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Chalabre - Page 1282

  • C’était hier : Suivez l’info avec Dédé

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 14 mars 1996.

    andré mametAndré Mamet, ponctuel et assidu, par tous les temps (Photo archives, Mars 1996).

    A l’heure où nos cours et nos rues dorment encore dans la douce lumière des réverbères, André Mamet arpente méthodiquement les trottoirs chalabrois, une énorme sacoche pleine d’informations en bandoulière. C’est ainsi qu’aux alentours de 6 h 30 chaque matin, Dédé fait sa tournée avec une constance de métronome, à ce point régulière que nos fidèles lecteurs sont véritablement devenus dépendants de ce messager noctambule, un comble pour les habitués de notre titre. Les hasards du calendrier ne perturbent en rien les bonnes habitudes d’André Mamet, les matins de Noël ou du jour de l’An sont pour lui des matins comme les autres, et s’il s’agit de braver les intempéries comme ce fut le cas dernièrement, André en redemande. Il pleut pleuvoir sur les trottoirs, Dédé s’en fiche et c’est tant mieux.

  • C’était hier : Une grange en feu à Montjardin

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 14 mars 1996.

    caserne jean-cabanierLes flammes n’ont rien épargné (Photo archives, Mars 1996).

    Dans la nuit du samedi 9 mars, aux environs de 2 h 30, les sapeurs-pompiers de la caserne Jean-Cabanier de Chalabre étaient appelés sur la commune de Montjardin où un violent incendie ravageait une grange appartenant à M. Marcel Franc, agriculteur. Malgré l’intervention rapide de nos soldats du feu, les flammes n’ont rien épargné, allant même jusqu’à menacer la maison d’habitation où loge la famille Franc. La proximité d’un stock de bouteilles de gaz aurait pu provoquer le pire, si les chiens alertés par le crépitement du brasier n’avaient en aboyant réussi à tirer de leur sommeil les membres de la famille de Marcel Franc.

    Au-delà du matériel entreposé dans la grange, deux véhicules ont entièrement été détruits par les flammes d’un incendie qui laisse planer des doutes quant à son origine. La brigade de gendarmerie de Chalabre procède actuellement à l’enquête d’usage, sachant que des indices suspects ont également été relevés dans un hangar situé à l’entrée de Chalabre.

    caserne jean-cabanier

  • Les chasseurs de gros gibier interpellent leur président

    chasse à villefortPatrick Danjou, porte-parole du groupement des présidents en colère.

    Après l’annonce gouvernementale portant sur la diminution du prix du permis de chasser, la fédération nationale de chasse a instauré une taxe visant à compenser la perte financière induite. Cette contribution nouvelle, appelée taxe à l’hectare et demandée aux chasseurs, est destinée à assurer l’indemnisation des dégâts occasionnés par le grand gibier. Dégâts qui sont désormais estimés et payés sur la base d’un territoire de chasse et non plus sur le permis du chasseur.

    Ce choix national, loin de faire l’unanimité, a motivé la création d’un collectif fédéré sous l’appellation « Groupement des présidents en colère ». Il réunit plusieurs sociétés de chasse de la Haute-Vallée de l’Aude et du pays chalabrais, et vient d’adresser une lettre à Yves Bastié, président de la fédération des chasseurs de l'Aude. Afin de lui signifier combien cette taxe pénalise de manière drastique, la gestion de leur trésorerie.

    Comme le précise Patrick Danjou, porte-parole du groupement des présidents en colère, « Notre territoire inclus la commune de Fa, Saint-Jean-de-Paracol, Festes, La Serpent et Villefort, soit environ un peu plus de 3000 hectares. Cette taxe s’élève à 4050 € et nous avons été dans l'obligation d'augmenter le prix des cotisations, pour essayer de maintenir notre budget à l’équilibre. De ce fait, nombre de nos adhérents, souvent retraités, préfèrent déposer les fusils ou changer de département ».

    Autre élément avancé dans la lettre, « le Covid et ses confinements successifs ont amené les élus à prendre conscience que la chasse au gros gibier était indispensable à sa régulation. Ce qui a amené le gouvernement à reconnaître que notre activité relevait de l’utilité publique ».

    En conclusion de leur courrier, les chasseurs en appellent à la compréhension du président départemental, « afin de régler, avec nos élus, l'annulation pure et simple de la taxe pour la saison prochaine ».

  • Quand le FEP accueillait Clo Clo

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    Christian Sanchez en 1974, sur les planches du théâtre municipal de Chalabre

    Photos Simone Sanchez Santoro

    43 ans après la disparition de Claude François le samedi 11 mars 1978, certains de nos concitoyens ont certainement gardé en mémoire les deux spectacles qui avaient été donnés sur la scène du théâtre municipal chalabrois. C’était en 1974 et en 1978, et l’organisation de ces deux rendez-vous à l’attention des fans de « Cloclo », avait été remarquablement assurée par le foyer d’éducation populaire (FEP) et son animateur, Christian Dhomps.

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    L’auteur de « My way » n’avait pas effectué le déplacement en Kercorb, et pour cause, un jeune alter ego natif de Chalabre et dernier bébé de Justine Cammage, avait assuré le spectacle. Aux côtés des tout aussi célèbres « Clodettes », Christian Sanchez avait par deux fois, subjugué une salle de spectacle comble, grâce à la qualité d’interprétations tirées du répertoire de l’idole des jeunes des années 1970.

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    Christian Sanchez et ses Clodettes, en 1978 : 1er rang : Elise Diaz, Christian Sanchez, Muriel Fort. 2e rang : Corinne Azam, Jacqueline Lara (spectacle proposé dans le cadre des fêtes de l'Ascension)

     

    En 1974, Mesdemoiselles Marie-José Soler, Pascale Fort, Nadine Cazas, Myriam Castelnaud et Joëlle Fort composaient la formation des « Clodettes ».