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C'était hier : Avec la « Confrérie des Pénibles »

L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du dimanche 18 août 2002.

les péniblesAux premiers rousillous, les « Pénibles » montaient à Picaussel.

C’était il y a à peine trente ans, une joyeuse équipe de Chalabrois se fédérait pour le meilleur, et un seul tour allait suffire afin de porter Roger Caux à la présidence de la « Confrérie des Pénibles ». Cette toute nouvelle association accueillait une majorité de quinquagénaires qui cultivaient un certain art de vivre et privilégiaient les rencontres conviviales. Les « Pénibles » se retrouvaient régulièrement en leur siège du café de la Paix, Cours Colbert, où ils étaient reçus comme il se doit par François et Ginette Lopez, maîtres des lieux. Animés par une belle complicité, les « Pénibles » étaient en réalité de vrais épicuriens dont nous sommes heureux d’évoquer le souvenir, en ayant une pensée pour tous ceux qui nous ont hélas quittés.

Cliché ci-dessous, debout de gauche à droite : Christian Amouroux, Raymond Fort, Gabriel Gallardo, Pedro Molina, Jean Salvat, Roger Raynaud, Jacques Montagné, Roger Caux (assis), Louis Gimenez, Jacques Arcizet, François Sanchez, François Lopez, Victor Baro (assis masqué), Jean-Claude Cazettes (assis). Absent sur la photo, Pepe Villena, qui a remplacé Jacques Montagné, chargé de prendre la photo ci-dessus.        (Un grand merci à Francine Sanchez-Gayet pour ces photos)

les pénibles

Commentaires

  • Cher club des Pénibles. Tellement remarqué à l'époque, qu'avec les copines on avait décidé de créer, en douce, "le club des sans soucis". Après quelques rdv dans l'anonymat des garages, ou nous refaisions le monde, ce fut le succès.... Notoriété oblige et langues bien pendues, nous apprîmes quelque temps après la définition du mot "soucis", le "sans" se faisant bien exploser par les parents. Le club n'était pas encore de notre âge.

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