Le 30 mars dans le journal le Courrier de l'Aude
1887 Courrier de l'Aude 30 mars
1890 Courrier de l'Aude 30 mars
1899 Courrier de l'Aude 30 mars
1912 Courrier de l'Aude 30 mars
1894 Courrier de l'Aude 30 mars
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Le 30 mars dans le journal le Courrier de l'Aude
1887 Courrier de l'Aude 30 mars
1890 Courrier de l'Aude 30 mars
1899 Courrier de l'Aude 30 mars
1912 Courrier de l'Aude 30 mars
1894 Courrier de l'Aude 30 mars
L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du mercredi 30 mars 1994.
Le bel ensemble des « Bleu et Blanc » du Kercorb
De gauche à droite, debout, Stéphane Alcoser, Stéphane Adel, Patrick Rouzeaud, Sébastien Ruiz, Franck Sauvage, Denis Payet, Eric Puerto, Guy Sanchez, Raymond Dumay, Gabriel Martinez, Laurent Mamet, Bernard Boulbès, Frédéric Massat, Christophe Berkane. Accroupis, Roger Dumay, Henri Cazas, Stani Lara, Cetin Ylmaz, Amar Helimi, André Alcoser, Christophe Campedel, Fabrice Jean, le petit Aurélien Moralès, Jean-Philippe Discala, Nicolas Discala, Alain Guilhemat, Anne Lacko, Antoine Salas, Santiago Martinez, José Martinez.
Photo archives, Mars 1994
André Alcoser est le coach du Football Club Chalabrois et s'il n'ignore pas que les résultats dépendent beaucoup du travail effectué sur le terrain, il sait aussi que l'environnement dans lequel évoluent les joueurs n'est pas à négliger. Dimanche 20 mars et malgré la défaite concédée face à Limoux, le club-house connaissait l'ambiance détendue et familiale dans laquelle les aficionados du ballon rond aiment se retrouver.
L'occasion de saluer l'heureuse initiative à mettre à l'actif de « Dédé » qui a permis aux footballeurs du Kercorb de se doter de superbes survêtements aux couleurs du club chalabrois. Félicitations à André Alcoser pour une affaire rondement menée, et remerciements une fois n'est peut-être pas coutume aux fumeurs, leur forte participation dans la vente de briquets portant la griffe du FCC ayant contribué en partie à l'achat de l'ensemble en « Bleu et Blanc ».
Comme toujours, la place Charles-Amouroux servira de cadre au jugement
Photo archives, 2017 mars, Carnaval à l'école Louis-Pergaud
Le carnaval de l'école Louis-Pergaud aura lieu le jeudi 4 avril après-midi, selon les horaires scolaires habituels, et muni de toutes les autorisations. Sur le thème « princesses, chevaliers et personnages de l'histoire », les parents sont invités à participer au défilé dans Chalabre et au jugement place Charles-Amouroux. Les parents volontaires pour accompagner (6 à 8), sont invités à se faire connaître auprès de l'équipe enseignante :
« Ils auront un rôle réel d'encadrement et veilleront à ce que tous les élèves de la classe ne s'écartent pas du cortège ou de la halle, et que tous retournent bien à l'école après le jugement pour partager la soupe à l'ail (ou plutôt le goûter). Si le temps le permet, Badaluquet sera brûlé en place Charles-Amouroux. Dans le cas contraire, la fête se poursuivra sous la halle pour les farandoles. « A vos déguisements ! ».
Leur fonction pollinisatrice est capitale
Benoit Lestienne est apiculteur et se propose d‘enlever gratuitement tout essaim d'abeilles qui aurait élu domicile près de chez vous, afin de lui donner une chance de survivre. « Par une journée chaude un essaim partira, c'est là sa façon de se multiplier. Un essaim autour d'une branche ne restera pas s’il n'est pas protégé, il faudra donc faire vite ou le suivre ».
Comme le rappelle Benoit Lestienne, les abeilles domestiques - Apis mellifera en Europe - vivent dans des ruches. Une ruche peut contenir jusqu’à 40 000 abeilles l’été, et descendre en dessous de 20 000 en hiver. La longévité de ces petites travailleuses varie aussi en fonction de la saison : elles peuvent vivre jusqu’à quatre mois l’hiver, alors que l’été, étant très occupées à butiner, mais également plus exposées au stress, elles s’usent plus vite et ne vivent que trente à quarante jours. En hiver, les abeilles adoptent la technique des pingouins et s’entassent en grappes pour garder la chaleur à l’intérieur du groupe.
« Depuis quelques années, la population d'abeilles est en très forte diminution, avec une disparition totale sur certaines zones. Ce phénomène porte le nom de Syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles. Subitement, les ruches se vident de leurs abeilles sans que l’on ne retrouve aucun cadavre à proximité. Ce syndrome est très préoccupant en raison de l'importance écologique de l'abeille en tant que pollinisatrice ».
Benoit Lestienne est joignable au 0033 777 033 864 (il est préférable d'envoyer l'adresse par SMS, les messages sur répondeur sont à éviter si possible).
Comment fabriquer un piège à frelons :
https://maison.toutcomment.com/article/comment-fabriquer-un-piege-a-frelons-asiatiques-14415.html