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Carnet noir - Page 141

  • Solange Serrus n’est plus

    Solange SerrusLa triste nouvelle est parvenue depuis Paris son lieu de résidence, Solange Serrus née Joly est décédée à l’hôpital Lariboisière à l’âge de 82 ans. Née dans la capitale le 13 mai 1929, Solange Serrus était bien connue en pays chalabrais, où elle séjournait régulièrement, après son union avec Gaston Serrus, professeur de philosophie. D’un tempérament très dynamique, Solange Serrus s’investissait au service des autres et notamment dans les services de la mairie du XIe arrondissement où elle intervenait en tant que bénévole.

    Lieu de prédilection en période de vacances, le Kercorb qu’elle retrouvait toujours avec plaisir lui permettait de pratiquer vélo et marche. Activités partagées en compagnie de son mari, tous deux effectuaient de nombreuses randonnées sur les sommets environnants, avec une petite préférence pour un certain pic St Barthélémy.

    Une messe célébrée dernièrement en l’église St Ambroise a permis de lui adresser un dernier adieu, avant sa crémation au cimetière du Père Lachaise. En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Gaston son époux, à François, Olivier et Philippe ses enfants, à ses petits-enfants, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

  • Eugène Chrétien n’est plus

    Le plus Chalabrois des Alsaciens s'en est allé à l'âge de 83 ans.

    Eugène ChrétienLe regretté Eugène Chrétien.

    La cérémonie civile célébrée dernièrement dans le cimetière de St Pierre a permis de rendre un ultime hommage à Eugène Chrétien, domicilié route de Lavelanet et décédé à l’âge de 83 ans. Originaire de Strasbourg où il était né le 5 avril 1928, Eugène Chrétien s’était formé aux métiers de maçon et d’ajusteur mécanicien. Au sortir de la dure période de la guerre, il rencontre Suzanne, tous deux auront le bonheur de voir grandir auprès d’eux quatre enfants.

     A la tête d’une petite entreprise de maçonnerie en Alsace, le couple cèdera aux charmes du pays audois, à la faveur d’un séjour à Loupia, chez la soeur de Suzanne. En 1961, la petite famille vient s’installer dans l’Aude, à Villelongue d’abord où elle reconstitue sa petite entreprise de maçonnerie, puis à Chalabre en 1962 sur la demande du promoteur Serra, porteur d’un projet immobilier sur les hauteurs du Bourdil. Eugène Chrétien était une personne très avenante, passionné par la pêche et la chasse, la nature, mais aussi par le village de Chalabre, qu’il aura aimé jusqu'à son dernier souffle. En mars 1998, il avait eu la douleur de perdre son épouse, aux côtés de laquelle il avait veillé aux destinées de l’ancien café Rives, sur le cours Colbert, avant d’ouvrir un petit restaurant sur le bord du vieux canal.

    En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Hervé, Patricia, Carole et Tania ses enfants, à ses petits-enfants et arrière petits-enfants, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

  • Jean-Claude Sicre nous a quittés

    CIMG1197 b.jpgLa triste nouvelle que chacun redoutait est tombée ce lundi 4 juillet, Jean-Claude Sicre avait cessé de vivre, vaincu par un mal contre lequel il luttait courageusement depuis décembre dernier. Dès l’annonce de son décès, survenu à l’âge de 65 ans, toute une génération d’amis et partenaires de jeu, s’est retrouvée aux côtés de ses proches, dans le souvenir d’un passé commun et heureux. Jean-Claude Sicre était né à Chalabre le 1er mai 1946 et la première balle avec laquelle il avait joué était assurément ovale, tant son implication au sein de l’Union Sportive Chalabre XV aura été entière et constante. Incontournable élément de la première ligne, pilier et capitaine, il emmènera son équipe jusqu’au titre de champion du Languedoc 5e série lors de la saison 1969-1970. Avec ce bouclier, doublé d’une finale du Challenge Alpes-Méditerrannée remportée en 1976, il sera l'un des fers de lance du quinze aux couleurs du Kercorb, alors sous la présidence de Raymond Fort. Et s’il remise le maillot dans le milieu des années 1980, non sans avoir transmis sa passion à Stéphane et Romain ses deux fils, c’est pour arborer le paletot blanc bleu des « Badalucs », association de vétérans.

    DSC_1214.JPGJuillet 2010, Jean-Claude et les Badalucs, lors du Jubilé de l'ami Francis Amouroux.

    Sur le plan professionnel, Jean-Claude Sicre avait effectué l’essentiel de sa carrière à Bélesta (Ariège), au sein de l’entreprise Salvayre, où il avait fait valoir ses droits à la retraite. Mais l’ancien tourneur fraiseur n’avait jamais pu se résoudre à tourner la page. C’est ainsi qu’il avait gardé le contact avec la chose métallique, juste pour le plaisir de laisser son imagination faire des siennes. Délivré de tout impératif imposé par les cotes d'alésage, l’artiste qui s’ignorait avait fini par révéler au grand jour la force de sa créativité, et son habileté à détourner la matière de sa fonction première. Ses nombreuses créations vont désormais perpétuer le souvenir de Jean-Claude, pour qui chacun aura une pensée en admirant la belle croix occitane qui chaque soir éclaire le cours d’Aguesseau.

    Jeudi 7 juillet, une nombreuse assistance recueillie devant son domicile place du Pont Rouge, est venue lui dire au revoir et participer à l’émouvant hommage rendu par Bernard, le coéquipier et l’ami, porte-parole de la confrérie des Badalucs. Selon ses dernières volontés, Jean-Claude a été incinéré. En ces tristes circonstances, très sincères condoléances et amitiés à Martine son épouse, à Stéphane, Nadia et Romain ses enfants, à Gaëtan son petit-fils, à toutes les personnes que ce deuil afflige.  

  • Dominique Molini n’est plus

    dominique moliniMercredi 8 juin se déroulaient les obsèques religieuses de Dominique Molini, décédé à l’âge de 69 ans, des suites d’une longue maladie. Natif de la région Manche, il n’en cultivait pas moins les racines familiales, établies sur l’île de Beauté. Technicien dans le génie civil, ses obligations professionnelles l’avaient d’abord conduit vers Paris, puis Toulouse, c’est là qu’il résidait actuellement. Dominique Molini effectuait des séjours réguliers en pays chalabrais, d’où son épouse Colette est originaire, et affectionnait particulièrement les randonnées en montagne.

    Au cours de la bénédiction célébrée par les Soeurs de la Présentation de Marie, une nombreuse assistance réunie en l’église St Pierre lui a rendu un dernier hommage, tandis que montaient sous la nef, les chants d’une Corse qu’il portait au coeur.  

     En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Colette son épouse, à ses enfants Arnaud et Emmanuelle, à Enzo, Thom, Lisa et Thomas ses petits-enfants, à toutes les personnes que ce deuil afflige.