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C'était hier : L’an Un à l’école Louis-Pergaud

L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du mercredi 7 décembre 1994

école louis-pergaud

La classe de Madame Legoff en 1956

De gauche à droite, 1er rang : Isabelle Sarraseca, Raymond Fournès, Jacky Muros, Catherine Martinez, Richard Conte, Michel Maugard, Inès Rodriguez. 2e rang, Michelle Fournier, Claude Laffont, Marie-José Castelnaud, Robert Voltes, Francette Ferrier, Francine Sanchez, Marie-Anne Baby, Bernard Marty, Marie-Hélène Huillet. 3e rang, Alain Castelnaud, Elisabeth Villena, Jean-Paul Subreville, Josiane Calvet, Aline Ilhat, Simone Rigaud, Christian Moralès, Suzanne Dombris. 4e rang, Fabienne Voltes, Suzanne Fournier, Jacques Martinez, Chantal Fournès, Anne-Marie Huillet, Jean-Claude Baby, Simone Sanchez, Gérard Calbo.

Dans la grande cour de ce qui est aujourd’hui devenu l’ancienne école des filles, le vieux marronnier géant attend la récréation et sa ribambelle de joyeux écoliers. Mais en vain car en ce début d’automne 1956, les bambins de la communale ont déserté le préau de la rue du cinéma, pour aller jouer à colin-maillard dans une cour toute neuve où il manque peut-être un peu de verdure. Les petits élèves de Madame Legoff, laquelle veillait alors aux destinées de l’école maternelle avec Madame Jeanne Juliani, posent ainsi dans la cour de leur toute nouvelle école, qui ne prendra que beaucoup plus tard le nom de Louis-Pergaud.

Les petites Chalabroises et les petits Chalabrois se reconnaîtront, et se souviendront de cette période teintée d’insouciance, pendant laquelle la ludique pratique des bûchettes, n’était en réalité qu’un moyen sournois pour les amener sur le terrain miné des robinets qui fuient et des trains qui se croisent à une certaine heure.

Commentaires

  • Le prénom au 2e rang, Michelle Fournier.
    "Le petit oiseau va sortir" pour tous ces enfants sages. Que le temps court.........

  • Même petits, certaines choses restent ancrées. Dans la salle vitrée (qui donnait sur la descente au communal) c'était la sieste obligatoire pour nous, les plus petits. Sur un lit de camp pliant, sous une couverture marron et sous la surveillance, parfois sévère, de Josette ou d'Henriette je ne tenais pas en place. Je n'ai plus jamais fait la sieste.

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