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Conversions sur le Cours d’Aguesseau

emilian dragomir

Raymonde Castres et Claire, sa maman

Le mercredi 17 mars prochain, le docteur Emilian Dragomir accueillera ses premiers patients pour consultation au numéro 7-9 du cours d’Aguesseau. L’occasion de revenir en images sur ce lieu chargé de souvenirs, qui perpétue la mémoire de Raymonde Castres, décédée en décembre 2011. Elle était l’âme d’une boutique dans laquelle lui succèderont tour à tour Roger et Monique Garros (1985-décembre 1994), Gilles et Guilaine Bourquin (janvier 1995-1999), Bernard et Bernadette Boffy (septembre 1999-décembre 2011). Le samedi 31 décembre 2011, les portes se refermaient définitivement sur tout un monde de souvenirs.

L’heure de la conversion venue, ce qui fut un bureau de tabacs puis maison de la presse pendant des décennies, accueillera en janvier 2014, l'équipe de l'unité des soins infirmiers à domicile. Et si le personnel du Ssiad a désormais élu domicile à l’Ehpad des Hauts-de-Bon-Accueil, l’immeuble du cours d’Aguesseau semble disposé à poursuivre sa nouvelle vocation médicale.

emilian dragomir

Raymonde Castres et son frère Charles, le 15 mai 1958

Fêtes de l'Ascension

emilian dragomir

emilian dragomir

Eté 1963, Raymonde Castres et le petit Pascal Servouze 

emilian dragomir

emilian dragomir

Septembre 1965

emilian dragomir

Janvier 2012

Commentaires

  • Je ne suis pas de Chalabre, ni du Kercorb, mais avec plaisir, et intérêt je ne manque jamais de lire votre blog..
    Ce reportage, et ses photos, sur un commerce de Chalabre me ravissent. Cet après midi, est prévu que je passe par Chalabre, je fais le détour par le 7 cours d'Aguesseau .....
    Continuez !
    Miquelet

  • Toujours de super textes illustrés! Merci Christian
    Et bonne activité au Docteur Dragomir, certains diront qu'il n'est pas d'ici ( moi non plus) Mais c'est un Docteur! et j'espère que le village et ses habitants seront sympas avec lui...c'est une grande chance pour tous....

  • Bonsoir

    Merci Momo pour ces superbes photos de toute la famille sauf le papa qui est resté bien loin de Chalabre pendant la guerre.
    Charles venait souvent sur ses pas d'enfance.
    Ma grand mère me disait toujours va chez Claire chercher...elle n'a pas pu se faire à Raymonde qu'elle a connu bien jeune.
    Il faut penser au dentiste Nelkin en haut de la maison qui venait de Mirepoix pour soigner nos dents. Il me semble entendre son pas lourd qui raisonnait dans la salle d'attente et cette roulette....

  • Ah oui Nelkin tiens !! Son pas était lourd, et de par sa corpulence il me terrorisait Il souriait tellement que je n'ai jamais su s'il avait un dentier ou pas (MDR). Combien de fois, j'ai monté l'escalier à reculons ! Scotchée sur le fauteuil j'ai sué tout ce que j'ai pu, sous la musique enchanteresse de sa roulette. A l'époque on arrachait plus qu'on soignait. Et quand sa pince se pavanait devant mon nez, victorieuse et ensanglantée d'une molaire récalcitrante, j'étais littéralement liquéfiée, ne faisant plus qu'un avec mon siège. On nous disait "tu manges trop de bonbons" .Tu parles !
    Cela reste gravé, ces bo..bos souvenirs !

  • J'y trouverais presque un air de la môme.....Ils sont très beaux tous les deux

  • Que de souvenirs..... Certains étaient bien placés pour faire des " essais" de nouvelles gourmandises qui nous étaient toujours proposées avec une gentillesse exceptionnelle. Si le produit n'était pas à notre goût, d'un rapide geste il revenait dans sa boîte d'origine pour, plus tard faire un heureux ....... Mais nous avions toujours quelques pièces tout de même, car le dimanche il fallait aller à la messe. Qui dit messe dit quête, Monsieur le Curé était alors lésé, Nous pensions que Raymonde l'ignorait, mais après l'office, les jeunes clients affluaient.

    Pour ce qui est du petit Pascal sur la photo, il s'agit de Pascal Servouze dont la famille parisienne ( amie de Raymonde ) venait pour les vacances. Ils logeaient rue du presbytère non loin de chez Aurélie et Irène Garros.
    Merci pour vos magnifiques articles.

  • Francis, tu me fais bien rire. Tu t'en tenais au fait de " savoir partager" .Ah ! les 400 coups de la jeunesse....D'une certaine façon cette quête avait un effet boomerang. Car Raymonde devait bien déposer son offrande tous les dimanches; Depuis tout ce temps, autant les uns que les autres, avons eu l'absolution. Avec les souvenirs de chacun il y aurait de quoi faire une série tv.

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