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loft story

  • C'était hier : Le lofteur star « shooter » s’appelle Christophe

    En juin 2001, les portes d’un loft célèbre dans tout l’hexagone, s’ouvraient afin de rendre leur liberté aux pionniers d’un concept à l’aube de sa gloire, la télé réalité. L’audimat battait ses premiers records avec une émission baptisée Loft Story, et nos concitoyens se passionnaient pour un candidat à la victoire finale, dont les racines étaient un peu chalabroises. Grands vainqueurs au terme de dix semaines de vie commune agrémentées d'une pointe de promiscuité, Christophe et Loana furent les premiers à inscrire leurs noms sur les tablettes d’une idée télévisuelle nouvelle.

    Précédé du titre ci-dessus, l’article qui suit avait paru dans le journal l’Indépendant du dimanche 8 juillet 2001. Juste après le succès remporté par Christophe, et une visite à l'unité de blanquette de Limoux en compagnie de Julie, visite qui avait déplacé les foules.

    Si l’on en croit les adeptes de la langue de Shakespeare, « shooter », à prononcer avec l’accent de Mr Bean, signifie marqueur de buts. Et pour Christophe Mercy, à qui il arrivait d’évoluer invariablement dans les buts mais le plus souvent à la pointe de l’attaque du Football Club Chalabrois, une occasion de mettre le cuir au fond des filets n’était jamais perdue.

    C’était au milieu des années 1990, Christophe avait à peine 19 ans et s’essayait au ballon rond, avec une décontraction identique à celle qu’il aura affiché 70 jours durant dans le désormais célébrissime loft de M6. S’il arrivait parfois que ses entraîneurs viennent le tirer du lit le dimanche vers 12h 45, Christophe pouvait sans problème et dans le quart d’heure suivant, se retrouver dans le rond central du stade Lolo Mazon pour le coup d’envoi d’une rencontre de championnat. Serein quel que soit l’enjeu, sa nonchalance était communicative et les anciens du FCC auront parfaitement reconnu dans le lofteur préféré de Julie, leur ex partenaire de jeu.

    Arrivé très jeune en Kercorb aux côtés de ses parents, il est très probable que Christophe ait découvert Chalabre depuis les hauteurs du Bourdil où résidaient ses grands-parents, M. et Mme Espira. Une vue imprenable s’il en est, et des images aujourd’hui certainement intactes au rayon des souvenirs. Pour preuve le petit clin d’œil adressé jeudi soir aux Chalabrois par le biais de la petite lucarne. Avant que les projecteurs ne s’éteignent définitivement, Christophe aura taggé sur les murs du loft, les huit lettres de la capitale du Kercorb. En songeant à un bien hypothétique retour aux sources, nous imaginerons Christophe et Julie déambulant bras-dessus bras-dessous… sur les cours chalabrois, c’est clair !

    loft story,christophe mercy,loanaChristophe aux côtés de ses partenaires du FCC II (archives 1993). Debout de gauche à droite : Alain Guilhemat, Olivier Cazas, David Lara, Benjamin Horte, François Sanchez, Christophe Mercy, Eric Serrano. Accroupis : Bernard Boulbès, Raymond Dumay, José Planas, Christian Moralès, Philippe Oliver, Bruno Desjardins, Valentin Petrini.

  • Loft Story, dix ans déjà

    En juin 2001, les portes d’un loft célèbre dans tout l’hexagone, s’ouvraient afin de rendre leur liberté aux pionniers d’un concept à l’aube de sa gloire, la télé réalité. L’audimat battait ses premiers records avec une émission baptisée Loft Story, et nos concitoyens se passionnaient pour un candidat à la victoire finale, dont les racines étaient un peu chalabroises. Grands vainqueurs au terme de dix semaines de vie commune agrémentées d'une pointe de promiscuité, Christophe et Loana furent les premiers à inscrire leurs noms sur les tablettes d’une idée télévisuelle nouvelle. L'article qui suit avait paru dans le journal l’Indépendant du dimanche 8 juillet 2001. Juste après le succès remporté par Christophe, et une visite à l'unité de blanquette de Limoux en compagnie de Julie, visite qui avait déplacé les foules.

    Le lofteur star "scorer" s'appelle Christophe.

    Si l’on en croit les adeptes de la langue de Shakespeare, « scorer », à prononcer avec l’accent de Mr Bean, signifie marqueur de buts. Et pour Christophe Mercy, à qui il arrivait d’évoluer invariablement dans les buts mais le plus souvent à la pointe de l’attaque du Football Club Chalabrois, une occasion de mettre le cuir au fond des filets n’était jamais perdue.

    C’était au milieu des années 1990, Christophe avait à peine 19 ans et s’essayait au ballon rond, avec une décontraction identique à celle qu’il aura affiché 70 jours durant dans le désormais célébrissime loft de M6. S’il arrivait parfois que ses entraîneurs viennent le tirer du lit le dimanche vers 12h 45, Christophe pouvait sans problème et dans le quart d’heure suivant, se retrouver dans le rond central du stade Lolo Mazon pour le coup d’envoi d’une rencontre de championnat. Serein quel que soit l’enjeu, sa nonchalance était communicative et les anciens du FCC auront parfaitement reconnu dans le lofteur préféré de Julie, leur ex partenaire de jeu.

    Arrivé très jeune en Kercorb aux côtés de ses parents, il est très probable que Christophe ait découvert Chalabre depuis les hauteurs du Bourdil où résidaient ses grands-parents, M. et Mme Espira. Une vue imprenable s’il en est, et des images aujourd’hui certainement intactes au rayon des souvenirs. Pour preuve le petit clin d’œil adressé jeudi soir aux Chalabrois par le biais de la petite lucarne. Avant que les projecteurs ne s’éteignent définitivement, Christophe aura taggé sur les murs du loft, les huit lettres de la capitale du Kercorb. En songeant à un bien hypothétique retour aux sources, nous imaginerons Christophe et Julie déambulant bras-dessus bras-dessous… sur les cours chalabrois, "c’est clair !"   

    christophe mercy,julie,loana,loft story 

    Christophe aux côtés de ses partenaires du FCC II (archives 1996). Debout de gauche à droite : Alain Guilhemat, Olivier Cazas, David Lara, Benjamin Horte, François Sanchez, Christophe Mercy, Eric Serrano. Accroupis : Bernard Boulbès, Raymond Dumay, José Planas, Christian Moralès, Philippe Oliver, Bruno Desjardins, Valentin Petrini.