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Chalabre - Page 1451

  • « Salle d’Asile » et arrêté préfectoral

    A la date du 30 juillet 1856, le journal Le Courrier de l’Aude, publiait l’information suivante :

    Hôtel-Dieu.jpg« Par arrêté de M. le préfet en date du 28 juillet 1856, il est institué un Comité local de patronage, près la Salle d’Asile de Chalabre. Ce Comité local, dont le Curé fait partie de droit, et qui est présidé par le Maire, est composé, pour cet Asile, ainsi qu’il suit :

    Mesdames : Marquise de Mauléon, née de la Rivière, Agathe-Octavie-Joséphine. Anduze-Faris, née Barthe-Delcasse, Elisa. Veuve Castres-St-Martin, née Anduze, Lazarine. Anduze, née Labaume, Adèle. Veuve Lasale, née Castres, Joséphine. Bézard, née Toursier, Clarisse. Chaubet, née Bastide, Clara. Lacombe, née Ribaute, Elisa. Audouy, née Castres, Augustine. Anduze-Acher, née Acher de Cabaniol, Alexandrine. Cambon, née Anduze, Françoise. Cazalens, Elisa. Nartigue, née Dodin, Placide. Veuve Vives, née Bataillé, Marie. Croux, née Bézard, Clara. Anduze, née Fonquernie, Victorine. Bézard-Falgas, née Viviès, Adèle. Vives, née Fort, Louise-Pauline ».

  • Printemps, entraide et solidarité

    Au cinquième jour de confinement, les citoyens de la cité chalabroise semblent s’adapter avec méthode à leur nouveau quotidien, imposé par une menace invisible mais sûrement présente. Certes les artères de la commune connaissent un peu d‘animation aux premières heures de la journée, mais très vite une chape de silence vient recouvrir rues et ruelles, que les personnels soignants et personnels d’accompagnement restent les seuls à emprunter. Maintenant ainsi un contact essentiel avec les plus isolés d’entre nous, ce pourquoi elles et ils sont chaudement remerciés. Remerciements également à toutes les personnes présentes sur le terrain, au service de la cité.

    L’entraide et la solidarité sont au rendez-vous, notamment après l’appel lancé par l’Ehpad des Hauts-de-Bon-Accueil. Un groupe de petites mains s’est très rapidement constitué, occupé depuis mercredi, à confectionner des masques chirurgicaux à l’attention des personnels qui veillent sur les pensionnaires de l’hôpital, ainsi que des personnels assurant les soins infirmiers à domicile. Ces couturières de l’urgence confectionnent à présent des protections pour nos sapeurs-pompiers. Dans un autre registre, et afin de limiter les sorties de nos concitoyens, un service de livraisons gratuites à domicile de produits de première nécessité, a été proposé par le commerce de proximité de la Route de Lavelanet.

  • C’était hier : Elie a rempli la garbuste

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mardi 21 mars 2000.

    pêche,elie franotUn pescofi heureux.

    D’un avis général, l’ouverture 2000 aurait été plutôt moyenne, ce qui à l’évidence n’est pas l’avis de notre jeune ami Elie Franot, auteur d’un coup exceptionnel sur les rives paisibles du Chalabreil.

    Lequel fut le plus surpris des deux, impossible à dire tant la dextérité de ce pescofi en herbe n’aura laissé aucune chance à une truite fario et sauvage présentant les mensurations respectables de 45 cm pour 1 kg de chair. Alerté par un premier mouvement du scion, Elie ne s’est nullement laissé impressionner, rassemblant toutes ses forces pour ramener sur la berge et en deux coups de cuillère à truite, une belle pensionnaire du vieux cours d’eau chalabrois.

    Pour le coup, Dame truite s’avouait vaincue, regrettant mais un peu tard, d’être sortie de sa « tutte ». Elie lui n’avait plus qu’à passer le relais à maman, pour une truite à l’amande réglementaire et certainement très délicieuse. Toutes nos félicitations à ce maître ès canne à pêche, qui mérite après ce joli coup, d’intégrer le cercle des disciples de Saint-Pierre.