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De Londres à Lisbonne, en passant par le Moulin de l'Evêque

rallye londres lisbonneRobert Cook et Geoffrey Morson ont remisé leur Chevrolet de 1937 sur le parking de l'ancienne scierie.

Dimanche 24 avril, le restaurant rivélois aux destinées duquel veillent depuis le 16 octobre 2009, le chef André Etienne, secondé par Dorota son épouse et leur fille Emmie, accueillait un rallye conjointement organisé par HERO (Historic Endurance Rallying Organisation) et ERA (Endurance Rally Association). Deux entités britanniques, organisatrices d’un périple emmenant pilotes et mécanos de Londres à Lisbonne, sur une période allant du 21 au 30 avril, 6e édition.

Soit 2000 miles (3500 km) à parcourir, avec une moyenne de 350 km par jour. Et en cette deuxième journée électorale, la quatrième étape inscrite sur le road-book ne proposait rien de moins qu’un crochet par le Kercorb.

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Pause détente pour pilotes et navigateurs

Dans un créneau compris entre 12 h 15 et 13 h 45, les 50 équipages inscrits se sont succédés, pour une halte réparatrice qui a permis aux moulins de souffler un peu, et aux organismes de se requinquer. L’occasion peut-être pour les compétiteurs de sa gracieuse majesté, de goûter au fameux « Sunday roast », plat cher aux fins gourmets britanniques, que le « chef » André mitonne tout naturellement, fort de son expérience outre-manche.

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Parties jeudi dernier depuis le Brooklands Museum de Londres, Bentley, Triumph, Austin, BMW, Alfa Romeo, Volvo, Porsche, Chevrolet, Mercedes Benz, Datsun, Lancia, Nissan, Ford, Volswagen (modèles antérieurs à 1986), ont embarqué sur le ferry-boat à Portsmouth, avant de poser les gommes sur les routes du continent à Saint-Malo. Une halte au Moulin de l'Evêque plus tard, et provenant de Montauban, les petits bolides sont repartis en direction de l’Andorre, avec une nuit prévue à Soldeu. Côté chiffres, l’équipage faisant la course en tête à la mi-journée se trouve au volant d’une Austin Healey 3000, drivée par Sarah et Ken Binstead.

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La Mini Cooper S de Dick et Harry Baines talonne les leaders 

Auront-ils eu le temps de déguster crème brûlée à la lavande, crêpes et pommes caramel de Sonnac, ou le Pavlova (meringue et poires de Sonnac) proposées par André Etienne ? Quoiqu’il en soit, en ce lundi matin, les équipages devraient prendre la direction de l’Espagne puis la route de « los Picos de Europa », avec le Portugal en ligne de mire. Bonne route à toutes et tous, « and have a safe trip ».

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La Porsche 911 SWB de Stephen Owens et Pete Johnson repart en 4e position

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Inquiétudes avant le col d'Envalira pour la Volvo 122 S de Noel Kelly et Andy Lane

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Le coffre de la Chevrolet Coupe semble parfait pour les longues distances

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A Rivel, la Triumph TR3 de Steve et Julia Robertson occupe la 5e place

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Volant à gauche pour la Chevrolet Coupe

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London Lisboa, la suite…

Et puis c’est bien connu, les artistes se font souvent attendre, ce qui aura été encore le cas en ce dimanche 24 avril. Alors que l’ensemble des concurrents invités à rallier la Principauté d’Andorre avant la nuit avaient repris la route, l’équipage composé de John et Catherine Harrison faisait son entrée sur les graviers du Moulin de l’Evêque.

Arrivés autour de 14 h 30 au volant d’une « La France Roadster », voiture construite en 1917 et doyenne de l’épreuve, John et Catherine ont raisonnablement pris le temps de faire le plein de calories, dans la perspective d’une fin de parcours agrémentée par la montée du Port d’Envalira.

Illustration d’une escale éclair calée entre Londres et Lisbonne, avec des photos de Julie Maria Smith, qui en journaliste avertie, savait qu’il ne fallait pas quitter trop tôt la scène de ce superbe ballet automobile.

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Prochaine halte,  la Principauté d'Andorre et Soldeu

Commentaires

  • J'ai entendu dire que Henri Pescarolo faisait partie de l'équipée sauvage de passage à Rivel. ! Bravo pour les organisateurs !

  • Une réponse tardive pour Choupette, je pense qu'Henri Pescarolo n'était pas au Moulin de l'Evêque. A l'exception d'un équipage allemand, les pilotes et navigateurs étaient tous de nationalité britannique. Par contre Henri Pescarolo sera au Mans en juin prochain, pour parrainer l'édition 2022 des 24 H du Mans.

  • Merci Momo pour ces renseignements .
    On compte sur toi pour nous informer dès que tu le sauras, du résultat

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