Alexandre Pereira a transmis le relais à Marie-Eve Dumons. 

Vendredi 10 juillet, les footballeurs du président Alexandre Pereira étaient réunis au club-house du stade intercommunal, à l’occasion de l’assemblée générale annuelle du F.C Chalabre. Le président saluait la présence des sociétaires du club, avant un rapport d’activités qui a permis de saluer le parcours des équipes seniors engagées en championnat D2 (1ère division) et D4 (2e division). Invaincue au terme d’une saison certes écourtée, l’équipe fanion accède au niveau supérieur (D1, promotion honneur), tandis que les réservistes échouent aux portes de la montée. La saison de l’école de football aura été moins constante, mais elle aura permis à un peu plus de vingt enfants de 6 à 11 ans, de s’adonner à leur sport préféré. A la conclusion de son intervention, Alexandre Pereira évoquait avec émotion l’absence de la cheville ouvrière du club, de l’ami, Fabrice Canal, éloigné depuis plusieurs semaines de ses partenaires et du terrain. Un chaleureux message de soutien lui était adressé, au nom de chaque joueur et dirigeant du FCC.

Un compte de résultat positif était ensuite dressé par Cécile Grau, trésorière du FCC, qui soulignait le défaut de recettes à prendre en compte, inhérent à l’annulation de plusieurs animations (Tournoi d’été, fête du Cazal).

Au terme de trois années à la tête du club, fin d’un mandat annoncé, Alexandre Pereira proposait sa démission et recevait la reconnaissance de l’assemblée, avant que chacun ne se projette vers une nouvelle saison. Laquelle sera abordée par le club chalabrois avec Marie-Eve Dumons en qualité de présidente, épaulée par le groupe suivant : vice-présidents Guillaume Smagghe et Alexandre Pereira, secrétaire Patricia Lemeux, adjointe Aude Padet, trésorier Guillaume Smagghe, adjoint Christophe Borie. Un prochain rendez-vous permettra à la nouvelle équipe de préparer en détail, l’entrée du FCC dans la saison 2020-2021.

Le marquis Jean-François de Mauléon-Narbonne est décédé le 16 juillet à Bruxelles (Belgique), à l'âge de 86 ans. Une cérémonie religieuse sera célébrée à sa mémoire le mercredi 22 juillet à 15 heures en l’église Saint-Germain-l’Auxerrois, Paris (Ier). L'inhumation se fera le vendredi 24 juillet à 15 heures au cimetière de Chalabre.

Au milieu du siècle dernier, « le rayonnement des chaussures Canat s'étendait sur tout le territoire de l'Union française et des pays voisins » (Marie-Louise Saddier, Tome VI Il était une fois Chalabre). Avec un potentiel industriel de pointe, une production et un savoir-faire d'un haut niveau de qualité, les Ets Antoine Canat avaient incontestablement favorisé l'essor industriel du pays chalabrais (voir l'historique détaillé de la société dans ce même Tome VI, rédigé sous la plume de Robert Roncalli).

Bien avant l’ère des multinationales, la chaussure «  Made in Chalabre » savait déjà soigner son image, grâce à la communication et à un effort publicitaire constant. Comme en témoignent deux pages de « réclame », gravées dans l’objectif de Maurice Mazon. Elles sont signées Jacques Lalande, créateur également du bas-relief « La Musique », visible au théâtre George Méliès.

Campagne pour le modèle Antibes

Campagne pour le modèle Auteuil

« La seule certitude que j’ai, c’est d’être dans le doute »

(Pierre Desproges)

D'après une piste proposée par « Chacha », qu’il faut remercier, des témoins ayant grandi dans le Sonnacois étaient en mesure de certifier que la carcasse de voiture remise à jour lors de la crue de janvier dernier, est une Peugeot 403. Certains affirment même deviner où pourrait se trouver la carte grise.

Pourtant, une observation plus détaillée du capot avant, mais aussi des portières et du sens de leur ouverture, laisse à nouveau émerger le doute. Pour aller dans le sens des précisions apportées hier par François, il semble même évident que cette 403 n’en est pas une. La comparaison de l'avant des voitures, ci-dessus et ci-dessous, peut-elle suffire ? « 403 or not 403 ? », la question sera restée sans réponse moins longtemps que ce vestige automobile ne sera resté dans l'eau. Vestige d'une citadine surnommée en son temps « la Quatre pattes », premier modèle français produit à plus d'un million d'exemplaires par le constructeur Renault. En un chiffre et deux lettres, la « 4 CH ».

Le modèle cabriolet 403