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Rencontres - Page 161

  • L'éolien fait débat même le dimanche

    L'association "Le cri du vent" a sensibilisé les chalands du vide-greniers.

    cri du vent,jean-luc bénet,éolien montjardin et corbièresJean-Luc Bénet (à gauche) a succédé à Jean-Louis Patisson à la présidence du Cri du vent.

    Dimanche 5 août, à la faveur d’un nouveau vide-grenier organisé sur les boulevards de la cité, un stand dressé sur le cours d’Aguesseau attirait particulièrement l’attention. L’occasion pour Jean-Luc Bénet, président de l’association le « Cri du vent », de sensibiliser le chaland sur le projet de parc éolien engagé sur les deux points culminants du Kercorb, par les communes de Montjardin (9 éoliennes) et Corbières (12 éoliennes).

    Et de préciser que l’action du « Cri du Vent » ne se résume pas à une opposition aux énergies renouvelables, mais est essentiellement une réaction face aux initiatives d’industriels issus du domaine privé. Comme mentionné sur des panneaux particulièrement explicites, les membres du « Cri du vent » ont écrit : "Oui au petit éolien, aux toitures photovoltaïques, au bois-énergie, à l’isolation des habitations, des locaux commerciaux et des bureaux", mais disent résolument "Non à l’éolien industriel".

    Côté chiffres, et après le retrait définitif de Sonnac-sur-l’Hers, intervenu au printemps 2011, les deux périmètres actuellement en cours de validation représentent 359 ha (40 % du territoire communal) et une puissance maximale de 31 MW pour Corbières, 61,5 ha (4,4 % du territoire communal) et une puissance maximale de 29 MW pour Montjardin.

    « Un pays sage respecte ses paysages » pouvait-on lire entre autres slogans avancés par les participants à une première action menée en 2009. A terme et d’ici à 2020, plus de 140 éoliennes devraient tourner sur une zone allant de Chalabre à Mirepoix. Comme l’explique Jean-Luc Bénet, « certains élus sont en train de vendre notre pays à un promoteur d’éolien industriel ». Il invite donc les personnes qui souhaitent exprimer leur opposition à ces projets, à participer à la grande manifestation qui aura lieu le samedi 29 septembre prochain. Et d’ajouter un mot de la fin certainement provisoire : « Les moulins à vent existaient bien avant le XVe siècle, et si l’éolienne était utile et efficace, Léonard de Vinci l’aurait inventée »

  • Le journal du Tour est passé par le France

    Claude Aymar.jpgClaude Aymar aux côtés de Didier, Julien et Marielle.

    C’était un dimanche festif, comme seul le Tour de France peut en procurer, et les cours chalabrois grouillaient d’une multitude cosmopolite, venue encourager les coureurs en partance pour l’Ariège, depuis Limoux. Bien avant que le trio d’échappés, formé de Sergio Paulinho, Martin Kruijswijk et le maillot vert Peter Sagan, ne s’engouffre dans une bastide pavoisée, les journalistes de France Télévisions avaient renoué avec la tradition.

    Comme ils prennent plaisir à le faire chaque fois que la Grande Boucle passe par le Kercorb, les commentateurs sportifs réservent une visite à l’hôtel de France. Une bonne habitude qui date peut-être du Tour 1961, lorsque Robert Chapatte en délicatesse avec un direct imminent, avait essayé de négocier un casse-croûte à Barthélémy Guilhem. Mais ceci est une autre histoire.

    Ainsi, après les consultants Raphaël Géminiani et Raymond Poulidor, les chroniqueurs Gérard Holtz, Nicolas Geay ou Laurent Bellet, Claude Aymar était présent dans les salons du France, accueilli par Didier et Marielle Limouzy, et leur fils Julien. L’occasion d’apprécier la sérénité d’une nuit chalabroise, et de refaire le plein d'énergie. Un copieux petit-déjeuner plus tard, et après avoir échangé quelques mots avec les sapeurs-pompiers de l’adjudant-chef Stéphane Ferrier, il était l’heure pour Claude Aymar de reprendre le fil du Tour. Non sans avoir salué l’hospitalité de ses hôtes qu’il reviendra saluer à la première occasion. 

  • Au rendez-vous des auteurs

    Ch. Derouault.jpgChristophe Derouault, un fidèle au rendez-vous de l’écriture.

    A l'occasion de la remise des prix du 7e Concours de nouvelles organisé par la mairie, en collaboration avec la bibliothèque municipale, de nombreux auteurs régionaux seront présents aujourd’hui samedi 11 août, aux côtés des lauréats 2012. Sur le thème de la sorcellerie, un jury présidé par Philippe Ward a décerné le premier prix à Jean-Marie Calvet pour sa nouvelle "Les pétrifiés", Grégory Hirson décroche le deuxième prix avec « La page déchirée ». Le troisième prix revient à Mme Valérie Simon pour sa nouvelle « Le sourcier et la jeune fille au bord du gouffre ». Un beau palmarès qui couronne pour première fois un Audois, puisque le lauréat 2012 réside à Naurouze-Labastide.

    Comme chaque année, un recueil dans lequel le lecteur pourra retrouver l’ensemble des textes primés, sera édité. Une exposition intitulée "6 projets pour une couverture ", proposée par Christian Wallon, à qui les organisateurs doivent l’œuvre illustrant la couverture de la livraison 2012, sera visible, ainsi qu'une expo de la bibliothèque départementale, intitulée "Boîte à nouvelles".

    Rendez-vous à la mairie, cours Sully, aujourd’hui de 15h à 18h pour une rencontre avec les auteurs. La remise des prix du Concours 2012, assurée par Noëlle Danjou et Christian Guilhamat aura lieu à 15h30. Avec la participation de Arnot, Jean-Marie Calvet, Christophe Derouault, Even, Lise Guilhamat, Marie-Christine Lacube, Jean-Marc Lofficier, Randy Lofficier, Richard D. Nolane, Jean-Luc Rivera, Philippe Ward, et l’association Il était une fois Chalabre. 

  • Fa et Chris, les mariés de l’été

    Christelle et Fabrice Juillet 2012.jpgC’était le samedi 28 juillet, le grand jour pour Christelle Pierron et Fabrice Canal, qui unissaient leurs destinées avec la complicité de leurs deux beaux petits garçons, Ilan et Ethan. La petite famille s’est promptement retrouvée aux côtés d’une sympathique assemblée de parents et d’amis, impatients de partager une journée tout simplement exceptionnelle.

    Une fois n’est pas coutume, le stade intercommunal tout proche sera superbement ignoré par le capitaine du Football Club Chalabrois, sa tendre promise et leurs invités. Le joyeux cortège préférant rejoindre la maison commune où Geneviève Carbou mettait à la disposition des futurs époux, un registre de l’état-civil qui allait s’enrichir de deux nouvelles signatures. Il suffisait alors de rallier l’église Saint-Pierre où l’abbé Raymond Cazaban recueillait un échange de consentements, salué par une salve d’applaudissements montant sous la nef. Après la bénédiction nuptiale, les jeunes mariés attendus sur le parvis par une congrégation de sportifs, allaient passer sous une haie d’honneur composée d’un beau panaché de ballons ronds et ovales, symbolique coup d’envoi d’une nouvelle existence.

    christelle pierron,fabrice canal 

    Fabrice et Christelle se sont dit oui.

    La fête s’est alors poursuivie sur la grande place du Cazal, lieu festif par excellence, habitué à accueillir les grands rendez-vous. Sous un ballet de nuages menaçants mais courtois, les notes de musique distillées par les amis musiciens ont parachevé le témoignage d'affection et d'estime dont bénéficient les jeunes mariés et leurs parents. Il était l’heure de rejoindre la table de Maître Richard au « Puy Verd », où chacun a partagé une fête hors du commun, pour un événement qui ne l’était pas moins. Toutes nos félicitations aux jeunes mariés, à leurs parents, avec tous nos vœux de bonheur les plus sincères.