Jean-Luc Lapasset et Olivier Géraud sont prêts à défendre le titre.

Les traditionnelles festivités du 15 août organisées par « l’Entente Chalabre-La Bastide-Le Peyrat XV » se dérouleront samedi prochain selon le programme suivant : 14h 30, inscriptions pour le « Trophée François Lopez », concours de pétanque en doublettes sauvages (150 € plus mises plus coupes). La doublette Jean-Luc Lapasset et Olivier Géraud du Peyrat sur l’Hers, qui avait décroché le trophée 2010, remettra le titre en jeu. A 18h 30, remise des récompenses et apéritif-tapas. A 21h, une paëlla sera servie sur la grand-place du lotissement du lac (15 €, entrée, plat, dessert, vin, inscriptions au café des Sports, 04 68 69 21 39, avant le jeudi 11 août, amenez vos couverts).

A 22h 30, bal animé par D.J. Tonton Kéké et grand feu d’artifice offert par la municipalité, tiré sur les berges du lac à partir de 23h 30. Le club quinziste de la Vallée de l’Hers vous réserve son meilleur accueil et vous attend nombreux le samedi 13 août. Cette journée coïncidera avec le retour aux choses sérieuses, les joueurs sont attendus au stade Lolo Mazon le matin dès 9h 30, pour la première séance d’entraînement de la saison.  

La nouvelle de Bernard Baune (à droite) a obtenu les faveurs du jury.

L’étrange destinée du comte Amaury de Brassac aura permis à Bernard Baune de Lagardelle-sur-Lèze (Haute-Garonne), d’obtenir le premier prix du concours de nouvelles organisé par la mairie de Chalabre. Comme lors des cinq précédentes éditions, les candidats avaient toute liberté de choisir le support de leurs écrits, fantastique, historique, thriller ou romanesque, sur le thème cette fois de la chasse. Les appels lointains du cor auront donc résonné sur le Kercorb jusqu’au 1^er mars dernier, date à laquelle l’ensemble des nouvelles parvenues au n° 1 du Cours Sully, étaient soumises à l’appréciation d’un jury présidé par Philippe Ward (photo ci-dessous), avec Marylène Arens, Noëlle Danjou, Françoise Delamare, Jean-Marc Lofficier et Pierre Fonta.

La touche finale de l’édition 2011 était apportée tout dernièrement lors de la remise des prix, en présence d’une partie des auteurs et de Jean-Claude Dunyach, auteur toulousain de science-fiction, Jean-Daniel Breque traducteur et Jean-Luc Rivera, représentant la maison d'édition « L'oeil du Sphynx ». Accueillis par Christian Guilhamat maire de Chalabre, Jean-Marc Lofficier et Noëlle Danjou, coordinateurs du projet depuis sa création, les candidats ont pris connaissance  d’un palmarès qui consacre Bernard Baune, auteur de « Amaury de Brassac », le deuxième prix revenant à Jean-Marc Gilbert de Villeneuve (Gard) pour « Rite de chasse », le troisième prix pour Denis Julin de Saint Coutan (Charente), auteur de la nouvelle « Chasse @ courre ».

Un beau palmarès auquel il convient d’associer l’ensemble des candidats, félicités pour la qualité de leurs écrits, d’ores et déjà publiés dans un recueil intitulé « Parties de chasse », couverture de Helma Hartmann, disponible en mairie et à la bibliothèque. En l’absence excusée des lauréats des 2e et 3^e prix, Bernard Baune remerciait les organisateurs et saluait une heureuse initiative, désormais inscrite dans le temps. Etaient également récompensés, Christophe Derouault, François Dussoubz, Even, François Faix, Sylvie Fèvre-Tieulent, Isabelle Nagui-Leclerc et Jérôme Picot (photo ci-dessous).

Après les conclusions de Jean-Marc Lofficier et Philippe Ward, et des félicitations à l’adresse de Noëlle Danjou, la cérémonie se terminait autour d’un vin d’honneur. Peu avant, le thème de l’édition 2012 avait été dévoilé, qui traitera de "Sorcellerie".

Photo ci-dessous : François Dussoubz n'était pas venu de Nébias les mains vides, et a offert une aquarelle de sa création à la municipalité chalabroise.

VIIe édition réussie pour José, Titou, Serge et Alice, fidèles au rendez-vous du souvenir.

En présence d’un beau soleil revenu, émotion et beau jeu étaient réunis tout dernièrement entre les pagelles du stade Lolo Mazon, à l’occasion du traditionnel match de rugby organisé pour l’attribution du « Bouclier Raymond Fort ». De l’émotion, quand les Badalucs et leurs invités se sont inclinés à la mémoire du défunt président, en présence d’Alice et de ses filles. De l’émotion encore, lorsque le souvenir des anciens récemment décédés, Maurice Hygounet et Roger Raynaud a été évoqué. De l’émotion toujours, durant la minute de recueillement observée par les joueurs et les nombreux spectateurs, à la mémoire de Jean-Claude Sicre, disparu le 4 juillet dernier.

Le beau jeu était aussi au rendez-vous lorsque les deux sélections se sont affrontées sur une pelouse parfaite, avec un résultat final mettant dos-à-dos ou presque, les Badalucs et l’équipe du Président. En l’absence cumulée d’Arnaud Molini et de Joël Laffite, réquisitionnés par l’ami Richard pour la « mounjetado » du soir, les Badalucs ont joué cartes sur table en envoyant les gros devant. Composée d’un éventail des « Cissous Boys» de Montpellier, des campeurs de St Jory et de Chalabrois sélectionnés entre le guichet et la buvette, l’équipe du Président a rapidement pris ses marques en privilégiant les longues chevauchées de trois-quarts. Pour le plus grand plaisir des aficionados rassemblés à distance raisonnable de la guinguette tenue par Christine et Sophie.

Plusieurs essais de belle facture seront proposés aux officiels du club de la « Ressègue » (photo ci-dessus), hélas autant donner de la confiture à des cochons, trop occupés à pointer ballons tombés ou passes dans les chaussettes. Côté Badalucs, Olivier Carbonneau mettra ses adversaires dans les fraises et ira aplatir un essai, au terme d’une double accélération et d’un pas de l’oie. Souvent sollicité, Jeff Toustou remontera lui aussi de précieux ballons. En face, les postures chaloupées de « Tchicho » Canal perturberont souvent la défense inversée du duo Babou-Sanchez. De même que le jeu développé par les « Cissous » (photo ci-dessous), aura rappelé les meilleures années en bleu et blanc de José Sanchez, président des Badalucs. Le tout arbitré par Christian Laffont et Romain Sicre, préposés au sifflet et à la hauteur.

La remise des récompenses permettra à Serge Murillo, ambassadeur des années 1970, de remettre un bouquet de fleurs à Alice, et le Bouclier Raymond Fort aux visiteurs héraultais (photo ci-dessous). Prélude à une soirée festive et gastronomique qui commencera avec un apéritif offert par l’ami Francis. Le tout dans un déploiement de partitions fournies par l’OPVC, la fanfare Tarabrass et les percussions de Tonton Kéké.

Cet article s'inspire d'un texte écrit par Philippe Cnocquart.

Un album-photos Bouclier Raymond-Fort 2011 a été mis en ligne.

Une belle photo de famille, devant l’école communale. 

Rivel, berceau des Carbonneau, résonnait tout dernièrement aux accents de joyeuses retrouvailles, célébrées à la faveur d’un conseil de famille réunissant soixante et quatorze membres, disséminés d’ordinaire sur l’ensemble de l’hexagone. En 2010, une première édition de cette « cousinade » avait permis à chacun de partager de trop rares instants, tout en se promettant de reconduire l’heureuse initiative.

Sous un beau et rare soleil de juillet, les cousins stationnés entre Auvergne et Forez ont rejoint le Riveillou de leur enfance, emmenés par "Tatie Thérèse". Présente malgré un long déplacement et une petite santé, elle aura retrouvé tous ceux qui auront pu rester au pays, ainsi que la parenté exilée à Noisy-le-Sec. Les pensées allaient vers les êtres chers disparus, vers Jean-Claude Sicre décédé le 4 juillet dernier, puis des souhaits de prompt rétablissement étaient adressés à Pierre Courthieu,  par le biais de son fils Philippe, présent à la fête familiale. L’apéritif partagé sur la place de la Liberté permettait de saluer "Maylis", fille de Pauline Carbonneau et petite fille de Christian,  plus jeune des présents, du haut de ses trois mois.

Le repas partagé sous la vieille halle de Rivel, élaboré  par « Ciné Resto Richard », sera suivi  d'un concours de pétanque, d’un karaoké, de balades dans les rues de Rivel. La journée allait se poursuivre en soirée, à table et en musique, avec animation assurée par Fred et Karine. L’occasion d’interpréter en choeur « la Chanson des Carbonneau », paroles écrites par Régine et chantée sur l'air de "Peña Baiona". Jadis comparé à une ruche bourdonnante (André Lagarde), le village de Rivel s’endormait, chacun prenait alors rendez-vous pour 2012.