Photo archives, 3 juillet 2010, Equivita, Fête des Rues
« Combien de fois on a pu me rebattre les oreilles avec le récit des vaches d’Aurélie et d’Irène, qui redescendaient de Terre-Blanche et venaient boire tous les jours près de la petite chapelle du cours d’Aguesseau ? Et là j'arrive depuis le Pays-de-Sault, je vois bien l'oeuvre d'Ariel Moscovici,... mais le bassin est vide ! Je fais quoi maintenant ? ».