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Un jour, une image

Au milieu de la décennie 1970, Chalabre voyait son image de « ville laborieuse » -pour reprendre les termes de Gaston Maugard- altérée par une nouvelle crise industrielle. Avec le temps qui a passé, on sait aujourd’hui que c’était la dernière.

1975, la sirène de l’usine Canat ne règle plus le quotidien des Chalabrois, mais le  désir de ne rien céder au pessimisme et à la mélancolie donnera naissance à un sigle qui va s’imposer sans tarder dans les chaumières du Kercorb. Avec un des quelques privilèges qu’il leur reste, les pères de l’OPVC (Opération Vacances en Chalabrais) vont mettre l’imagination au pouvoir et repousser la morosité hors des murs de la bastide.

opvc

Photo collection Yves Saddier              

Diverses animations viendront régulièrement animer les cours, à l’image d’une sérénade que les musiciens fédérés sous la bannière de l’OPVC avaient donné un soir d’été au pied du balcon de Malou et Robert, sur le Cours Sully. Malicieux et fantaisistes, René Berland, André Conte, Gérard Roncalli et leurs amis, n’en étaient pas moins des précurseurs.   

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