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hôtel-dieu saint-jacques chalabre

  • C’était hier : Quand le directeur de l’hôpital met la main à la pâte

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mercredi 30 décembre 1998.

    hôtel-dieu saint-jacques chalabre

    Un rôle inhabituel pour Jean-Jacques Aulombard

    Photo archives, Décembre 1998

    Avec la visite du Père Noël et la proximité des festivités de fin d’année, l’activité bat son plein au cœur de l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques où chacun s’affaire pour que les pensionnaires terminent 1998 dans une ambiance de fête.

    De fait, le dévoué personnel de l’hôpital local déjà très sollicité tout au long de l’année, a revu son rythme de travail à la hausse, ce qu‘il accompli de bonne grâce, aux petits soins pour nos anciens qui le méritent bien. Et à situation exceptionnelle, moyens exceptionnels, c’est ainsi que les filles de la maison de retraite ont bénéficié d’un renfort de choix, en la personne de Jean-Jacques Aulombard, directeur de l’Hôpital venu prêter main forte en cuisine. Non pas pour améliorer l’ordinaire, les « cuistots » y veillent déjà, mais juste pour apporter sa contribution aux préparatifs des fêtes de la Nativité. Un concours plutôt efficace que grands-mères et grands-pères n’ont pas été les derniers à apprécier, bien au contraire.

    Bonne Année 1999 à tous !

  • C'était hier : Tout pour la musique

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du mercredi 1er décembre 1993.

    christophe roncalli,hôtel-dieu saint-jacques chalabre

    Jean-Baptiste et Christophe, un duo à l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques

    Photos archives, samedi 20 novembre 1993

    Il est des rencontres qui doivent tout au hasard, celle qui a amené Christophe et Jean-Baptiste Roncalli à se retrouver sur une scène ne peut pas vraiment constituer une surprise. Quand Papa chantait, Jean-Baptiste écoutait et apprenait peut-être sans s'en rendre compte, des mélodies qu'ils ont chanté en duo et en avant-première samedi à Chalabre. Pour les pensionnaires de la maison de retraite d'abord, puis au théâtre municipal en soirée.

    christophe roncalli,hôtel-dieu saint-jacques chalabre

    Nostalgie à la maison de retraite

    « Que reste-t-il de nos amours », « Stubold », « La valse à mille temps »,... Les inconditionnels de la chanson française ont été comblés par l'interprétation attachante d'un répertoire éclectique et souvent empreint de nostalgie. Le petit Jean-Baptiste a fait samedi ses premiers pas sur la scène des grands, Christophe aura très bientôt son alter ego.

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    Un public nombreux pour une affiche inédite au théâtre municipal

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  • C’était hier : Les filles de l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques en goguette

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 25 septembre 1998.

    hôtel-dieu saint-jacques chalabreUn agréable moment de détente, bien trop rare pour le personnel de l’hôpital (photo archives, septembre 1998. De gauche à droite, Florence Bernard, Odette Zabouraeff, Patricia Farré, Anne-Marie Amiel, Dominique Martinez, Muriel Fort, Visita Lorca, Anne Danjou, Marie-Do Röösli, Christine Sanchez, Aline Guilhemat, Viviane Allias, Suzette Ferrier, Pascale Fort, Annie Buscail, Joëlle Fort).

    A force de se croiser dans les couloirs, de galoper d’un étage vers l’autre, les filles de l’hôpital local de Chalabre en arrivaient à ne plus se voir, à l’évidence, la communication « inter-personnel » avait un sacré coup dans l’aile. L’heure semblait grave, et dans l’urgence il fut décidé que l’été ne darderait pas ses derniers rayons de soleil, avant que toutes ces fringantes et pimpantes jeunes filles ne s’assoient enfin autour d’une bonne table.

    Ce qu’elles firent dès le premier vendredi venu, mettant le cap sur la vallée du Blau et plus précisément Puivert, où le dépaysement allait être total. Accueillies par de sympathiques Lusitaniens en un lieu convivial nommé « Rio d’Ouro », les ange gardiens de nos grands-mères et grands-pères auront goûté à cette ambiance qui fait battre le cœur de Braga, Guimaraes ou Matosinhos.

    En ce haut-lieu encore méconnu de la gastronomie ibère et portugaise, chacune d’entre elle aura oublié l’espace d’une « zarzuela », ces petits soucis qui nourrissent l’ordinaire. Bien sûr, la nuit fut des plus courtes, mais qu’importe, puisqu’au petit jour venu et avec un cœur gros comme ça, elles allaient retrouver leurs protégés impatients de découvrir par le menu, tous les détails d’une soirée en vérité très réussie.

  • C'était hier : « Marcel, on t'aime ! »

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 18 février 1993.

    marcel roquebernou,hôtel-dieu saint-jacques chalabreMarcel a reçu un téléviseur de la part des ses ami(e)s (Photo archives, Février 1993).

    Les filles de l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques ont un coeur gros comme ça, tous les pensionnaires vous le confirmeront. Mercredi soir, c'était la fête à Marcel. Marcel Roquebernou pour l'état-civil, Marcel pour tous ceux qui, au hasard d'une halte gastronomique à l'hôtel-restaurant Pont ont eu l'honneur et l'avantage d'être accueillis par le protégé de Baptistine.

    Toutes ces années au contact de l'autre ont favorisé une parfaite intégration à l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques, où sa disponibilité et son humeur toujours égale sont très appréciées. « Fromage ou dessert ? ». La question si souvent posée n'était plus de mise ce mercredi soir. Un mille-feuilles pour témoin, Marcel se voyait offrir un superbe téléviseur de la part du personnel de la cure et de la maison de retraite réuni au grand complet.

    La petite lucarne est ainsi rentrée dans ta chambre Marcel, mais sa présence ne t'empêchera pas d'être toujours aussi attentionné à l'égard de la grande famille qui t'entoure. « Merci quand même », et merci pour tout Marcel.