Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Associations

  • Avec les Petits Frères des Pauvres

    petits frères des pauvres chalabre

    Dans le cadre des animations visant à créer du lien social et à lutter contre l'isolement des personnes âgées de Chalabre et alentours, le collectif des Petits Frères des Pauvres proposait tout dernièrement une rencontre intergénérationnelle au centre de loisirs de l'avenue Auguste-Cathala.

    Un beau moment de partage placé sous le signe de la convivialité, qui a permis de partager d'agréables temps de jeux. Les enfants sont venus tout naturellement au-devant de leurs invités, avant d'échanger dans une ambiance joyeuse. Les rires n’ont pas manqué et les aînés ont été touchés par l’énergie et la spontanéité des enfants.

    petits frères des pauvres chalabre

    Un goûter est venu clôturer un après-midi riche en activités simples mais fédératrices. L'initiative unanimement appréciée, est venue confirmer l’importance de ces temps de partage dans la vie chalabroise.

    Le prochain rendez-vous était fixé au mardi 25 novembre, le collectif des bénévoles a accompagné ses protégés jusqu'à l’hôtel de France où un excellent repas a été partagé.

    petits frères des pauvres chalabre

    petits frères des pauvres chalabre

  • C'était hier : La battue tourne court pour le vieux solitaire

    L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du vendredi 25 novembre 2005.

    diane de sonnac-sur-l'hers

    Pirate a accepté de poser avec ses compagnons de battue

    Photo archives, Novembre 2005

    Il s'était vraiment cru à l'abri là-haut sur les hauteurs de Camplimoux, alors que le soleil entreprenait une descente prudente entre les pics de Soularac et Saint-Barthélémy. Un paysage de carte postale fatal à un vieux solitaire « estourbi » sans coup férir par Christian Rougé, une des fines gâchettes de la Diane de Sonnac-sur-l'Hers. A ses pieds, un spécimen impressionnant qui aura chèrement vendu sa peau au terme d'une bataille l'ayant mis aux prises avec les nemrods sonnacois et leurs chiens.

    Compagnons à quatre pattes qui déplorent dans leurs rangs un blessé grave, mais dont les jours ne sont plus en danger, victime d'un duel acharné. Après avoir grandement contribué au succès de leurs maîtres, les chiens ont sagement escorté l'équipe emmenée par Julien Cathala jusqu'au village où ils ont eu l'insigne honneur de se joindre au festin. Non sans avoir auparavant épinglé le malheureux « singularis porcus » à une balance de Roberval, laquelle affichait le poids respectable de 130 kg. Comme stipulé dans le contrat, Pirate et ses compagnons ont eu un petit bout de viande, mais aussi et surtout, une grosse pensée pour leur pote, auquel ils souhaitent un prompt rétablissement.                    

  • C'était hier : Comment fabriquer un four à pain en argile ?

    L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du dimanche 21 novembre 2010.

    frédéric paillard,kercorb patrimoine

    Les élèves de Frédéric Paillard vont pouvoir expérimenter bientôt une première fournée

    Photos archives, Octobre 2010 

    Comment fabriquer un four à pain en argile ? Telle était la question posée tout dernièrement à Frédéric Paillard, lequel a comme à son habitude, pris grand plaisir à répondre. Et ce à la faveur d’un stage proposé sur les hauteurs de la colline de Terre-Blanche, par l’association Kercorb Patrimoine, dont il est un animateur compétent et assidu.

    Arrivés aux abords des ruines de l’ancien oppidum érigé 500 ans av. J-C, cinq élèves étaient aussitôt invités à exploiter un ensemble de matériaux se trouvant à même la place : osier, argile, bouse de vache (pour le liant), eau de source, et paille. Avant toute chose, notre spécialiste suggérait la confection d’une cloche en osier, en guise d’armature. Il suffisait ensuite d’habiller le tout à l’aide de boudins d’argile, mélangée à de la paille et à de la bouse. Il ne fallait surtout pas oublier de ménager une porte, ainsi qu’une cheminée, afin de copier au mieux, un procédé très courant chez nos ancêtres les Gaulois.

    frédéric paillard,kercorb patrimoine

    Après avoir apporté la touche finale à cette petite œuvre d’art, nos stagiaires n’avaient plus qu’à s’armer de patience et attendre une bonne trentaine de jours. Laps de temps nécessaire avant de pouvoir soumettre le four à l’épreuve du feu. Ce qui aura pour effet de brûler l’osier et de cuire une argile alors insensible aux intempéries. A l’heure qu’il est, un four à pain sèche sur les pentes de « Tatauba », impatient de remplir les fonctions d’un outil à l’efficacité garantie pour plusieurs années.

    frédéric paillard,kercorb patrimoine

    Frédéric Paillard (béret) a guidé ses élèves jusqu'au terme du processus 

    frédéric paillard,kercorb patrimoine

    frédéric paillard,kercorb patrimoine

    frédéric paillard,kercorb patrimoine

    frédéric paillard,kercorb patrimoine

    frédéric paillard,kercorb patrimoine