si l'OSSP parvient à égaliser, Théo Rosich donnera un avantage définitif aux "bleu et blanc". Bonne prestation de Julien Hamida, arbitre bénévole. Le FCC II sera opposé aux formations de Bram III, Saint-Martin-Lalande, Salles-sur-l'Hers, Les Crozes, Fanjeaux III, Les Martys, Mas Stes-Puelles, Saint Papoul III et Lasbordes II, où le FCC II se rendra le 6 octobre.

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  • Paris-Honfleur à vélo : Quatre Chalabrois l'ont fait

    Le valeureux quatuor a dû surmonter bien des épreuves pour atteindre Honfleur à la lumière des réverbères... Tous crevés, mais heureux. Le texte ci-dessous relate un périple vécu de l'intérieur, et que nous devons à Marc Pont, embarqué au coeur du peloton.

    Paris-Honfleur 2013.jpgArrivée aux greniers à sel de Honfleur. De gauche à droite : Marc Pont, Michel Raynaud, Michel Merle le chauffeur, Christian Laffont, Jean-Pierre Silvestre.

    6 h du mat, vélos étincelants, avec Michou, notre ami chauffeur, nous quittons – Michel Raynaud. Jean-Pierre Silvestre. Christian Laffont et Marc Pont - le QG de Montfort l’Amaury dans les Yvelines pour un départ groupir à Levallois Perret à une encablure de la capitale. Fringants et pimpants nous donnons nos premiers coups de pédales et, malgré un crachin persistant, sommes loin d’imaginer ce qui nous attend dans les 216 km à venir.

    Pluie et klaxons      Sortie laborieuse d’une banlieue parisienne pleine de feux tricolores, de carrefours giratoires, de passages à niveau et des klaxons de nos Franciliens toujours pressés pour aller ne rien faire en ce samedi 14 septembre. Nous laissons, enfin, l’agglomération sous un plafond à 100 m alternant le gris et le noir, il pleut des cordes et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, sommes trempés comme des canards. Qu’à cela ne tienne, à l’abri tout relatif d’un vent d’ouest pleine bille qui ne nous quittera plus et dans les roues encore nombreuses, nous rallions Thoiry, premier ravito au 50e. Jean-Pierre a déjà crevé deux fois !

    Concours de crevaisons     Café, chocolat, far breton et Michou qui brille par son absence, on repart, mouillés jusqu’aux os, direction Glisolles, à 72 bornes. Et les vrais enquiquinements commencent. Marc décroche le pompon avec cinq perçages à son actif. Fil rouge de l’édition, avec des crevés tout au long de la trajectoire. Il n’y a plus une seule chambre à air dans tout le Calvados. Jean-Pierre, toujours la main dessus avec un courage et une dextérité hors du commun, rustinant à outrance, nous sauve d’une inévitable voiture-balai, pleine à craquer. Nous rallions Glisolles tant bien que mal pour un taboulé-poulet enfilé à la barbare. La route toujours vallonnée est dégagée. Sur 2900 inscriptions, nous ne sommes plus que 2200, entre les dégonflés du petit matin, les abandons et les « sans chambre à air » déconfits au bord de la route. Fort heureusement, l’ambiance est au beau fixe. Frigorifiés, nous reprenons nos montures pour en découdre et surtout faire du vélo ! Autant nous tourner en dérision et se marrer de nos déboires, pas de jérémiade, ni de lamentation, la route est encore longue, plus que 122 km ! Petit à petit nous retrouvons nos jambes de 20 ans (!) et assurons le tempo dans les groupes que nous reprenons, la cadence est vive. Christian, au relais, bis-repetita, crève, coupant notre élan, et nous revoilà dans le cambouis, Jean-Pierre aux manettes. Dommage, Laffont était devant.

    Trois heures de retard     Raynaud enchaîne, Silvestre, rageur, nous mène un train d’enfer et, de concert, Pont en remet quelques couches. Sommes tous dans le coup, sans illusion pour rattraper nos trois heures de retard cumulé passées à réparer et même mendier chambre à air et pneu éclaté, habillés d’eau de pluie et, pas de celle de la Manche. On roule comme des métronomes et, nez dans le guidon, Marc expédie le gruppetto Kerkorbien dans la campagne normande, hors circuit et hop…. quinze bornes supplémentaires. Marche arrière gratuite mais, comme chacun le sait, « Quand on aime, l’on ne compte pas ». Sourires aux lèvres nous arrivons à Appeville, dernier ravito où l’on s’empiffre des restes et sirotons quelques timbales de menthe à l’eau. Faut pas traîner, bicyclettes, vannes à deux balles, provocs et rigolades, la dernière étape de quarante kms sera avalée sans sourciller et, miracle, sans crevaison ! On a voulu voir Honfleur, l’on ne verra pas Honfleur, sinon à la lueur des lampadaires. Et la mer ? C’est où la mer ? En revanche, les greniers à sel, Michou en tête, nous ferons fête et nous, la fête aux casse-croûtes. Nos compteurs indiquent 236 km. Quadriceps endoloris certes, mais quel plaisir d’en finir !

    21 h, retour à Montfort, notre pilote expérimenté qui a trouvé le temps long, nous ramène sans encombre. Vivement dimanche, on refera la course devant un cassoulet de derrière les fagots. En matière de déconne, l’on atteindra les sommets sinon le pire. Minuit, collation, tout le monde au plume. 2014 : 30e édition. Sous le soleil exactement !

  • Avec la Gaule puivertaine

    La Gaule puivertaine-Le lac, informe ses amis pêcheurs que la pêche à la truite sera à nouveau possible à compter du samedi 28 septembre à partir de 8 h et aux horaires habituels. Des truites seront à nouveau déversées dans le lac. A vos lignes ! 

    Renseignements au 04 68 20 18 46.