Mardi 4 mai, les reflets du soleil magnifient les eaux du Blau. Un volatile perché apprécie la grâce de l'instant
Photo Jean-Jacques Aulombard
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Mardi 4 mai, les reflets du soleil magnifient les eaux du Blau. Un volatile perché apprécie la grâce de l'instant
Photo Jean-Jacques Aulombard
Le pont du Blau, une passerelle vers la nostalgie.
C'est un lieu de promenade prisé par les Chalabrois et régulièrement cadré dans l'objectif des nombreux visiteurs de passage, le pittoresque quartier du Blau renvoie l'image intacte d'un autre temps. Avec ses façades en torchis dansant sur le miroir des eaux paisibles de la rivière « bleue », ce lieu abrite quelques-unes des plus vieilles maisons de la capitale du Kercorb. Il garde aussi quelques vestiges d'un passé moins éloigné, lorsque la société de consommation en était à ses premiers balbutiements.
Le terme publicité n'était pas encore entré dans le langage usuel et pourtant les réclames commençaient à s'afficher çà et là, comme sur le mur de l'épicerie tenue pendant la première partie du siècle dernier par la famille Huillet. Pour la ménagère allant chez Marceau, il était alors impossible de manquer le coup de promotion au bénéfice d'un ancêtre du gel coiffant, destiné à des consommateurs qui le valaient bien.
Dans les années 1950, ce commerce laissera la place à un dépôt de journaux tenu par Justin et Jeannette Navarro lesquels continueront à percevoir pendant dix ans encore, la coquette somme de 100F par an, versée à leur endroit par le roi de la brillantine. Les tarifs publicitaires n'atteindraient des sommets que beaucoup plus tard. Le coup de pinceau avait encore quelques belles années devant lui, l'avènement de l'image virtuelle n'était plus bien loin pourtant.
Le pont du Blau, une passerelle vers la nostalgie.
C'est un lieu de promenade prisé par les Chalabrois et régulièrement cadré dans l'objectif des nombreux visiteurs de passage, le pittoresque quartier du Blau renvoie l'image intacte d'un autre temps. Avec ses façades en torchis dansant sur le miroir des eaux paisibles de la rivière « bleue », ce lieu abrite quelques-unes des plus vieilles maisons de la capitale du Kercorb. Il garde aussi quelques vestiges d'un passé moins éloigné, lorsque la société de consommation en était à ses premiers balbutiements.
Le terme publicité n'était pas encore entré dans le langage usuel et pourtant les réclames commençaient à s'afficher çà et là, comme sur le mur de l'épicerie tenue pendant la première partie du siècle dernier par la famille Huillet. Pour la ménagère allant chez Marceau, il était alors impossible de manquer le coup de promotion au bénéfice d'un ancêtre du gel coiffant, destiné à des consommateurs qui le valaient bien.
Dans les années 1950, ce commerce laissera la place à un dépôt de journaux tenu par Justin et Jeannette Navarro lesquels continuèrent à percevoir pendant dix ans encore, la coquette somme de 100 F par an, versée à leur endroit par le roi de la brillantine. Les tarifs publicitaires n'atteindraient des sommets que beaucoup plus tard, le coup de pinceau avait encore quelques belles années devant lui. L'avènement de l'image virtuelle n'était plus bien loin pourtant.
L'école de football à Limoux.
Année 1962, Le "Père Cazas" emmène ses protégés à Limoux, pour une rencontre face à des Blanquetiers qu'ils battront par 3 buts à 0.
Adultes de gauche à droite : Georges Fabre, Jean Montoro, Yves Cazas. Accroupis : Claude Alabert, José Planas, François Baylac dit "Pipette". Debout : Jean Lorca, Jean-Pierre Sanchez, Michel Alegre, Christian Sicre.
Rendez-vous sur le Pont du Blau.
C'était un jour de tous les jours, quand nos aînés se retrouvaient sur le pont du Blau, juste pour voir si tout allait bien.
Au premier plan, François Lorca, Michel Vidiella, René Icre. Au second plan, Jean-Joseph Roméro, Toussaint Gracia, Georges Subreville. A droite, Louis Sospedra.
Grève aux Ets Canat.
C'était en 1968 et la manufacture de chaussures Canat vivait au rythme d'un mouvement national que les "plus de 45 ans" n'ont pas oublié. L'occupation des locaux rimait avec occupation du temps libre, dont le ministère n'existait pas encore.
Dans le réfectoire de l'usine et de gauche à droite, Maria Rodriguez, Andrée Mazon, Mariano Gimenez, Yvette Abat, Gertrude Llopis, Joaquina Jorda, Carmen Moralès.