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Associations

  • L'agenda 2026 de l'Université Populaire en Kercorb

    upekSamedi 10 janvier à 18 h à la salle des fêtes de Rivel, l'UPEK engagera un nouveau cycle de conférences, en compagnie de Frédéric Bourdais : « Quelles sont les conditions pour qu’une société se sente heureuse ? Le bonheur peut-il faire l’objet d’une politique publique ? Avec l’exemple du Bouthan ». 

    Frédéric Bourdais, agrégé de philosophie, ancien administrateur parlementaire et enseignant à Sciences Po, a été invité à plusieurs reprises pour enseigner à la fois le droit et la philosophie politique à la Jigme Singye Wangchuck School of Law ; l’unique faculté de droit du Bhoutan qui contribue, notamment, à la réalisation des objectifs du « bonheur national brut ». Il s'est installé dans le Pays-d'Olmes avec sa famille. Son épouse est médecin à Mirepoix où son fils est scolarisé. Il participe depuis son arrivée, au Festival des cultures tibétaines de Montbel, formidable initiative lancée par M. Dorjé Chenaktsang qui fédère autour de lui de plus en plus de personnes. 

    « Quelles sont les conditions pour qu’une société se sente heureuse ? Le bonheur peut-il devenir l’objectif légitime de l’action publique et en quoi le Bhoutan -qui se revendique comme le « pays du bonheur »- peut-il nous éclairer ?

    Le bonheur est-il un objectif possible, voire nécessaire, de la politique ? Si tel est le cas, comment l’atteindre et selon quels indicateurs ? Quels enseignements pouvons-nous tirer des tentatives, notamment en Occident, de le réaliser ici et maintenant ? Pourquoi ces dernières se sont-elles presque toujours soldées par de funestes exactions et le malheur des peuples ?

    Or, il existe un pays qui revendique le bonheur comme un objectif, sinon l’objectif ultime, de l’action publique : le Bhoutan, pays lointain et mystérieux, enclavé entre l’Inde et la Chine et niché sur la chaîne himalayenne. Cet État-membre des Nations Unies depuis 1971 est-il, à ce titre, une exception ? Avant de répondre à cette question, il faudra d’emblée tenter de recenser les contradictions inhérentes aux différentes tentatives de réaliser ouvertement le bonheur des peuples. Et si le Bhoutan avait réussi là où nous avons échoué ? Interroger le bonheur national brut bhoutanais, n’est-ce pas en définitive éloigner temporairement notre regard pour mieux questionner le fonctionnement de notre propre société ? ». 

    Entrée gratuite pour les adhérents, participation libre pour les non adhérents.

    Le programme des conférences pour 2026 2026 UPEK Programme.pdf

    Courriel : upek11@laposte.net

    Blog : http://upek.over-blog.com 

  • Prunes, tête de veau et bonne humeur au hameau de Roubichoux

    compagnons de roubichoux

    Une « Eau Bleue » en devenir excite l'impatience des Compagnons

    De gauche à droite, Gilles, Georges, Mario, Pierre, Romain, Gérard 

    Il y a des traditions auxquelles les Compagnons de Roubichoux ne dérogent pas. Celle-ci commence par six fûts, remplis d’un subtil assemblage de six variétés de prunes, portés avec sérieux (et quelques efforts) jusqu’à Hervé et Romain Peyronnie, bouilleurs ambulants en exercice à Sonnac-sur-l'Hers. L'objectif annoncé étant de transformer le fruit en une eau-de-vie appelée à devenir la fameuse et divine Eau Bleue.

    Mais à Roubichoux, les Compagnons ne se contentent pas de distiller. Pendant que certains surveillent les fûts, d’autres mettent la main à la pâte, ou plutôt à la terre. Plantation d’arbustes sous la grande terrasse du gîte Albizia, taille des trois cyprès de bienvenue à la source, chacun trouve de quoi s’occuper.

    Côté sécurité, la chapelle de Roubichoux a également bénéficié d’une intervention professionnelle. Frédo et Bernard, électriciens de métier, ont procédé à la modification du tableau électrique, pour que la lumière soit et qu’elle le reste, sans danger pour personne.

    compagnons de roubichoux

    Le chef au béret a régalé ses amis compagnons

    Bien sûr, tous ces efforts ont été largement récompensés autour de la table, par le biais d'un repas d’exception, préparé avec enthousiasme et beaucoup d’amour par Henri Sancho, assisté de Damien, Franck, Brigitte, Michèle, Thérèse, Marijo et Gilles. Au menu, salué par 23 convives, une tête de veau et ses légumes frais ont été au centre des discussions.

    La Confrérie adresse un immense merci à toutes et tous, aux Compagnons et à leurs amis, qui à l'évidence savent tout faire, travailler sérieusement, et ne jamais se prendre au sérieux.