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Lu dans la presse

Lu un 8 mars dans le Courrier de l'Aude, La Fraternité et Le Rappel de l'Aude.

1855 Le Courrier de l'Aude 21 février en-tête.jpg

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Le Courrier de l'Aude 8 mars 1899

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Le Courrier de l'Aude 8 mars 1913

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Le Courrier de l'Aude 8 mars 1893

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Le Courrier de l'Aude 8 mars 1894

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Le Courrier de l'Aude 8 mars 1862

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Le Courrier de l'Aude 8 mars 1901

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Le Courrier de l'Aude 8 mars 1918

La Fraternité en-tête.jpg

1871 La Fraternité 8 mars 001.jpg

La Fraternité 8 mars 1871

1876 La Fraternité 8 mars.jpg

La Fraternité 8 mars 1876

1871 La Fraternité 8 mars 002.jpg

La Fraternité 8 mars 1871

Rappel de l'Aude en-tête.jpg

1886 Le Rappel de l'Aude 8 mars 002.jpg

Le Rappel de l'Aude 8 mars 1886

1886 Le Rappel de l'Aude 8 mars 003.jpg

Le Rappel de l'Aude 8 mars 1886

Commentaires

  • On ne peux dire mieux : Même à l'époque ça brûlait de tous les côtés !! ...Au propre comme au figuré. Et on s'en délecte !

  • A propos de l'incendie de "L'Etoile d'or" du 8 mars 1899 que Momo nous a "dégotté" dans le Courrier de l'Aude... pour en savoir plus reportez-vous au Tome X de "Il était une fois Chalabre", page 142. Cet Hôtel restaurant se trouvait au n° 14 du Cours Colbert. Avant l'incendie il était la propriété de Antoine Huillet et Bernarde Colombiès. Il fut ensuite acheté par Paul et Françoise Authier. Leurs enfants, Jeanne et Louis furent sauvés de l'incendie en passant par la fenêtre du 1er étage.. Louis Authier prit le goût de la cuisine auprès de sa mère et grand-mère; il fit son apprentissage d'abord à Carcassonne, puis à Paris dans de grandes maisons avec même, une promesse d'embauche à la Cours d'Angleterre. La guerre de 14/18 mis fin à tous ses projets. Il y perdit la vue vers la fin de la guerre, en 1918, puis revint à Chalabre où il attira beaucoup de grands chefs, ses amis d'apprentissage. On fit souvent ripaille à L'Etoile d'Or.....Voir les menus pantagruéliques dans le tome X ainsi que la photo de l'hôtel-restaurant..

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