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  • C’était hier : De nouvelles recrues pour le quinze du Kercorb

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du lundi 31 juillet 2006.

    us kercorb xvDe nouveaux visages aux côtés du coach David Gayda. De gauche à droite, Olivier Carbonneau, Jacky Bouichou, Christophe Bach, Bruno Beffara, Eric Serano, Pascal Saint-Pierre, David Gayda, Fabrice Redon, Didier Rossi, Pierre Rossi, Thomas Rossi, Enzo Molini. Accroupis, Romain Sicre, Benoît Danjou, Fabrice Lagarde (Photos archives, juillet 2006).

    A quelques semaines du retour à la compétition, les rugbymen chalabrois étaient invités à se retrouver au club-house de la route de Lavelanet autour du nouveau bureau de l’US Kercorb et de son président Jacky Bouichou. Cette première prise de contact aura permis aux joueurs de faire connaissance avec une équipe dirigeante fortement remaniée qui a fixé ses objectifs pour la saison 2006-2007. Après les mots de bienvenue du président Bouichou, jeune retraité de retour dans sa vallée natale du Plantaurel, Olivier Carbonneau manager du club évoquait la décision prise par le comité de Midi-Pyrénées de repêcher deux équipes ayant terminé à la cinquième place de 3e série, pour les engager en championnat 2e série à la rentrée prochaine. Libre d’accepter ou de refuser l’offre, le bureau de l’USK proposait d’ouvrir le débat afin que chacun puisse s’exprimer sur le thème. Après avoir entendu les arguments des pour et des contres, et au terme d’une discussion très animée, un vote intervenait qui voyait l’option de rester en 3e série adoptée par 22 voix contre 12.

    L’objectif premier sera donc d’emmener le plus loin possible un groupe stoppé la saison dernière en demi-finale du championnat de Midi-Pyrénées par Saint-Sulpice-la-Pointe, juste après avoir éliminé en quarts les Tarnais de Cagnac-les-Mines, futurs champions de France. L’assemblée faisait ensuite connaissance avec les nouvelles recrues appelées à intégrer une formation qui verra son huit de devant particulièrement consolidé. Avec Christophe Bach (3e ligne ex RC Cathare), Bruno Beffara (3e ou 2e ligne ex Bonnac), Mathieu Canal (2e ligne ex RC Mirepoix), Fabrice Redon (pilier ex Quillan), Pascal Saint-Pierre (2e ligne ex Pézenas), Eric Serano (2e ou 3e ligne retour au club), et enfin Olivier Cazas, trois-quart également de retour au club.

    Le pack de l’US Kercorb sera entraîné par David Gayda (ex Limoux), seul point d’interrogation, la venue au club de Fabrice Calvène et Benoît Rabaud, deux joueurs pouvant évoluer en 1ère ligne et dont la décision est attendue. Pour l’heure, les joueurs sont invités à goûter encore à quelques jours de vacances, avant de se retrouver samedi 12 août au stade Lolo-Mazon pour un premier stage de préparation.        

  • Au revoir Nathalie

    nathalie rué

    Jeudi 15 juillet, un dernier hommage était rendu à Nathalie Rué, domiciliée rue Côte du château, décédée le 10 juillet à l’âge de 50 ans. Originaire de France-Comté et résidente en pays chalabrais depuis l’été 2008, Nathalie Rué était née le 26 novembre 1970 à Montbéliard (Doubs). Aînée d’une fratrie de huit enfants, les hasards de l’existence lui avaient offert l’opportunité de découvrir de nouveaux horizons, loin du massif familier du Jura. Conquise par la région sud, elle avait réussi à partager avec ses enfants l’attachement qui était le sien pour son nouveau pays d’adoption. D’un naturel réservé et timide, dissimulé derrière un sourire avenant, Nathalie Rué savait conjuguer gentillesse, amitié et honnêteté. Des qualités qu’un caractère toutefois bien trempé, ne laissait pas toujours entrevoir de prime abord. Passionnée par la musique, le dessin et la peinture, elle adorait également la mer.

    Les premiers jours de juillet l’ont enlevée à l’affection des siens, désormais sa mémoire va perdurer grâce à ce qu’elle a su transmettre à ses enfants et à ses petits-enfants. Ces derniers l’ont entourée de toute leur affection dans ses derniers instants, Nathalie Rué adorait Montbel, où ses cendres ont été dispersées.

    En ces douloureuses circonstances, très sincères condoléances à ses enfants, Maryline, Jesse, Anthony, Lisa, Aurore et Manon, à ses petits-enfants Maël, Leïla, Inaya, à Nadia sa maman, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

  • C’était hier : Luthès-Paris a pris ses quartiers à la gare

    L’article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du dimanche 30 juillet 2006. Il rendait compte de la signature du bail officialisant le partenariat entre la mairie de Chalabre, et son locataire, la société Luthès-Paris, installée en Kercorb depuis l’automne 2005.

    luthes-paris,mike et sandra wagstaffMike et Sandra Wagstaff aux côtés de Christian Guilhamat procèdent à la signature du bail (photos archives, juillet 2006).

    « Au train où vont les choses, les choses où vont les trains ne seront bientôt plus des gares ». Ce mot de Pierre Dac a pris récemment toute sa valeur avec l’installation dans l’ancienne gare de Chalabre de la société « Luthès-Paris », managée par Mike et Sandra Wagstaff. Cette société commercialise des instruments à corde fabriqués en Chine. « Nous avons vécu, mon mari et moi, une quinzaine d’années à Hongkong où j’avais une entreprise de lutherie et de réparation d’instruments anciens » explique Sandra Wagstaff, cogérante de la société. « C’est là que je me suis rendue compte qu’en près de dix ans, la fabrication manuelle d’instruments à cordes devenait de plus en plus performante et prenait une grande expansion. Ce phénomène est dû au développement de l’initiative privée et aussi au fait que le bois est sur place : l’érable pour le dos, les éclisses et les volutes, l’épicéa pour la table. Seul l’ébène nécessaire au manche doit être importé. Concernant les clefs, les Chinois utilisent un bois dur qui ressemble au buis, utilisé traditionnellement. C’est ce qui nous donné l’idée de créer une entreprise de distribution de ces instruments en France et en Europe ».

    luthes-paris,mike et sandra wagstaff

    L’entreprise créée en 2001 s’installera dans un premier temps à Vitry-sur-Seine, avant de choisir le Kercorb à l’entrée de l’hiver 2004. Elle emploie sept personnes et travaille en France, mais aussi avec l’Europe du Nord, tout en développant sa clientèle en Espagne et en Italie. « Nos clients sont essentiellement des luthiers qui souvent achètent les instruments non équipés et les habillent ensuite d’accessoires européens plus performants. Ce sont des clients exigeants qui veulent voir sur place les instruments que nous proposons ».

    luthes-paris,mike et sandra wagstaffLuthès-Paris travaille avec des ateliers sélectionnés offrant un travail de haut niveau. « Nous allons environ quatre fois par an en Chine, car nous devons garder le contact avec nos fabricants. Nous travaillons avec de petites structures, qui permettent des rapports plus souples, notamment lorsqu’il faut faire des modifications ». Luthès-Paris possède aujourd’hui une large clientèle, confortée par des mailings et la participation à trois salons annuels, Paris, Francfort et bien sûr Crémone, ville de naissance du violon et berceau d’Antonio Stradivarius.

    Jeudi 27 juillet, Luthès-Paris ouvrait ses portes par le biais d’une exposition de violons, violoncelles et contrebasses, là même où les trains observaient jadis une halte. L’occasion pour Christian Guilhamat, maire de la commune accompagné des membres du conseil municipal et du personnel des services techniques, de partager une soirée conviviale en compagnie de Mike et Sandra Wagstaff, hôtes des lieux qui ont ainsi officialisé leur partenariat avec Chalabre.

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