L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du vendredi 6 novembre 2015.

L'équipe enseignante autour d'Isabelle Boulbet

Photo archives, Novembre 2015

Après les vacances de Toussaint, les élèves du groupe scolaire Louis-Pergaud ont retrouvé copains et tableau noir, avec l’enthousiasme qu’ils avaient déjà manifesté en septembre. Un retour sans problème pour un effectif stable, accueilli par Isabelle Boulbet directrice de l'établissement. Les 101 élèves présents à l'appel (4 les rejoindront en janvier 2016), n'auront eu aucune peine à trouver leurs marques, au sein de cinq classes peu chargées.

L'équipe éducative autour d'Isabelle Boulbet, responsable de la classe CP et CE1, se compose ainsi : Stéphanie Barthe (petite et moyenne section), Elodie Charpiot (petite et grande section ), remplaçante de Gisèle Chesta, Nadège Fraterli (CE2 et CM1), Virginie Payet (CM1 et CM2), remplaçante de Marie-Aude Boudet, Blaise Galtier (complément temps partiel), Muriel Noy et Chantal Tisseyre (Atsem).

Sur la base d’un projet éducatif axé sur l’aide aux enfants en grande difficulté (français et maths), sur la musique, avec l’intervention du groupe Skeleton Band, les écoliers du Kercorb vont également pouvoir s’adonner à des activités sportives (piscine, poney). Dans le cadre notamment des activités périscolaires (TAP), proposées le vendredi après midi et gratuites pour les familles. L’ensemble de ces projets est soutenu et financé par la municipalité, avec le concours de l’association « Framboise-Myrtille » (coopérative scolaire).

Il faut souligner pour conclure, que le groupe scolaire Louis-Pergaud accueille le centre aéré dans ses locaux, jusqu’à la fin du chantier de construction de la cantine de la crèche. Avec des remerciements à l’égard des services de la mairie, qui ont mis l’été à profit pour effectuer la rénovation des cours de récréation. Excellente année scolaire à tous.

L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du samedi 24 octobre 2015

Alain Vintenon a initié ses élèves à la calligraphie

Photos archives, Octobre 2015

A la faveur d’un projet pédagogique initié par l’équipe enseignante de l’établissement chalabrois, les élèves des classes de 5e se voyaient tout dernièrement proposer une incursion dans le Moyen-âge. Un voyage dans le temps dont la première étape se situait au pied des remparts de la Cité de Carcassonne. Au terme d’une visite incluant un rendez-vous au cœur du Château comtal, les potaches ont réintégré le Kercorb pour y poursuivre leur immersion dans l’époque médiévale. Mis en appétit grâce à un repas spécialement préparé par les services du self de la Communauté de communes, dans le respect des pratiques culinaires d’alors, le voyage pouvait continuer.

C’est ainsi qu’ils ont participé à des ateliers de calligraphie, d’enluminure et de musique, guidés par Alain Vintenon, professeur d’arts plastiques, et Pascale Sicard, professeur d’éducation musicale (photo ci-dessus). Un programme passionnant, qui a permis la création d’une bande son avec instruments d’époque, pour accompagner une bande dessinée façon enluminure, sur le modèle des chansons de geste du temps jadis. Nos potaches ont ainsi laissé parler leur imagination, dans le cadre d’un programme institutionnel procurant un agréable sentiment d’évasion.

Vendredi 3 octobre, les élèves du collège Antoine-Pons ont élu leurs délégués de classe dans un cadre peu ordinaire. Pour la première fois, le traditionnel scrutin ne s’est pas déroulé dans l’établissement, mais dans la salle du conseil municipal de la commune.

À l’initiative d'Anthony Le Reun, conseiller principal d’éducation (CPE), cette délocalisation visait à faire vivre aux collégiens une véritable expérience citoyenne, au plus près des conditions d’un scrutin officiel. Pour l'occasion, la salle de vote avait été aménagée comme lors des élections municipales ou présidentielles, avec isoloir, urne et registre d’émargement.

De 9 h à 12 h, les classes de 5e, 4e et 3e se sont succédé pour élire leurs représentants, accueillies par Céline Amiel, maire adjointe. L’après-midi était réservé aux élèves de 6e, cette fois Marie-Annick Serrus-Crampagne, conseillère municipale, officiait derrière l'urne. Accompagnés par leur CPE et leur professeur d'histoire, les jeunes électeurs ont pu découvrir le déroulement d’un vote dans les règles de l’art, de l’isoloir au dépouillement.

« L’idée était de donner à ce moment fort de la vie collégienne une dimension plus concrète et symbolique. En votant dans la salle du conseil municipal, les élèves prennent conscience que leurs voix comptent et que la démocratie commence dès le collège ».

L'expérience très appréciée des élèves et des enseignants, a également permis de renforcer encore le lien entre le collège Antoine-Pons et la vie de la commune chalabroise.

A l'heure du dépouillement

L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 21 octobre 2010.

Les élus du canton autour d'André Viola pour étudier le projet de la future chaudière à bois

Photos archives, Octobre 2010

Marie-Thérèse Roque, principale du collège Antoine-Pons, accueillait tout dernièrement André Viola, vice-président du conseil général, et Roger Rosich, conseiller général du canton, dans le cadre du projet de chaufferie bois, initié par le conseil général de l'Aude. Ce projet d'installation s'inscrit dans le projet « Audevant » (projet durable des Audois, voir le site Audevant) et dans le projet local Agenda 21 (dans lequel s'est inscrit le collège) pour mettre en œuvre les concepts de développement durable. C'est ainsi que le collège Antoine-Pons, dont la chaudière à mazout donne des signes de faiblesse, va être équipé d'une chaudière à bois qui chauffera également l'école primaire et l'école maternelle (pour la rentrée 2012).

Le conseil général, avec comme partenaires financiers la Région et l'Ademe, va également construire un nouveau local adjacent au collège qui contiendra la chaudière à bois, l'ancienne chaudière à mazout (en réserve) et le silo des plaquettes pour environ un mois de chauffe, mais comme le rappelait Roger Rosich conseiller général (photo ci-dessus), ce sont les travaux de génie civil qui sont les plus onéreux. Pour un coût total de près de 270 000 €, les élèves de ce secteur seront des précurseurs pour évaluer les bienfaits de cette source d'énergie renouvelable et peu polluante.