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châtaignes

  • L’O.P.V.C. a marié la châtaigne au vin primeur

    L'article ci-dessous avait paru dans l'édition de l'Indépendant du dimanche 29 novembre 1998. L'arrivée imminente du fruit de la vendange nouvelle, offre l'occasion d'envoyer un petit clin d'oeil aux amateurs rencontrés sur les cours chalabrois, chaque troisième vendredi de novembre. 

    Thomas 97.JPGUn vrai travail de force pour donner tout son craquant à la châtaigne (photos archives café des Sports, Novembre 1997).

    Fallait-il qu'ils aiment les châtaignes et le vin primeur pour braver d'aussi glaciales températures, verre à pied à la main. C'était le week-end dernier sur les cours chalabrois et à la tombée de la nuit, les amateurs de vin nouveau se sont retrouvés nombreux qui chez Thom et Marie, qui chez Fred et Betty, afin de pouvoir découvrir et apprécier les arômes parfumés et fruités du cru 98. Les vignobles français sont un héritage de l'Empire romain, s'ils ont survécu à son déclin nous dit l'Histoire, c'est grâce aux moines et aux religieux. Certes mais pas seulement, si l'on en juge par les moyens mis en œuvre vendredi afin d'inverser la courbe d'une température plongeant vers le zéro.

    La Paix Châtaignes.JPGLes virtuoses de l'OPVC sur la terrasse du café de la Paix (photos archives Novembre 1996).

    Parfaitement regroupés autour d'un feu salvateur et dans le crépitement des châtaignes à la braise, chacun a respecté à la lettre une tradition établie un beau jour d'automne 1985. Un peu de Chardonnay, un peu de Beaujolais, un peu de Chardonnay, un peu de Gaillac, pour une dégustation opérée avec parcimonie et modération, chacun gardant jusqu'au bout une admirable lucidité. Ce qui est la moindre des corrections lorsqu'il s'agit de faire honneur au primeur, «vin de soif à boire sans arrière-pensée !», selon la formule consacrée en pays de Bourgogne. Grappillées au hasard de discussions animées sur le zinc de la Paix ou du café des Sports, les anecdotes n'ont pas manqué tout au long d'une soirée comme doit les aimer Saint Martin, patron des aubergistes.

     Didier Oct 2001 .JPGDidier à pied d'œuvre au pied de la cheminée du France (Hôtel de France 2001).

  • Les Hauts de Bon-Accueil ont fêté la châtaigne

    Claire et Georges Fabre ont profité de ce rassemblement chaleureux pour célébrer leurs noces de diamant.

    Les pensionnaires de l'hôpital local étaient dernièrement à la fête à l'occasion d'un après-midi dédié à la célébration de la châtaigne, un fruit de saison que l'on trouve sur quelques-uns des côteaux du Kercorb. Ce rendez-vous mis en place par le comité d'animation de l'établissement sous la houlette de Chantal Discala, aura permis à nos aînés d'apprécier un intermède gourmand et modérément arrosé. Le tout en chanson bien sûr, avec notamment la prestation de la chorale de l'établissement, toujours prête à régaler un auditoire très demandeur. Depuis le belvédère de l'établissement, nos grands-pères et grand-mères ont également apprécié le superbe spectacle d'une bastide chalabroise enserrée dans une végétation aux couleurs automnales.

    HBA II.jpgChâtaignes et bonne humeur étaient au menu.

    Avec une cerise sur le gâteau et une belle surprise pour Claire et Georges Fabre, anciens pâtissiers du Cours d'Aguesseau, invités à célébrer leurs noces de diamant en compagnie de leurs amis des Hauts de Bon-Accueil. Soixante années de vie commune ont ainsi été honorées comme il se doit, Claire et Georges très émus recevant les félicitations de Jean-Jacques Aulombard directeur de la structure, et de l'ensemble du personnel.  

    HBA I.jpgClaire et Georges Fabre ont apprécié la bonne surprise. 

    Au final une journée très fraternelle, pour des seniors qui auront accueilli une nouvelle saison sur une note festive.