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Une partie de pétanque très disputée
Photo Maurice Mazon
Firmin Icre mesure, surveillé de près par René Noy, le coiffeur du pont du Blau (accroupi à gauche). En chemise blanche et débardeur, debout, René Icre. A gauche, tête nue, Georges Subreville, au centre, debout et doigt pointé, Mario Roncalli. A droite, béret et mains sur les genoux, Tété Marius, cordonnier sur le cours Sully. A gauche, chemise blanche, Albert Gabanou (sous réserve).
Photos Maurice Mazon
Sur une ligne de crête dominant Chalabre, entre Blau et Chalabreil, un groupe fait une pause, chemin faisant vers la ferme de l'Esturgat. De gauche à droite, Marie-Jeanne Pons, épouse d'Antoine Pons, Andrée Amat Faucheux, Camille Amat, le chien du « Papa d'Lolo », Maurice Mazon, Suzanne Hygounet, Rose Garros Malet.
Halte avec vue sur les premières pentes du col du Bac et le village de Montjardin
Mardi-Gras s'éloigne, et il apparaît que le rendez-vous annuel avec le prince de l’éphémère, sera cette année encore mis sous cloche. Dans l'attente d'une hypothétique missive annonçant l'arrivée de Badaluc le 52e (espérée déjà en 2020), retour en trois images, vers les carnavals d'un temps passé. Immortalisés sous l'objectif de Maurice Mazon, vers le milieu des années 1950.
A l'angle des Cours d'Aguesseau et Colbert, Georges Marty, béret vissé sur la tête et volant à droite, assure le transfert du « pailhassut », attendu du côté de l'hôtel de ville
Blocage aux abords du bureau de tabac de Claire Castres. Une drôle d'escouade est à la peine pour manœuvrer la pompe à bras du centre de secours. Sous le regard perplexe de Jean Cabanier, appariteur... et chef de corps
A hauteur du bassin, les Chalabrois sont une nouvelle fois au rendez-vous
De profil, Raymonde Garros, au second plan, Henriette Déramond, Paulette et Georges Sié
A l’heure où une bactérie s’acharne à éclipser la moindre rencontre sportive, retour vers les années 1950, quand la colline de Roquefère se contentait d’éclipser le soleil. Offrant la voie libre aux ruminants locaux, invités à brouter un peu de la pelouse du stade Jean de Mauléon. Cadrée dans l'objectif de Maurice Mazon, notre vache ainsi immortalisée semble évaluer la distance qui la sépare des pagelles (les poteaux de rugby pour les non initiés).
Photo Maurice Mazon