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  • Commémoration du 8 mai 1945

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    Intervention de Louis Cavayé le 8 mai 1957

    De la droite vers la gauche, René Huillet, Charles Franzone, André Conte, Antoine Murillo, Abbé Raymond Fourtanier, les enfants, Francis Romero et Simone Sanchez, Pedro Sancho, Louis Cavayé, Marcel Ancin, Eloi Alabert    

    Photo Maurice Mazon 

    La cérémonie commémorant le 79e anniversaire de la capitulation de l'Allemagne nazie, sera célébrée mercredi 8 mai. La municipalité et le comité des anciens combattants invitent à partager avec eux cette journée du souvenir. Le rassemblement est prévu à partir de 11 h devant la mairie, Cours Sully. Avant de rejoindre le monument aux Morts, le cortège observera une minute de silence devant la maison du Docteur Joseph-Raynaud. La partie musicale sera assurée par l'ensemble musical de Mirepoix, qui ouvrira le défilé et effectuera les sonneries.

  • C'était hier : Mouvement de troupes sur le cours Sully

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du mercredi 4 mai 1994. Il faut se souvenir que l'année précédente, dans la nuit même qui avait suivi son accueil triomphal, Son Altesse Sérénissime Badaluc XXVI était partie en fumée, avec une bonne journée d'avance. L'enquête avait rapidement repoussé la thèse du suicide, et puis, plus rien, trente ans après, les juges noctambules courent toujours. L'heure peut-être pour les amateurs de « cold cases », de faire toute la lumière sur cet épisode funeste.

    badaluc 1994

    Au petit jour, en attendant la relève

    Photo archives, Avril 1994

    (par les effets de la pluie de la nuit, Badaluc le XXVIe s'était trouvé tout à coup rajeuni)

    Sera-t-il possible dans les années qui viennent, de recevoir encore les dignes successeurs de Badaluc XXVI ? L'information n'avait pas été révélée, et l'OPVC a préféré attendre que retombe la fièvre d'un week-end de carnaval, avant de confier combien la surveillance de cet illustre visiteur avait été difficile à assurer.

    Ce que l'on peut comprendre, car ils ne voulaient en aucun cas, revivre la même mésaventure qu'en 1993. Les Chalabroises et les Chalabrois auront été en mesure cette fois, de profiter de la fête jusqu'au bout, mais il aura fallu que l'OPVC utilise les grands moyens, au risque de se mettre hors-la-loi.