Le journal Le Courrier de l'Aude, daté du 18 mai 1913, rendait compte des précipitations qui avaient affecté le département de l'Aude.
Des nouvelles glanées sur les marches du tribunal de Carcassonne, dans Le Rappel de l'Aude en date du 31 mai 1889
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Le journal Le Courrier de l'Aude, daté du 18 mai 1913, rendait compte des précipitations qui avaient affecté le département de l'Aude.
Des nouvelles glanées sur les marches du tribunal de Carcassonne, dans Le Rappel de l'Aude en date du 31 mai 1889
L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du samedi 19 mai 2001.
Le plaisir de courir anime toujours Serge Murillo (Photo archives, Mai 2001).
La XIe édition du cross de Ginoles se déroulait le dimanche 13 mai dernier sous un ciel gris et bas, autant dire que les conditions étaient idéales pour affronter les dénivelés annoncés. L’épreuve organisée conjointement par le comité des fêtes de Ginoles et la Foulée des Trois Quilles proposait aux marcheurs puis aux coureurs un parcours de 10,6 km, parsemé de rampes redoutables pour les organismes.
Après avoir souhaité bonne route à leur ami Jean Plauzolles et à la cinquantaine de marcheurs partis en éclaireurs, Jean Martinez, Serge Murillo et Thierry Noy, partaient à l’abordage du chalet de Carach, perché à 500m. Un virage serré au ras du Moulin des Prés, une montée au train sur la route du Col du Vent et nos fondeurs enchaînaient une descente vitesse grand V pour retrouver la place de Ginoles où le chrono regroupait le trio chalabrois autour des 50 mn. A l’heure des récompenses, Serge Murillo classé deuxième en catégorie Vétéran 2 se verra remettre une superbe coupe offerte par Eugène Moreno, président des Foulée des Trois Quilles.
Toutes nos félicitations au trio Michel Pech-Robert Calvi-Eugène Moreno et un grand bravo à nos fondeurs. Avec une mention spéciale pour Serge Murillo qui sera cet après-midi à Lauraguel où l’ami André Allabert et son équipe donneront le départ de la 8e édition des Clochers du Razès. Seize kilomètres par monts et coteaux et pourquoi pas un nouveau podium pour « Puce » que l’on devine motivé comme jamais. Demain dimanche, ses équipiers des Foulées du Kercorb seront à Lézignan-Corbières où ils prendront le départ de la 9e Escapade de la maison de retraite, organisée par l’équipe de la JSL chère à Antoine Fantin et José Lopez.
L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 19 mai 2006.
Le onze féminin reste invaincu sur la pelouse du stade Lolo-Mazon (Photos archives, mai 2006).
Après une dernière victoire face aux visiteurs de l’Entente Naurouze-Souilhe (6-3), les Benjamins du FCC ont bouclé de belle manière la compétition 2005-2006. Avec huit victoires, un nul, cinq défaites, 53 buts inscrits contre 37 encaissés, les protégés de Jacques Cunillera terminent sur la troisième place du podium du championnat à VII de 1ère division, derrière leurs homologues de l’Entente Capendu-Badens et Saint-Hilaire. Un parcours très apprécié par un coach qui samedi 13 mai, a souhaité réserver une petite surprise à ses poulains.
Le groupe emmené par Jacques Cunillera, saison 2005-2006
A partir d’un classement basé sur trois critères (comportement à l’entraînement, comportement en match, bagage technique), Jacques Cunillera a fait l’appel de ses jeunes troupes réunies dans le club-house de la route de Lavelanet. En présence des parents invités pour la circonstance, une sympathique remise de trophées est venue combler l’ensemble d’un effectif excité à l’idée d’assurer bientôt la relève.
Auparavant, une rencontre amicale avait opposé les jeunes pousses à leurs mamans, sur le dernier carré de la pelouse du stade Lolo-Mazon et sous l’oeil admiratif des papas. Un nombreux public d’amateurs et de curieux allait ainsi assister à une prestation féminine des plus prometteuses, puisque les futurs membres du team fanion du Kercorb concédaient une défaite aussi courte qu’inattendue. Résultat qui devrait sans nul doute inspirer Marie-Eve Dumons, dirigeante du FCC et responsable du foot féminin au sein du District de l’Aude de football. Pour l’heure, les Benjamins du FC Chalabre sont en vacances, rendez-vous en septembre.
Les Féminines ont déjoué les pronostics...
... et laissent éclater leur joie
Jeannette avait fêté ses 90 ans en compagnie des amis de la chorale Eissalabra
Photo archives, Novembre 2012
Lundi 10 mai, un dernier hommage était rendu à Jeanne Pendariès, née Saurat, domiciliée Route de Lavelanet et décédée à l’âge de 98 ans. Née le 13 novembre 1922 à Carcassonne où son père Jean-Paul Saurat exerce la profession de facteur et vit aux côtés de son épouse Rosalie Escande, la petite Jeanne passera son enfance et son adolescence à Chalabre.
Dès l’âge de 13 ans, elle travaille à la confection Amiel, puis elle est embauchée à l’usine Canat. Lorsque la guerre éclate, elle devient correspondante de guerre et agit aux côtés de Georges Pendariès, qu’elle épousera après la démobilisation. Georges vient travailler en pays chalabrais, et épouse Jeannette en l’église Saint Pierre, le 15 janvier 1946.
Après la naissance de leur fille Monique, le 10 septembre 1946, Georges intègre l’armée de l’air et la famille s’installe d’abord à Châteaudun, puis à Strasbourg jusqu’à la retraite. Entre temps, un contrat signé avec l’armée française permet à Georges d’exercer en qualité de contrôleur aérien pendant douze années à Berlin. Avant un retour à Chalabre et l’installation définitive, route de Lavelanet.
D’un tempérament actif et joyeux, Jeannette avait intégré plusieurs associations, notamment le club du 3e âge et la chorale Eissalabra. Mais une autre passion l’emmenait tous les dimanches après-midi au Moulin de l’Evêque, chez Marie, où elle dansait en compagnie de Georges. En janvier 2006, Georges s’en va et elle reste seule, entourée de sa fille, de sa petite fille, de ses sœurs et de ses amis. Toujours coquette, coiffée, légèrement maquillée, Jeannette passait ses journées à lire, à faire des mots mêlés et à regarder la télé.
Au terme de la cérémonie religieuse célébrée en l'église Saint-Pierre, Jeanne Pendariès a été inhumée aux côtés de son mari Georges. En ces douloureuses circonstances, très sincères condoléances à sa fille Monique, à Karine sa petite-fille, à ses petits-enfants, à ses soeurs Irène et Henriette, à toutes les personnes que ce deuil affecte.