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Patrimoine

  • Il y a 50 ans naissait l’OPVC

    opvc chalabre

    Un collectif de doux nostalgiques communique :

    « Il y a cinquante ans naissait la fanfare des Mariniers du Chalabreil qui deviendra plus tard l’OPVC (Opération Vacances en Chalabrais). Une fanfare improbable, baroque, bricolée de bric et de broc, mais habitée d’une douce folie. À son origine, deux personnalités atypiques et profondément attachantes : René Berland et Gérard Roncalli.

    Au milieu des années soixante-dix, alors que le pays chalabrais traversait un marasme économique marqué par les plans de restructuration de l’usine Canat jusqu’à sa fermeture définitive, eux ont choisi une autre voie : celle du sourire, de la fête, de la convivialité, de la musique et de l’amitié. Avec leur fanfare, ils ont décidé de rendre aux habitants un peu de joie, de légèreté et de bonne humeur. Une manière simple et chaleureuse de résister à la morosité ambiante, de rassembler, d’animer un village tout entier.

    opvc chalabre

    C’est cette étincelle-là, née il y a un demi-siècle, que nous voulons raconter aujourd’hui. Richard Conte, Christian Moralès et Christophe Roncalli ont eu l’idée de retracer « L’Odyssée de l’OPVC ». Sur le blog Chalabre Actus, et au rythme de deux épisodes par semaine, nous nous proposons de raconter les aventures de ce groupe qui a marqué durant quelques décennies la vie d’un village, d’un canton et même au delà. Nous allons d’abord collecter des photos et autres documents qui illustreront la vingtaine d’épisodes classés par thèmes et par ordre chronologique que nous choisirons de raconter. Nous avons besoin de vous pour collecter des photos, articles de presse etc… ou tout simplement pour nous confier vos souvenirs.

    Il nous a semblé essentiel aujourd’hui pour marquer ce demi-siècle de nous remémorer cette Odyssée, ce souffle collectif, ce chant de liberté, cette exubérance fraternelle, cette façon de transformer la grisaille en lumière afin que cette extraordinaire aventure humaine ne sombre pas dans l’oubli ».

  • Le traditionnel charivari de Fluris, c'est samedi

    fluris chalabre

    En décembre 1987, 290 ans après la mort de Jacques Fleury, Patrick Lasseube alors pensionnaire à l'université de Toulouse Le Mirail présentait un travail de fin d'études portant sur un sujet cher aux Chalabrois, intitulé : « Fluris, Charivari traditionnel à Chalabre (Aude) ». Un ouvrage dans lequel et entre autres informations, le jeune universitaire mentionne les versions d'un collectage réalisé en 1972 par Jeanne Juliani († Décembre 2016), institutrice à Chalabre, puis en 1986 par les élèves du collège Antoine-Pons, dans le cadre d'un projet d'action éducative sous la direction de Michel Bertin enseignant, et Cathy Hernandez :

    Collectages Fluris.pdf

    fluris chalabre

    Cour de l'école Louis-Pergaud, mardi 9 décembre 2025

    A quelques heures du charivari de Fluris, les petites sections de l'école communale de Chalabre ont reçu la visite d'une délégation « d'arrossegaïres » impénitents, accueillis par l'équipe éducative de Louis-Pergaud. Chacun a tenu à évoquer la tradition ancestrale de cet événement, avant d'appeler la très jeune assemblée et leurs parents à se joindre au mouvement, samedi 13 décembre à 18 h sous la halle chalabroise. En ce beau début d'après-midi ensoleillé, les élèves ont reçu un flyer d'invitation, élaboré par le collectif Drôles de Dames. A samedi ! 

  • De l'église Saint-Pierre à la chapelle du Cazal,... en passant par le Lauragais

    marie-madeleine cazal

    Les carreaux à ses pieds et les stalles au deuxième plan laissent à penser que Marie-Madeleine a été un temps hébergée sous la nef de l'église Saint-Pierre de Chalabre. Ici aux côtés de... Saint Pierre (?), elle quittera bientôt les ouailles chalabroises pour le Lauragais

    Photo non datée

    Marie-Madeleine Juillet 2000.jpg

    Avant de revenir en Kercorb, après que le temps ait passé

     Marie-Madeleine blessée, se trouve aujourd'hui au coeur de la chapelle du Cazal. En juillet 2000, après maintes pérégrinations et un dernier voyage express sur la Nationale 20, la pécheresse de la ville de Magdala avait enfin retrouvé ses chers paroissiens.

    Photo archives, Eté 2000