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françois lopez

  • C’était hier : Les poules de François n’en font qu’à leur crête

    L'article en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du samedi 4 février 1995.

    françois lopezDes œufs sur mesure et à la demande

    Photo archives, Janvier 1995

    Notre ami François Lopez qui maîtrise parfaitement l’art de cultiver son jardin potager se double d’un éleveur hors-pair, entretenant une basse-cour qui lui a régulièrement apporté joies et satisfactions. Aujourd’hui pourtant, il y a de la brouille dans l’air et le malaise couve entre François et la dernière pensionnaire de son poulailler. Cette pondeuse émérite au comportement toujours égal n’est plus en mesure d’aligner deux œufs du même calibre.

    François ne nous a pas caché son inquiétude et s’interroge sur les mesures à prendre. Possède-t-il une poule cabotine, prépare-t-elle Pâques en secret, ou bien souffre-t-elle tout simplement de solitude ?

  • C'était hier : Ginette et François ont fêté leurs noces d'or

    L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du mardi 10 janvier 1995.

    françois lopez

    Ginette et François entourés de leur belle petite famille

    Photo archives, Janvier 1995

    C'était le 2 janvier 1945 et malgré une bise glaciale, l'abbé Raymond Fourtanier accueillait sur le parvis de l'église Saint-Pierre, un couple de jeunes gens décidés à franchir le pas avec la nouvelle année naissante. Ginette Salvetat et François Lopez entreprenaient ainsi la passionnante expérience de la vie à deux.

    Cinquante années ont passé, des années de vie commune pour deux Chalabrois « pure souche » ou presque. Originaire du beau petit village espagnol de Ayna (Castille-La Mancha), François est en Kercorb depuis l'âge de trois ans, Ginette est née au sein d'une ancienne famille chalabroise. La nouvelle année 1995 ne pouvait mieux débuter, et l'événement a été célébré comme il se doit.

    Maryvonne, Henri, Jean-Pierre et Daniel apportaient leurs suggestions et leurs concours pour un cocktail apéritif de derrière les muids concocté par Viviane, tandis que Papy François et Mamie Ginette mettaient les petits plats dans les grands, entourés de Tristan, Estelle, Emilie, Amandine et Lucille, petits-enfants excités d'être à pareille fête.

    Une fête qui s'est prolongée dans la meilleure des ambiances familiales, et pour le plus grand bonheur de Ginette et François, comblés de pouvoir réunir une nouvelle fois leur belle petite famille, dans la chaleur d'un foyer fondé voici un demi-siècle.

  • C’était hier : La poule de François et la noria de Jean-François

    Les poules de François n’en font qu’à leur crête.

    Sous ce titre, l'article qui suit avait été publié dans l’Indépendant, édition du samedi 4 février 1995.

    François Février 1995 II.jpg

    Des œufs sur mesure, et à la demande (Photo archives, Février 1995).

    Notre ami François Lopez qui maîtrise parfaitement l’art de cultiver son jardin potager se double d’un éleveur hors-pair, entretenant une basse-cour qui lui a régulièrement apporté joies et satisfactions. Aujourd’hui pourtant, il y a de la brouille dans l’air et le malaise couve entre François et la dernière pensionnaire de son poulailler. Cette pondeuse émérite, au comportement toujours égal, n’est plus en mesure d’aligner deux œufs du même calibre. François ne nous a pas caché son inquiétude et s’interroge sur les mesures à prendre. Possède-t-il une poule cabotine, prépare-t-elle Pâques en secret, ou bien souffre-t-elle tout simplement de solitude ?

    La noria de la Soucaille du château ne sera pas restaurée.

    Ce court article avait été publié le vendredi 4 février 2005, dans l’Indépendant.

    Les vestiges d'une noria installée aux alentours de 1875 par Pierre Arnou, tuilier potier de son état, avaient attiré l'attention de l'association " Il était une fois Chalabre ", désireuse de remettre en valeur un site témoin du passé industriel de la commune de Chalabre. Ce mécanisme ingénieux qui permettait à l'artisan de capter l'eau du Blau, nécessaire à son activité de tuilier, se trouve sous la Soucaille du château, terrain appartenant à Jean-François de Mauléon.

    La demande formulée afin d'obtenir l'autorisation d'engager la restauration du site n'ayant pas reçu un accueil des plus favorables, l'équipe du président Michel Brembilla a préféré mettre son projet en sommeil.   

    Noria Soucaille II.JPGEmile Marty, Michel Alègre et Edmond Arnou (petit-fils de Pierre Arnou) devant les rouages de la noria de la Soucaille, avant sa "délocalisation " (photos archives mars 2004).

  • Le «Trophée François Lopez» pour les voisins du Peyrat

    Trophée F. Lopez II.jpgViviane et Daniel Lopez ont récompensé vainqueurs et finalistes.

    L'édition 2010 de la traditionnelle fête de quartier du lac s'est déroulée le samedi 14 août, sous l'égide du club de rugby de l'USC Kercorb, qui sera associé dès la rentrée prochaine à son homologue de La Bastide sur l'Hers et Le Peyrat. Le ciel menaçant aura contraint les organisateurs à se replier vers la Place Charles Amouroux où les pétanqueurs retrouvaient leur terrain de prédilection. Dès 14h, vingt et une doublettes allaient se disputer le privilège de soulever le «Trophée François-Lopez», un prix destiné à perpétuer le souvenir d'un sportif disparu le 3 mai 2007, brillant trois-quart aile de l'USC XV des années 1940-1950 et fondateur en 1979 du Cyclo Club du Chalabrais.

    La finale de cette deuxième édition est enlevée par la paire venue du Peyrat sur l'Hers et composée de Jean-Luc Lapasset et Olivier Géraud. Ces derniers venant à bout non sans peine d'un duo emmené par Lucien Tornato, vainqueur de l'édition 2009. Egalement très serrée, la finale du repêchage reviendra à Olivier Carbonneau et Jean-François Pichéric, duo de rugbymen retraités (photo ci-dessous). Aux côtés de Serge Nègre co-président de l'USCKBP, Viviane et Daniel Lopez remettaient les prix aux brillants représentants de la Vallée de l'Hers et à leurs dauphins. L'heure était venue d'apprécier avec modération un apéritif réparateur.Repech.JPG

    La musique prenait le relais, distillée par le DJ Tonton Kéké, et l'ambiance allait monter crescendo aux abords du boulodrome où près de 100 convives étaient invités à apprécier une excellente paëlla (photo ci-dessous). La piste accueillerait ensuite un flot ininterrompu de « guincheurs », dernier intermède estival avant un retour imminent vers les pelouses et le championnat de rugby de Midi-Pyrénées.Lac Blog I.JPG