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C'était hier - Page 334

  • C’était hier : Les collégiens à la rencontre du chevalier à la Triste Figure

    L’article mis en ligne aujourd’hui avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 17 mars 2006.

    196912755.jpgLes potaches ont sympathisé avec l’ingénieux hidalgo (photo archives, mars 2006).

    Voilà plus de 400 ans qu’il promène sa silhouette de chevalier chargeant lance au poing les blancs moulins de la « Mancha ». Né de l’imagination de Miguel de Cervantès Saavedra commissaire au ravitaillement de l’Armada, Don Quichotte accompagné de son fidèle Sancho Pança a quitté sa chère « Meseta » castillane pour rendre visite au Kercorb. A l’initiative de Manuel Menèndez, professeur d’espagnol au collège Antoine-Pons, et en partenariat avec l’office de tourisme intercommunal, « El Quijote » a donc pris congé de la « venta » de Puerto Làpiche où il fut armé chevalier, pour accepter l’hébergement au n° 1 du Cours d’Aguesseau à Chalabre. Depuis le 13 et jusqu’au 18 mars, le chevalier à la Triste Figure vous attend pour une rencontre avec l’Histoire, à travers une exposition d’affiches prêtées par la colonie espagnole de Béziers. Une rétrospective que les élèves du collège accompagnés par leurs professeurs, ont visité durant toute la semaine, dans le cadre du 400e anniversaire de la mort de Cervantès. Les potaches qui travaillent sur ce thème ont apprécié la rencontre avec le plus noble et le plus simple des hommes, le plus fou et le plus sage, jugé sur sa « Rocinante » en quête de l’inaccessible étoile.

    Mercredi dernier, avait lieu la projection d’un film suivi d’un débat sur les aventures de Don Quichotte, avant une conférence animée par MM. Montané et Tejedor, professeurs d’espagnol à Béziers. Devant un parterre passionné, ils ont tour à tour proposé une analyse critique des versions traduites, avant de présenter leur interprétation propre du roman.

    « La semaine Cervantès » se poursuit jusqu’à demain samedi à l’office du tourisme (04 68 69 65 96), l’occasion de saluer encore l’excellente initiative de Manuel Menèndez (4e à partir de la gauche).

  • C’était hier : Suivez l’info avec Dédé

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 14 mars 1996.

    andré mametAndré Mamet, ponctuel et assidu, par tous les temps (Photo archives, Mars 1996).

    A l’heure où nos cours et nos rues dorment encore dans la douce lumière des réverbères, André Mamet arpente méthodiquement les trottoirs chalabrois, une énorme sacoche pleine d’informations en bandoulière. C’est ainsi qu’aux alentours de 6 h 30 chaque matin, Dédé fait sa tournée avec une constance de métronome, à ce point régulière que nos fidèles lecteurs sont véritablement devenus dépendants de ce messager noctambule, un comble pour les habitués de notre titre. Les hasards du calendrier ne perturbent en rien les bonnes habitudes d’André Mamet, les matins de Noël ou du jour de l’An sont pour lui des matins comme les autres, et s’il s’agit de braver les intempéries comme ce fut le cas dernièrement, André en redemande. Il pleut pleuvoir sur les trottoirs, Dédé s’en fiche et c’est tant mieux.

  • C’était hier : Une grange en feu à Montjardin

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 14 mars 1996.

    caserne jean-cabanierLes flammes n’ont rien épargné (Photo archives, Mars 1996).

    Dans la nuit du samedi 9 mars, aux environs de 2 h 30, les sapeurs-pompiers de la caserne Jean-Cabanier de Chalabre étaient appelés sur la commune de Montjardin où un violent incendie ravageait une grange appartenant à M. Marcel Franc, agriculteur. Malgré l’intervention rapide de nos soldats du feu, les flammes n’ont rien épargné, allant même jusqu’à menacer la maison d’habitation où loge la famille Franc. La proximité d’un stock de bouteilles de gaz aurait pu provoquer le pire, si les chiens alertés par le crépitement du brasier n’avaient en aboyant réussi à tirer de leur sommeil les membres de la famille de Marcel Franc.

    Au-delà du matériel entreposé dans la grange, deux véhicules ont entièrement été détruits par les flammes d’un incendie qui laisse planer des doutes quant à son origine. La brigade de gendarmerie de Chalabre procède actuellement à l’enquête d’usage, sachant que des indices suspects ont également été relevés dans un hangar situé à l’entrée de Chalabre.

    caserne jean-cabanier