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C’était hier : Un jour, deux images

Les articles mis en ligne aujourd’hui avaient été publiés dans l’Indépendant, éditions du jeudi 14 et vendredi 15 mars 1996.

Une grange en feu à Montjardin.

Grange Montjardin Mars 1996.jpgLes flammes n’ont rien épargné (photo archives, mars 1996).

Dans la nuit du samedi 9 mars, aux environs de 2 h 30, les sapeurs-pompiers de la caserne Jean Cabanier de Chalabre, étaient appelés sur la commune de Montjardin où un violent incendie ravageait une grange appartenant à M. Marcel Franc, agriculteur. Malgré l’intervention rapide de nos soldats du feu, les flammes n’ont rien épargné, allant même jusqu’à menacer la maison d’habitation où loge la famille Franc. La proximité d’un stock de bouteilles de gaz aurait pu provoquer le pire, si les chiens alertés par le crépitement du brasier n’avaient en aboyant, réussi à tirer de leur sommeil, les membres de la famille de Marcel Franc. Au-delà du matériel entreposé dans la grange, deux véhicules ont entièrement été détruits par les flammes d’un incendie qui laisse planer des doutes quant à son origine. La brigade de gendarmerie de Chalabre procède actuellement à l’enquête d’usage, sachant que des indices suspects ont également été relevés dans un hangar situé à l’entrée de Chalabre.

Satisfaction chez les fines gaules.

Fine gaule Mars 1996.jpg

Ouverture sur les rives de l’Hers, non loin du Falgas et du Ménéchal (photo archives, mars 1996).

Investies de très bonne heure en ce samedi d’ouverture, les berges de l’Hers, du Blau et du Chalabreil ont reçu la visite de nombreux disciples de Saint-Pierre, encouragés par une météo très favorable. En réchauffant les eaux de neige venues de l’Ariège voisine, le soleil a invité les truites à sortir de leur « tutte », si bien qu’en milieu de matinée, la plupart des pêcheurs avaient déjà garni leur « garbuste ». C’est alors que le poisson a pu bénéficier d’un peu de répit, à l’heure où les « pescofis » décidaient de s’accorder une pause déjeuner amplement méritée. Quant à notre fine gaule, nul n’a pu savoir si elle avait sacrifié à cette tradition qui veut que le pêcheur embrasse sa première prise de la saison, avant de la rejeter à l’eau.  

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