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  • Lu dans la presse

    Le Courrier de l'Aude et le Rappel de l'Aude, un 29 mars.

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    Le Courrier de l'Aude 29 mars 1881

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    Le Courrier de l'Aude 29 mars 1899

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    Le Rappel de l'Aude 29 mars 1892

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    Le Rappel de l'Aude 29 mars 1891

  • Une partie de pétanque

    Il a souvent eu le privilège de voir jouer ces anciens, passionnés par un jeu qui rythme les premières journées du printemps. Bernard Cnocquart nous fait partager les images que ces adeptes du cochonnet ont laissé dans sa mémoire, au fil des années.

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    Photo Maurice Mazon

    Autour du boulodrome

    Il y a dans ce village un drôle de terrain,

    Entouré de prunus formant un doux écrin,

    Pas d’herbe verdoyante mais de simples gravillons,

    Portant le nom de celui qui fut notre champion.

     

    Tous les jours de l’année, sauf les jours de grand froid,

    Les pétanqueurs sont là, les bons et les maladroits,

    Pour pratiquer ce jeu qu’on joue les pieds tanqués,

    Et qui s’appelle pétanque pour tous ces licenciés.

     

    Dès 14 heures, c’est parti, on lance le cochonnet,

    Pour former les équipes en toute équité,

    C’est bien équilibré, un pointeur, un milieu, un tireur,

    Les parties alors commencent dans la bonne humeur.

     

    Les débuts sont timides, ils ne sont pas échauffés,

    Les points sont éloignés, les boules sont manquées,

    Mais petit à petit, les gestes sont plus précis,

    On ne rigole plus, les coups sont réussis.

     

    Les mènes se suivent, on compte bien les points,

    On se trompe parfois, on demande aux témoins,

    Déjà dix à zéro, vite, il faut se rattraper,

    Car si ça continue, Fanny, il faudra l’embrasser.

     

    Sur les bancs tout autour, il y a les spectateurs,

    Ils ne sont pas toujours d’accord sur le jeu des joueurs,

    Ils critiquent un peu, parlent d’un autre temps,

    Mais pourtant, sont-ils plus compétents?

     

    La partie s’est arrêtée, les joueurs sont regroupés,

    Ils écoutent une histoire aussi bien racontée,

    Et ils reprennent ensuite en posant des questions,

    C’est à qui à jouer, combien de boules, où est le rond ? 

     

    Parfois ce boulodrome résonne de grands cris,

    On ronchonne un peu contre son partenaire, des chamailleries,

    Mais la mène d’après, quand il a bien joué,                                       

    Alors c’est le contraire, il est félicité.

     

    On se moque parfois quand la portée est loupée,

    On dit en se marrant, conserve la donnée,

    Mais on rigole moins, quand grâce à  dame chance,

    Vous perdez la partie dans un profond silence.

     

    Allez, il faut faire la belle, il faut bien un vainqueur,

    Mais c’est la dernière, on va voir qui c’est les meilleurs,

    Alors les plus malins, de quelques pas, décalent un peu le jeu,

    Pour avoir plus de chance que les joueurs d’en face, parbleu.

     

    C’est terminé, les boules sont ramassées sous quelques quolibets,

    Les plus pressés s’en vont, les autres continuent, les acharnés,

    Mais demain, ils seront encore là, sur ce boulodrome,

    Pour pointer, pour tirer, comme des métronomes.

    Bernard Cnocquart

  • C'était hier : Un prêtre rouge sur les boulevards

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du jeudi 28 mars 2013.

    bespoked,paul kaye,game of thrones,will compstonPaul Kaye en compagnie de son hôte chalabrois, Will Compston (Photo archives, Mars 2013).

    Pour les spécialistes de fantastique médiéval, la date du dimanche 31 mars va coïncider avec la sortie très attendue de la saison 3 de « Game of Thrones », en français « le Trône de fer ». Pour les néophytes, cette série télévisée se déroule dans un univers chimérique, et décrit les complots et rivalités qui se jouent entre plusieurs familles du Royaume des Sept Couronnes, à la lutte pour s'emparer du Trône de fer. Parmi les personnages de cette saga, le prêtre Thoros de Myr, grand amateur de vin, devenu prêtre rouge, « car le rouge de ses robes dissimule mieux les tâches de vin ».

    Voilà pour l'histoire, quant à la petite histoire, elle se prolonge en Kercorb, où Thoros de Myr, alias Paul Kaye, se trouvait tout dernièrement, afin de se refaire une santé après des mois de tournage éprouvants, en Irlande et en Islande notamment. En villégiature à la « maison carrée », cet acteur d'origine anglaise, a pleinement apprécié une pause au cours de laquelle il aura fait montre de ses qualités artistiques.

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    Invité au n° 8 de la rue du Pont-de-l'Hers, transformé en théâtre de poche l'espace d'un soir, Paul Kaye a rejoint la troupe de fantaisistes en herbe inscrite à l'affiche. Pour une performance inédite et drôle, loin des conspirations qui se trament sur le continent de Westeros. Conquis par les paysages du pays chalabrais, Paul Kaye a assuré qu'il renouerait le contact. A la condition qu'il soit rapidement délivré de ses pouvoirs surnaturels. 

  • Lu dans la presse...

    ... un 28 mars, dans le journal Le Courrier de l'Aude.

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    Le Courrier de l'Aude 28 mars 1891

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    Le Courrier de l'Aude 28 mars 1882

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    Le Courrier de l'Aude 28 mars 1886

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    Le Courrier de l'Aude 28 mars 1897

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    Le Courrier de l'Aude 28 mars 1895