Depuis le mercredi 22 janvier, le lac et le paysage qui l’entoure, n’en finissent pas de se transformer, au gré des sautes d’humeur d’une météo privilégiant pluie et vent. Cette fois, un des saules pleureurs qui séparent le gouffre de la Piche du plan d’eau, a souffert à son tour, laissant une partie de lui-même se fracasser au sol, juste devant la passerelle en bois qui enjambe le Chalabreil. Un peu plus loin, c’est une ligne aérienne qui a fait les frais de la chute d’un arbre dont le coeur a lâché sous la force du vent.