Quand on veut tuer son chien , on dit qu'il a la rage, n'est ce pas ?
Et mettre dès le départ une pincée de mauvaise foi et même de mensonge délibéré dans l'exposé d'un problème, vieux truc d'avocat, est un procédé classique bien connu que les "défenseurs autoproclamés" du Lac de Montbel n'ont pas manqué d'utiliser.
Car une fois un raisonnement bâti sur un mensonge, il n'y a plus alors qu'à le dérouler tranquillement, jusqu'à l'aboutissement décidé depuis le début.
Où est donc le mensonge dans l'article publié auquel je réponds ici à propos du projet hotelier de MONTBEL ?

Il est gros comme le bras : ses rédacteurs ont en effet juste oublié d'indiquer dans les prémisses de leur exposé que, dès sa création, financée par des fonds publics, le lac de MONTBEL à niveau constant a été dédié au développement touristique. Vous avez bien lu : ce lac est destiné au développement touristique. Pas au développement d'une faune sauvage qui viendrait le coloniser ou le squatter sans y avoir été invitée!
Certes, il est exact que, dans la réalité, le "grand" lac n'était pas sensé accueillir de tels équipements; mais le petit, lui, l'était, c'est sûr et certain. Et il l'est toujours. Référez vous si vous voulez le vérifier à l'Arrêté inter-ministériel qui a décidé de la création de ces deux lacs ...
Alors, prétendre aujourd'hui que les écrevisses, les loutres, les marmottes ou autres petits animaux sauvages au demeurant fort sympathiques seront injustement chassées du petit lac de MONTBEL oublie de mentionner que ce sont eux, ces petits animaux qui sont venus coloniser subrepticement le Lac, que rien n'a été prévu pour eux, et que l'Etat a financé ce Lac pour le développement du tourisme.
Ne pas mentionner cela dans l'exposé des faits est tout simplement malhonnête, et ne m'étonne pas d'ailleurs des écologistes auto-proclamés qui sont prêts tous les mensonges pour faire triompher leurs visées.
Mais heureusement pour eux nous sommes en France - et en Ariège -dans un état de droit. Et j'espère vivement que les squatteurs de tout poil seront remis dans le droit chemin.

Certes, certes... Mais la nature, et la faune sauvage ne fait, sans aucun doute, partie de la nature. Peut être serait-il sage de laisser les promoteurs de tout poil investir, et ce dans tous les sens du terme, dans des secteurs où il n'y a rien que du béton à faire pour attirer ou retenir le "chaland". Ici , notre belle région offre ce qu'elle a de plus vrai, la nature, le patrimoine et l'air pur. Le tourisme et l'aménagement touristique de notre contrée ne peut se concevoir sans tenir compte de cette réalité; la nature et sa faune sont des atouts touristiques qui sont et seront de plus en plus recherchés. Dégrader cet environnement n'est pas responsable. Laisser des cabanes avec leurs stationnements, leurs accès, leurs éclairages, leurs traitements des rejets... à nos générations futures, c'est laisser à nos descendants des structures qui ne leur permettront plus de faire, en vacance notamment, la différence entre un village de vacance du littoral méditérranéen et un arrière pays authentique. A noter que si mauvaise foi du propriétaire du chien enragé est soi-disant démontrée, il parait évident qu'elle n'existe pas que dans un camp.

Quand on veut tuer son chien , on dit qu'il a la rage, n'est ce pas ?
Et mettre dès le départ une pincée de mauvaise foi et même de mensonge délibéré dans l'exposé d'un problème, vieux truc d'avocat, est un procédé classique bien connu que les "défenseurs autoproclamés" du Lac de Montbel n'ont pas manqué d'utiliser.
Car une fois un raisonnement bâti sur un mensonge, il n'y a plus alors qu'à le dérouler tranquillement, jusqu'à l'aboutissement décidé depuis le début.
Où est donc le mensonge dans l'article publié auquel je réponds ici à propos du projet hotelier de MONTBEL ?

Il est gros comme le bras : ses rédacteurs ont en effet juste oublié d'indiquer dans les prémisses de leur exposé que, dès sa création, financée par des fonds publics, le lac de MONTBEL à niveau constant a été dédié au développement touristique. Vous avez bien lu : ce lac est destiné au développement touristique. Pas au développement d'une faune sauvage qui viendrait le coloniser ou le squatter sans y avoir été invitée!
Certes, il est exact que, dans la réalité, le "grand" lac n'était pas sensé accueillir de tels équipements; mais le petit, lui, l'était, c'est sûr et certain. Et il l'est toujours. Référez vous si vous voulez le vérifier à l'Arrêté inter-ministériel qui a décidé de la création de ces deux lacs ...
Alors, prétendre aujourd'hui que les écrevisses, les loutres, les marmottes ou autres petits animaux sauvages au demeurant fort sympathiques seront injustement chassées du petit lac de MONTBEL oublie de mentionner que ce sont eux, ces petits animaux qui sont venus coloniser subrepticement le Lac, que rien n'a été prévu pour eux, et que l'Etat a financé ce Lac pour le développement du tourisme.
Ne pas mentionner cela dans l'exposé des faits est tout simplement malhonnête, et ne m'étonne pas d'ailleurs des écologistes auto-proclamés qui sont prêts tous les mensonges pour faire triompher leurs visées.
Mais heureusement pour eux nous sommes en France - et en Ariège -dans un état de droit. Et j'espère vivement que les squatteurs de tout poil seront remis dans le droit chemin.

Un dernier arrêté ministériel stipulerait qu'incessamment sous peu, écrevisses, loutres, hérons cendrés ou pas, marmottes and co, devront s'acquitter de taxes dévolues aux cotisations chômages, n'étant pas touchés par ce fléau qui gangrène nos campagnes.

Quand les riches maigrissent, les pauvres crèvent de faim.
Confucius

......On en apprend tous les jours, mais il y a une chose que je sais bien, à force. Quand on est dans le besoin, ou qu'on a des ennuis ou de la misère c'est aux pauvres gens qu'il faut s'adresser. C'est eux qui vous viendront en aide eux seuls....

Les Raisins de la colère (1938) de John Steinbeck