L'échange des anneaux pour Marine et Romain, sous le regard intrigué de Capucine.

C’était le grand jour en ce premier samedi de juillet, pour Marine Azam et Romain Sicre, citoyens de Cépie et Chalabrois de filiation, qui avaient choisi d’unir leurs destinées en présence d’une nombreuse et sympathique assemblée de parents et d’amis. Il suffisait de pousser la porte de l’ancien couvent des Capucins pour se retrouver dans le parc de la Maison Castres-Saint-Martin, superbe cadre au cœur duquel Marine et Romain ont échangé les traditionnels vœux, avant d’officialiser leur union, sous les regards complices de Jules et Capucine, leurs deux jeunes enfants.

Après le non moins traditionnel échange des anneaux, les témoignages d’affection et d’amitié exprimés par demoiselles et garçons d’honneur, ou membres de la famille, tous très inspirés, ont précédé une visite vers l’hôtel de ville voisin. Sous les lambris de la maison commune, un premier accueil permettait à Jacques Mamet, l’élu et l’ami, d’adresser des paroles emplies d’égards envers les jeunes mariés et leurs parents. Puis, Céline Amiel, maire adjointe de la commune, adressait à son tour des félicitations à Marine et Romain, avant de mettre à leur disposition les registres de l’état-civil.

Au terme du protocole officiel, guidés par un tracteur, sa remorque, et au son oublié de la sirène de la mairie, les nouveaux mariés et leurs invités ont rejoint la fraîcheur de la place Charles Amouroux. Très consciencieux derrière leurs pupitres, les solistes de la banda « Entre nous » ont assuré l’animation de l’apéritif, prélude à des agapes partagées dans la grand-salle de l'Abattoir. Agapes agrémentées de chorégraphies incontestablement travaillées, « orchestrées par un Sylvain des grands jours et surtout des invités magnifiques ». Une belle et grande journée réussie, pour laquelle les jeunes mariés expriment remerciements et gratitude à leurs invités. 

Sincères compliments aux heureux parents, à Martine Sicre, Patrice Azam et Nicole Rivals, à leurs familles. Et sincères félicitations et meilleurs voeux de bonheur et de réussite à Marine et Romain.

Le deuxième concert de la saison 2022 proposé par le collectif Musique en Kercorb, sera donné le dimanche 17 juillet à 17 h en la chapelle Sainte Cécile de Rivel (route de Puivert). Au programme, un rendez-vous avec l’ensemble vocal d’Est en Ouest, polyphonies orthodoxes et populaires d'Europe orientale.

Créé en 2015, l’ensemble est dirigé par son fondateur Vladimir Gomba, chanteur lyrique, basse, originaire de Crimée, où il a acquis une grande expérience vocale et chorale. Spécialiste de la musique orthodoxe, ce dernier transmet aux chanteurs les clés pour comprendre les caractéristiques et la dimension mystique des polyphonies slaves. Le projet de cet ensemble à géométrie variable (composé de quatre à huit chanteurs) est de faire vivre ici les musiques de l'Europe orientale et d'établir ainsi un lien artistique, humain et spirituel entre les peuples. Invité à chanter en France ou à l'étranger, l'ensemble vocal souhaite partager cette musique si profonde et universelle avec des artistes et des publics d'horizons variés. « C'est ainsi que le rayonnement de la musique, tant sacrée, spirituelle que profane, favorisera l'union des cœurs et des âmes... ».

Vladimir Gomba, chef de chœur, est diplômé en musique et en chant dans les universités de Simferopol et de Yalta. Il a été soliste du chœur de Crimée, avec lequel il a effectué des tournées dans toute l'Europe. Membre de plusieurs groupes vocaux, il a reçu plusieurs fois les premiers prix en quatuor masculin aux concours nationaux de chant sacré en Ukraine. Actuellement installé en France, il chante comme soliste dans des groupes vocaux et instrumentaux (Trio Balalaïka Kedrov, Kouban, Chersonèse...) et travaille avec différents opéras (théâtre du Capitole de Toulouse, Montpellier, Limoges, Nantes, Bordeaux…).

Entrée 15 €, adhérent  et groupe de 10 personnes, 12 € / par personne. Gratuit pour les moins de 15 ans. Réservation possible au 06 74 43 94 55.

Mardi 19 juillet, et pour la deuxième année consécutive, Chalabre mettra ses pendules à l'heure du Tour de France. Pour que la fête soit complète, les services de la mairie communiquent les informations suivantes :  

Affiche TDF 2022.pdf

L'équipe d'Ineos revient en force sur la Grande Boucle

Oeuvre de David Compston

Photo archives, 29 mai 2021  

L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du samedi 12 juillet 1997.

Les Cyclos ne perdent pas une occasion pour s’illustrer brillamment sur les routes de France (Photo archives, Juillet 1997).

1997 semble être l’année choisie par les Cyclos du Kercorb pour multiplier les entorses à la tradition, optant pour une pratique franchement cyclosportive de leur « dada » favori. Ainsi, après avoir brillamment participé à l’ascension du « Toit du Vaucluse » lors de la troisième édition de la « Ventoux Tristan Mouric » en mai, les CCC dirigeaient dernièrement le cap vers Tarascon-sur-Ariège, afin de s’aligner au départ de l’Ariégeoise, épreuve cyclosportive de 160 km et dotée de 3.349 m de dénivelé. Dans un décor sauvage l’emmenant vers Vicdessos et le Port de Lers, le peloton chalabrois s’est frayé une petite place au sein de 1049 concurrents, pour franchir sans encombre ou si peu, le col de Latrape, le col d’Agnes et le col de Port, ralliant finalement le petit village d’Auzat pour un buffet campagnard bienvenu. Venus dans les lacets du Haut Couserans afin de se mesurer pour le plaisir dans une compétition avant tout amicale, nos Chalabrois se sont assez bien tenus, la palme revenant à Monique Rault, l'une des représentantes au sein du club, du sexe dit faible. Décrocher la première place dans sa catégorie avec un chrono de 7 h et 33’, voilà qui force le respect et qui en appelle à de chaleureuses félicitations, que ses partenaires sont heureux de lui adresser.

Prochain rendez-vous sur le vélo, ce samedi 12 juillet, les Cyclos du Kercorb s’élanceront alors depuis Pau à destination de Loudenvielle, objectif les ascensions des cols du Soulor, Tourmalet, Aspin et Val-Louron. Avec tous nos encouragements, et ceux peut-être plus discrets, des ours de la vallée d’Aspe.