De gauche à droite, 1er rang, Jean-Claude Baby, Henri Cazas, François Lopez, Manou Saurel,  Hervé Franot.

2e rang, Michel Mesado, Christian Moralès, Daniel Lopez, Christian Franot.

3e rang, Vincent Mesado, Roger Silva, Gilbert Huillet, Robert Guilhemat, Joseph Pianetti.

4e rang, Francis Roméro, Henri Ferrier,  Emilien Carbonneau, Christian Canat, Roger Théron, Jean-Pierrre Sola, Roger Caux, Jean-Noël Silva.

En mai 1980, soit moins d’une année après sa création à l’initiative de François Lopez, gérant du café de la Paix, le Vélo Club Cyclotourisme jusqu’alors présent sur les routes dans un ensemble plutôt bigarré, se retrouvait dans les locaux de l’usine de chaussures Canat. Cette rencontre conviviale était le fruit d’une coopération entre les entreprises Canat et T2L Chimie, généreuses partenaires d’un tout jeune club des VCC, présidé par François son fondateur, assisté de Roger Caux pour le secrétariat et de Jean-Yves Avargues à la trésorerie.

Cette entente avait permis aux amateurs de vélo de se voir remettre leur toute première tenue officielle en bleu et blanc, couleurs sportives du Kercorb. Et au fil des interventions, chacun avait pris conscience des challenges futurs à relever, afin d’honorer un partenariat bienvenu et particulièrement apprécié. Etaient ainsi remerciés Christian Canat, Paul Diatchenko, Patrick Privat et Didier Arnoux, mécènes invités à rejoindre un jour ou l’autre le cercle des  fans de « la petite reine ». Avant de déguster un classique rafraîchissement, il était rappelé aux sociétaires du club de « Ne pas laver les maillots avant 15 jours », recommandation expresse du fournisseur.

De gauche à droite, Hervé Franot, Jean-Yves Avargues, Christian Canat, Roger Caux, Jean-Claude Baby, François Lopez.

1979, rassemblement sur les ruines de Fontrouge, à l'occasion de la création du club

De gauche à droite, Manou Saurel, Roger Caux, Marc Crombé, Joseph Pianetti, Momon Arnou, Francis Roméro, Henri Cazas, Christian Huillet, Christian Franot, Louis Gimenez, François Lopez, Henri Rouby, Daniel Lopez, Jean-Claude Baby, Hervé Franot, Jean-Yves Avargues.   

Le rassemblement s'est formé devant la halle de Rivel.

Le jeudi 27 octobre dernier, deux expositions d’information à propos du plan éolien porté par la société BayWa r.e. avaient lieu simultanément à Rivel et Sainte-Colombe-sur-l’Hers, communes directement concernées par une étude de faisabilité engagée au printemps dernier. Ainsi est-il prévu d’ériger quatre éoliennes aux abords du col de la ferme des Bouichous, perspective qui a amené l'association le Cri du Vent à donner rendez-vous à ses adhérents, invités en ce dernier jeudi d’octobre à venir signifier leur opposition à ce projet.

70 membres de l'association munis de pancartes et d'affiches, ont répondu présent à ce rassemblement initié en milieu de semaine. Les divers slogans scandés devant la mairie de Rivel, commune directement  impactée, se voulaient simples et clairs, « Respectez le cadre de vie des Rivélois », « Un pays sage respecte ses paysages », « Promoteurs éoliens, dehors »...

Promoteurs dénoncés lors de son intervention par le président de l’association, qui appelle « à refuser ensemble de voir notre territoire se transformer en zone industrielle à leur seul profit ». Préférant privilégier le développement des énergies renouvelables « à travers des installations à échelle humaine ».

Le groupe s'est ensuite dirigé vers Sainte-Colombe-sur-l’Hers pour y mener une opération similaire. Les discussions se sont engagées dans le foyer rural, en présence de Thierry Couteau, maire, et de Charles Ravot, représentant la société BayWa r.e. Ce dernier devait préciser que« la zone est suffisamment vaste pour étudier plusieurs variantes d’implantation des éoliennes. Elles seront situées à une distance d’environ 1 000 mètres des hameaux de Camp Bigou et Rivals, ainsi qu’à 1 500 mètres des centre-bourgs de Sainte-Colombe-sur-l’Hers et Rivel, quand la législation impose une distance de 500 mètres ».

Charles Ravot explique comment quatre éoliennes pourraient être raccordées au poste source de Lavelanet (Ariège), « pour une production électrique annuelle estimée à 30 810 MWh. Soit l’équivalent de la consommation domestique de 13 800 personnes (chauffage compris), soit près de 80 % des besoins domestiques de la Communauté de communes des Pyrénées Audoises ». Porteur du projet avec Killian Bodin, il ajoute que « la première année de développement du projet éolien se focalise sur les échanges avec les riverains du projet. Des études environnementales, acoustiques, paysagères et mesures de vent viennent d’être engagées avec la pose en octobre d’un mât de mesure. D’une durée de 12 à 18 mois, elles seront menées par des bureaux d’études indépendants de la région. Ces études permettront de préciser les caractéristiques et contraintes potentielles liées au projet ».

Avant de quitter les lieux, les opposants à ce projet émettaient encore un voeu : « Espérons que ces échanges constructifs permettent à Monsieur le maire de contrebalancer l'appât du gain par la valeur de notre patrimoine, et de retrouver la quiétude de nos beaux villages ». Comme il avait commencé, le rassemblement s'est terminé dans la bonne humeur.

Les adhérents du Cri du Vent en discussion avec Charles Ravot, représentant la société BayWa r.e.

L’information résonne comme une invitation pour une tournée générale, il s’agit en fait d’une invitation gracieusement lancée par Carolyn Rigby, directrice artistique. Engagée dans le projet depuis plusieurs mois maintenant, elle détient des plans passionnants pour amener le théâtre professionnel anglophone dans l'Aude et l'Ariège. Les personnes souhaitant en savoir plus, peuvent entrer en contact via l’adresse mail suivante : theatreanglais.fr@gmail.com

Une première représentation est d’ores et déjà programmée pour le mois de décembre prochain.

L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du dimanche 3 novembre 2002.

Georges et Colette Bisbardi vous réservent leur meilleur accueil (Photo archives, Octobre 2002).

C’était en novembre 1998, Elian et Sophie Cordani ouvraient les portes d’un nouveau commerce qui intégrait très vite le riche canevas des services de proximité existant sur Chalabre et le Kercorb. Au terme de quatre années d’une activité florissante, M. et Mme Cordani viennent de passer le relais à Colette et Georges Bisbardi, charmant couple en provenance de la région varoise. Chalabrois depuis la rentrée de septembre, avec Florent et Rémi leurs deux jeunes enfants, les nouveaux gérants qui exerçaient auparavant à Draguignan effectuent en quelque sorte un retour aux sources. Voilà cinq ans en effet, ils résidaient à Montolieu où ils veillaient aux destinées du bureau de tabac et dépôt de presse local. De plus, Colette Bisbardi possède des racines à Chalabre, par le biais de la famille Faur, vieille famille du pays, son grand-père fut instituteur à Rivel.

Bienvenue à Georges et Colette Bisbardi, à Florent et Rémi, avec les meilleurs vœux d’adaptation et de réussite en Pays du Chalabrais.