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  • Un jour, trois images

    maurice mazon,jean jalabertAu mois d’août 1951, les montagnards chalabrois s’accordent une pause-café au pied des pics Soularac et Saint-Barthélémy, à l’abri du vent. Au centre de la photo, Maurice Mazon, quart en main, et Simone Cayrol, accompagnés par des amis (photo Jean Jalabert).

    maurice mazon,jean jalabertAvant d’aborder les derniers mètres d’ascension vers les pics du Soularac et du Saint-Barthélémy, nos marcheurs (notez les jupes), démontrent qu'ils ont le pied montagnard, sur un beau névé. Au deuxième plan,  « les quatre lhançòls » de Monsieur Jean.

    maurice mazon,jean jalabertLa pente semble abrupte sous le Pog de Montségur, pour Maurice Mazon, Simone Cayrol, Madeleine et Jean Jalabert, accompagnés de leurs chiens. (Photos Collection Yves Jalabert)

  • Stationnement à Chalabre

    Sous ce titre, Maryse  Le Roy, citoyenne chalabroise nous prie d’insérer :

    « Automobilistes qui habitez ou travaillez à Chalabre, savez-vous qu'on ne peut se garer près de l'école maternelle ? Aucun panneau de signalisation ne l'indique !

    Quant au plan Vigipirate, il précise que le stationnement est interdit aux abords des écoles, collèges, lycées. N'est-ce pas le cas sur le parking Salvador Allende, celui du gymnase, ou tout autour du groupe scolaire ?

    Domiciliés à Chalabre depuis un bon nombre d'années, nous ne sommes pas de dangereux terroristes et nos voitures ne sont pas bourrées d'explosifs (seulement de boules de pétanque !!!). Je remercie l'agent verbalisateur, nouvel arrivé à Chalabre, qui ne manque pas de zèle... ».

  • Paul Olive n’est plus

    paul oliveLundi 7 novembre était accompagné vers sa dernière demeure, Paul Olive, domicilié aux Genêts, et décédé subitement à l’âge de 87 ans. Né à Carcassonne le 4 juillet 1929, il grandira en l’absence d’une mère qu’il perd très jeune, entrant dans la vie active dès l’âge de 14 ans. Il effectue l’apprentissage de la boulangerie à Err (Pyrénées-Orientales), puis il vient s’installer à Chalabre, où il trouve un emploi de boulanger-pâtissier à la Maison Sandral, cours Colbert. Des problèmes de santé l’amenant à abandonner un métier qu’il aime, il rejoint Lavelanet où il travaille à la couverture de la rivière Touyre, future esplanade de la capitale du Pays d’Olmes. Un chantier d’envergure au terme duquel il intègre les effectifs de l’usine Canat.

    Dans l’intervalle et après son service militaire, il rencontre Andréa Alabert, qu'il épouse en novembre 1950 dans la petite chapelle de l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques. Cinq enfants grandiront à leurs côtés. D’un caractère discret, il avait été responsable de la section locale de la Fnath. Affecté par les disparitions de Marie-Thérèse sa fille, en 2005, de son épouse Andréa en 2013, plus récemment de ses frères et sœur, Paul Olive était assidu tous les dimanches à l’office.

    Après la cérémonie religieuse célébrée en l’église Saint-Pierre, Paul Olive a été inhumé au cimetière du Casteillas à Villefort, où il repose aux côtés de son épouse Andréa. En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Danielle, Christian, Michel et Anne-Marie, ses enfants, à ses petits-enfants, ses arrière petits-enfants, à toutes les personnes que ce deuil affecte.

  • C’était hier : L’O.P.V.C. enflamme le cours Colbert

    L'article mis en ligne aujourd'hui avait été publié dans l'Indépendant, édition du samedi 2 novembre 1996.  

    opvc,café de la paix

    Castanhas, musique et vin nouveau (Photo archives, Octobre 1996).

    A l’occasion de la Fête des vendanges, célébrée en septembre 1995 par les joyeux drilles de l’O.P.V.C., une information pour le moins fantaisiste avait laissé entendre qu’il n’avait jamais poussé de vignes en Kercorb. Les anciens avaient très vite réagi en évoquant leurs souvenirs de vendanges sur les coteaux du mont Calvaire (photo en fin d'article), au grand soulagement des plus jeunes qui se voyaient ainsi accorder le droit légitime de fêter la sortie du vin nouveau.

    opvc,café de la paix

    opvc,café de la paix

    Et du plus jeune au plus ancien, les Chalabroises et les Chalabrois étaient samedi les hôtes de Fred et Betty, au café de la Paix, avec lesquels ils ont accueilli la Cuvée 1996. Le concours musical apporté par l’entreprenante et virtuose formation de l’O.P.V.C. est venu couronner le mariage de la châtaigne et du vin primeur.

    opvc,café de la paix

    Vendanges au pied du Calvaire, dans les années 1960.

    Assis, Vincent Alegre, debout de gauche à droite : Berthe Rey, Marie-Thérèse Guinchard (masquée), Louise Peyre, Mimi Courtade (Marinette, épouse de Roger Dombris), Thérèse Jean épouse José Trujillo, Jeannette Courtade, Georges Peyre (Merci à Vincent Alegre pour ses souvenirs intacts).