En septembre dernier, l'association « Les Festejaïres del Cazal » lançait un projet de financement participatif afin de pouvoir acquérir le local de la « grange », nécessaire aux divers préparatifs des fêtes de juillet au Cazal. Le projet qui a obtenu un accueil des plus favorables, progresse de manière encourageante, et c'est donc avec dynamisme et pour impulser le financement, qu’un « Dîner du Cazal » est organisé le samedi 1er décembre au théâtre Georges-Méliès. Ce rendez-vous festif sera l'occasion de visionner de courtes séquences des fêtes du Cazal d’hier (années 1990 à aujourd'hui), avec quelques surprises réservées par les Festejaïres, dans une version dîner spectacle. Le prix est fixé à 25 € par personne, incluant repas, apéritif, vin, service et animations... Les inscriptions sont prises chez Jean-Paul Subreville au 09 52 34 39 21. Le Cazal c'est vous !
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Cazal d’hier et d’aujourd’hui
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Cousettes inspirées sur les Hauts-de-Bon-Accueil
Le plaisir de renouer avec des gestes qui ne s’oublient pas.
Grâce aux échantillons de tissus d’ameublement dont une famille de résidente a fait don à l’Ehpad des Hauts-de-Bon-Accueil, plusieurs projets naissent dans la tête des créatrices en atelier d’expression : trente-huit coussins, entièrement confectionnés à partir de matériaux de récupération, voient le jour et sont actuellement, en cours de customisation.
Après un temps d’exposition au sein de l’établissement, valorisant le travail de nos aînées, ceux-ci seront installés çà et là, dans les petits salons, à la disposition de l’ensemble des personnes souhaitant profiter, d’un petit brin de confort supplémentaire, tandis qu’une vingtaine de coussinets, rembourrés aux grains de blé, seront également mis à disposition des nuques les plus raides. Enfin, quatre-vingt-dix petits sachets de lavande fraîche du pays, ont été produits à destination du linge des armoires, comme autrefois, et voyageront jusque dans les chaumières des personnes âgées sollicitant les services du SSIAD.
Cette expérience créatrice de liens, d’idées et de rencontres avec les familles, le personnel soignant et l’environnement proche de la maison de retraite, a permis cette fois, à deux résidentes, de remettre le pied sur la pédale d’une machine à coudre. Ce qu’elles n’avaient plus fait depuis trente ans. « C’est comme le vélo… » disent-elles en riant, « ça ne s’oublie pas ! ».
L’atelier, animé par Dominique Billet, remercie tout particulièrement les personnes qui par leurs dons, tant en matières premières qu’en petits outillages, permettent aux ateliers d’expression de nouvelles expériences créatrices. Cet atelier cherche à se doter de deux à trois machines à coudre supplémentaires, afin d’élargir le cercle des couturières invétérées.
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Voyage sans visa, un conte musical au théâtre
C’est un spectacle proposé par la Claranda dans le cadre des Culturelles en Pyrénées Audoises, en partenariat avec la mairie de Chalabre et la CdC des Pyrénées audoises, samedi 10 novembre à 21 h au théâtre Georges-Méliès.
« Le conte amène la musique, la musique raconte une histoire, les deux ne faisant qu’une seule voix ». Boubacar Ndiaye (conteur, chanteur et danseur), Pape Amath N’Diaye dit Paamath (guitares) et Baye Cheikh Mbaye (percussions), chantent la beauté de Saint-Louis du Sénégal, entraînant jusqu’à Tivaouane à la rencontre des Arts de la parole, de la famille et de la Teranga sénégalaise. A travers la musique, ils livrent également l’amour qu’ils peuvent porter à leur pays d’adoption et invitent à prendre conscience de ce que peut engendrer l’exil : que signifie «sans papier» ? Ne venons-nous pas de quelque part ?
Fils de griot, Boubacar Ndiaye a grandi au Sénégal, dans la petite ville de Tivaouane (région de Thiès). Gardien de souvenirs, il recherche et partage des paroles provenant de son histoire, sa mémoire, ses lectures et de sa propre créativité. Puisant son inspiration du côté du Sahara, il vit en France où il livre son regard sur le monde, en perpétuelle mutation. Il a eu une formation traditionnelle et a été initié par ses deux mères et sa grand-mère dans l’art de la parole… C’est dans la lignée de ses ancêtres que Boubacar Ndiaye a choisi de raconter les épopées et chants sacrés de la tradition wolof. Les rythmes et les danses accompagnent ses mots et plongent dans l’univers de son enfance, qui résonne encore en lui.
Une résidence de médiation, menée par Boubacar Ndiaye sur trois journées, auprès des élèves de l'école primaire Louis-Pergaud, aura précédé ce rendez-vous, programmé samedi 10 novembre à 21 h.
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Théâtre pour ados avec Elsa
La scène, un espace de jeu comme un autre (Photo archives, Juin 2017 théâtre Georges-Méliès, La vie, un peu d'eau).
La proposition s’adresse aux ados (12-18 ans) intéressés par l’expérience de la scène, un atelier théâtre est organisé dans la salle de danse du gymnase municipal depuis le 27 octobre dernier. Les séances seront ensuite assurées chaque deuxième samedi du mois, de 10 h à 13 h (25 € la séance).
Vaincre l’appréhension de s’exprimer en public, maîtriser les bases du jeu d’acteur, perfectionner son élocution, s’exprimer face à un groupe, assumer le regard des autres pour une meilleure confiance et estime de soi, développer son sens de la dérision et de l’humour, le théâtre est une bien bonne idée. N’hésitez pas à venir essayer. Renseignements auprès d’Elsa au 06 59 37 56 72.