En juin 1969, José Navarro rendait sa liberté à la classe unique de " l'Arremassadou ", sur les hauteurs du Pays de Sault. Il bouclait ainsi sa première année d'exercice en qualité d'instituteur. Juillet 2004, Josep prend congé de ses élèves et de ses collègues de l'école Louis Pergaud. Il inscrit au village, un point final à sa carrière d'enseignant.
Une météo exécrable force les randonneurs du Kercorb à jouer à cache-cache avec l'Aneto. Equipés de leurs lampes frontales et malgré un départ matinal du refuge de la Rencluse (5 h), Damien, Denis, Jean, Michel, Raymond, Yves et Christian doivent abandonner l'idée de trinquer sur le toit des Pyrénées.
Les Foulées du Kercorb alignées sous une banderole dressée dans la cour du château de Jonquières (Narbonne), participent à une course très justement baptisée " la Combe d'Enfer ". Laurent Garcia et Claude Cnocquart, très à l'aise dans la garrigue, avouent même à leur président qu'ils ont tiré la langue aux cigales.
En dépit d'une succession d'imprévus, la Maison du Tourisme est inaugurée par Lucien Clergue, président de la Communauté de Communes du Chalabrais, et les élus audois. Objectifs annoncés pour cette structure achetée aux descendants de Mlle Alzieu, l'accueil du public, la promotion du territoire et du réseau de prestataires du canton.
Il y a de l'électricité dans l'air, à l'heure où la société Arbor'Eco s'apprête à abattre les platanes de la route de Puivert. Initiée par le conseil général, cette opération qui vise à sécuriser le trafic routier à l'entrée de Chalabre, ne fait pas l'unanimité. Une manifestation d'opposition tout à fait pacifique se solde par une petite mais encourageante victoire. Au final et après accord, les panneaux Chalabre seront repoussés, afin de positionner les platanes sur la voirie communale, et non plus sur la voirie départementale.
Mardi 27 juillet, Monique Thus et Jean-Marc Régoli éclairent la nef de Saint-Pierre. Un superbe concert à l'orgue et trompette soulève l'enthousiasme, avec un répertoire de " compositeurs des siècles passés, oubliés et même empoussiérés ", pour reprendre les mots de Malou Saddier, présidente de l'Aspaak.