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Sport - Page 146

  • C’était hier : Les Foulées du Kercorb au IVe marathon de la Cité

    L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant édition du dimanche 14 octobre 2007.

    foulées du kercorbFrançois Bueno et Jean-Pierre Silvestre se retrouvent ce matin au pied de la Cité (Photo archives, Août 2007, Ronde des Sapins au Pays de Sault).

    Les coureurs de fond chalabrois seront ce matin à Carcassonne où ils prendront le départ de la IVe édition du Marathon la Cité. Seul engagé sur l’épreuve des 42,195 km, François Bueno essaiera de passer sous la barre des 3 h et d’améliorer ainsi le chrono de l’an passé (3 h 11’). Sur la distance du semi-marathon, un trio composé d’Hervé Taurin, Jean-Pierre Silvestre et Christian Moralès mettront tout en oeuvre pour bloquer les aiguilles du chrono sur 1 h 30’. Après le podium décroché à la course des Cimes de Bugarach (17 km), le vétéran Jean-Pierre Silvestre fera une fois encore figure de lièvre pour ses partenaires.     

  • Tennis : Le TCC vainqueur en Malepère

    tc du chalabraisLes deux formations réunies au terme des échanges.

    Dimanche 9 octobre à Alairac, la quatrième journée de la coupe de l’Aude senior mixte 3e série proposait une rencontre entre le club de l'Entente Tennistique de la Malepère (ETM) et le TC du Chalabrais. Deux formations habituées à se confronter, avec cette fois une issue favorable au TCC, vainqueur sur le score de 4 à 1.

    Malgré l’écart à la marque, les duels auront été de belle facture, le premier point étant acquis par Lucas Martinez, vainqueur de Maël Esparseil (6-0, 6-2). Sylvain Dumons double la mise face à Gabin Berland (6-3, 3-6, 6-1), puis Céline Amiel prend le meilleur sur Nathalie Salmon (7-5, 6-1), le TCC est à un point du succès.

    Le duo mixte de la Malepère va remettre l’ETM dans le jeu, Olivier Esparseil et Cécile Dupuis opposés à Bruno Carbonnel et Manon Gimenez reviennent à 1 point du TCC, sur le score de 3-6, 6-3, 11-9. Décisif, le dernier double de l’après-midi sera enlevé par la paire Lucas Martinez-Sylvain Dumons, 6-1, 7-6. Félicitations à l'ensemble des compétiteurs.

  • C’était hier : Handball : Yannick Martin et ses amis sur le parquet

    L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du vendredi 12 octobre 2007.

    yannick martinYannick Martin, Christophe Le Foll, Julian Canilhac et Michaël Martin défendent les couleurs du Pays-d’Olmes (Photo archives, Octobre 2007).

    A l’image de leurs camarades rugbymen, de nombreux jeunes sportifs du Kercorb profitent de la proximité du Pays-d’Olmes pour s’adonner à la pratique de leur sport favori. C’est ainsi que Yannick et Michaël Martin, Christophe et Frédéric Le Foll, et Julian Canilhac partagent tous les vendredis avec leurs voisins ariégeois, les séances d’entraînement dispensé de 21 h à 22 h 30 par les moniteurs du Handball Club Lavelanet Pays-d’Olmes (HBCLPO). Plusieurs catégories d’âge sont concernées et des moins de 9 ans aux moins de 18 ans, six équipes se retrouvent engagées dans le championnat de Midi-Pyrénées. L’encadrement du club misant sur sa structure, vient de mettre en place une section « baby hand », réservée à l’initiation des enfants de moins de 6 ans.

    yannick martinLa belle motivation affichée par la bande à Yannick confirme comme s’il fallait, que le handball garde une place privilégiée en Kercorb. L’occasion d’évoquer le souvenir des années 1965, de Jean Tarbouriech * professeur de maths et coach de hand à ses heures, des tirs foudroyants de Serge Nègre, terreur des gardiens. Plus récemment, les titres UNSS attribués aux équipes du collège Antoine-Pons drivées par Patrick et Monique Rault. Handballeurs en herbe régulièrement présents dans les gradins du Palais des Sports de Toulouse, et premiers et vibrants supporters des Spacers et de Claude Onesta.

    Tout de jaune et noir vêtus, Yannick et ses partenaires entreront ce samedi à 18 h 30 sur le parquet du gymnase du lycée Jacquard, opposés au club de Lourdes pour la troisième manche du championnat 2007-2008. 

    * Année 1965-1966. De gauche à droite, debout, Jean Tarbouriech, Francis Romero, Serge Nègre, Daniel Delpech. Accroupis, Alain Saurel, Michel Brembilla, Gérard Calbo, Daniel Gaubert.

    yannick martin

    1965-1966 Finale contre Castelnaudary

    Serge Nègre ballon en main, au deuxième plan, Alain Saurel

  • C'était hier : Ils ont atteint le pic Aneto

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du jeudi 11 octobre 2007.

    randonneurs du kercorbDenis, Jean et Yvan ont posé le sac sur le toit des Pyrénées (Photo archives, septembre 2007).

    Les randonneurs du Kercorb qui restaient sur deux échecs consécutifs dans leur tentative d’ascension du « Pico Aneto » repartaient dernièrement à l’assaut des 3404 mètres de ce mythique sommet des Pyrénées. Six marcheurs chevronnés n’ont rien laissé au hasard dans la confection du paquetage, avant de prendre la route des Hautes-Pyrénées, cap sur l’Hospice de France via Luchon.

    A pied d’œuvre au douzième coup de midi, l’équipée franchissait un premier torrent à 1385 m, petit pas petit pied réglé dans le tempo de Jean premier de cordée.  Annie, Nicole, Denis, Yvan et Yves atteignaient ainsi le refuge de Vénasque perché à 2240m. Accueillis par le sourire d’Emma, les marcheurs souffleront devant le bleu profond d’un lac sur lequel flottent encore les derniers blocs de glace de l’hiver 2006. Le temps de passer commande d’une tartiflette pour six à consommer au retour et l’altimètre de Denis affichait 2450 m. Avec en prime une vue grandiose depuis l’échancrure du Port de Vénasque, sur le massif de la Maladetta. En contrebas, la cascade « del Aiguallut » déverse des trombes d’eau vers un Trou du Toro qui conserve tout son mystère. Le tout à quelques mètres du refuge de la Rencluse où les Chalabrois sont attendus pour la nuit.

    Précédant un soleil qui cette fois allait se lever, les lampes frontales de sortie dès 5 h du matin vont se révéler très précieuses jusqu’à la jonction avec le Portillon Supérieur là-haut à 2870m. Ivresse des sommets aidant, Yves s’en remet à une boussole qui va le conduire vers le Maladetta, tandis que Denis, Jean et Yvan négocient l’inamovible pluviomètre sur sa gauche et filent vers un glacier mis à mal par un effet de serre ravageur.

    Le Pas de Mahomet est en vue, les cordages sont tirés du sac, « el Pico Aneto » est là, les marcheurs précèdent la brume et s’accordent enfin le privilège de trinquer sur le toit des Pyrénées. Le retour vers la Rencluse permettra à la cordée de se reformer et d’abandonner la montagne à l’hiver.