L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du mercredi 4 mai 1994. Il faut se souvenir que l'année précédente, dans la nuit même qui avait suivi son accueil triomphal, Son Altesse Sérénissime Badaluc XXVI était partie en fumée, avec une bonne journée d'avance. L'enquête avait rapidement repoussé la thèse du suicide, et puis, plus rien, trente ans après, les juges noctambules courent toujours. L'heure peut-être pour les amateurs de « cold cases », de faire toute la lumière sur cet épisode funeste.
Au petit jour, en attendant la relève
Photo archives, Avril 1994
(par les effets de la pluie de la nuit, Badaluc le XXVIe s'était trouvé tout à coup rajeuni)
Sera-t-il possible dans les années qui viennent, de recevoir encore les dignes successeurs de Badaluc XXVI ? L'information n'avait pas été révélée, et l'OPVC a préféré attendre que retombe la fièvre d'un week-end de carnaval, avant de confier combien la surveillance de cet illustre visiteur avait été difficile à assurer.
Ce que l'on peut comprendre, car ils ne voulaient en aucun cas, revivre la même mésaventure qu'en 1993. Les Chalabroises et les Chalabrois auront été en mesure cette fois, de profiter de la fête jusqu'au bout, mais il aura fallu que l'OPVC utilise les grands moyens, au risque de se mettre hors-la-loi.