Priscille Paccoud, Sylvain Robert, Marc Bienne et Jean-Michel Julien en répétition.
Transformée en studio l’espace d’une répétition, la maison natale du général Jean-Antoine Déjean, dont l’histoire nous dit qu’il servit sous Bonaparte, héberge un quatuor d’artistes en quête de reconnaissance. Depuis la sortie le 1er novembre dernier de « Rien dans les poches », son tout premier album, Marc Bienne multiplie les rencontres et les prestations scéniques. Accompagné par Sylvain Robert à la guitare, Priscille Paccoud au violon et Jean-Michel Julien aux percussions, le chanteur originaire du sud-ouest écrit sur des thèmes qui évoquent le voyage et l’envie de partir, le temps qui s’enfuit, les femmes et l’amour, les rêves d’enfant que l’on a tous un peu trahis, le refus de la soumission.
Ancien skipper amené à bourlinguer sur toutes les mers du globe, ce fan de Brassens, de Souad Massi, de Bashung et de Cabrel, a posé son sac marin dans les Corbières, mais a gardé sa guitare à portée de main. Son souhait le plus cher à présent est de monter sur scène, de rencontrer le public et de prendre plaisir à partager l’expérience avec ses musiciens. Et bien sûr d’enregistrer de nouveaux albums, un clip vidéo sur une de ses chansons intitulées « Moi je n’ai rien » a été tourné à Paris juste avant Noël.
Vendredi 4 février prochain, Marc Bienne et ses musiciens se produiront à Castanet-Tolosan, première date sur un calendrier qui devrait permettre au groupe de se produire dans l'est de l’hexagone, la région parisienne et le grand ouest.