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Animations - Page 275

  • Un jour, quatre images

    La décennie des années 1970 se termine, et les musiciens de l’OPVC (Opération Vacances en Chalabrais), renforcés par leurs complices du Pitcharra Club, se produisent ce jour-là en Ariège. Les accords de leurs instruments résonnent sous les couverts, dans le cadre des Médiévales de Mirepoix, organisées pour première fois en 1979 (Photos Collection Richard Conte).

    opvc,médiévales MirepoixDe gauche à droite : Guy Bernard, Paco Lorca, Daniel Tournois, Régis Bonnéry, Jean Plauzolles, Francis Amouroux.

    opvc,médiévales MirepoixGuy Bernard, Paco Lorca, Jean-Jacques Conte, Francis Amouroux.

    opvc,médiévales MirepoixGuy Bernard, Anne Martinez, Jean-Jacques Conte, Paco Lorca, Jean-Claude Sibra, Francis Amouroux, Louis Thalamas, Régis Bonnery, René Tisseyre, Béatrice Sibra, Jean Plauzolles, Christophe Roncalli, Véronique Sibra, Serge Sibra, Nelly Roncalli.

    opvc,médiévales MirepoixChristophe Roncalli, Jean-Claude Sibra, Frédéric Paillard, Régis Bonnery, Véronique Sibra, Augustin Sibra, Daniel Tournois.  

  • Un goûter spectacle offert aux aînés de la commune

    ccas chalabre,charles bontéUn heureux moment de partage, entre gaîté et nostalgie mêlées.

    Le théâtre George-Méliès avait pris des airs de fête, mardi 19 décembre, à l’heure où les invités prenaient place. Sur un fond sonore dispensé par un duo musicien, réglage de balances oblige. Accueillis par les élus et les membres du centre communal d'action sociale, les aînés de la cité répondaient au rendez-vous proposé par la municipalité, dans le cadre des festivités de fin d’année.

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    Après les mots de bienvenue adressés par Jean-Jacques Aulombard, maire, et Annie Gazza, adjointe et présidente du CCAS, les regards se sont tournés vers la scène, où Charles Bonté, auteur, compositeur et interprète, a proposé un récital de chansons françaises (photo).

    ccas chalabre,charles bontéDe grands classiques populaires du siècle passé (1930 à 1970), de Reggiani à Bécaud, Aznavour, Brel, ont offert des moments d'émotion à un parterre invité à fredonner des compositions éternelles. Repris en cœur, Petit Papa Noël est venu apporter une furtive touche de mélancolie, avant un entracte gourmand, partagé dans la bonne humeur, grâce aux bons soins des élus et des employés communaux. Encore quelques refrains d’un tour de chant enlevé, et il était l’heure de prendre congé, chacun rejoignant son foyer avec le traditionnel colis de Noël.

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  • Les footballeurs jouent à quine

    Le FC Chalabre invite à la soirée récréative qu’il organise aujourd'hui vendredi 29 décembre à 21 h, au théâtre Georges-Méliès (ancien cinéma), au bénéfice des licenciés de l’école de football (12 € la planche de 4 cartons, 20 € les 2 planches). Douze quines et quatre cartons pleins seront à enlever (plus une consolante), avec jambons, magrets et canards gras. Le premier numéro sera annoncé à 21 h précises. Possibilité de jouer par ordinateur, après inscription au 07 88 82 43 99.

  • C’était hier : Sainte-Luce et Fluris unis dans un même charivari

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du lundi 24 décembre 2007.

    flurisFourbus mais heureux, les enfants ont « fait Fluris » (Photos archives Décembre 2007).

    L’ancienne halle aux blés a retrouvé en ce deuxième jeudi de décembre, sa cohorte de bouillants « arrosegaïres » toujours plus jeunes et toujours plus motivés. Après un bref tour de chauffe sur les dalles, et à défaut de fusil, ce sont les cloches de Notre-Dame qui donnaient le coup d’envoi du charivari version 2007.

    fluris

    Dès les premiers mètres, le pavé chalabrois étincelait dans la nuit noire, boîtes de conserve et autres ustensiles métalliques virevoltaient en autant de feux follets. Un brouhaha soutenu et intermittent allait ainsi fournir le spectacle, entrecoupé de pauses salutaires et mises à profit pour rappeler au quidam interrogateur, « Vei fa les ans que tueron Fluris ! ». Trop petits pour monter au château de Mauléon ou pour aller se recueillir sur la stèle du Tricentenaire, les nouveaux disciples du « chirbilhi » (adaptation selon Josèp), auront tout de même envahi les cours avec un bonheur certain, de la rue Saint-Ursule à la rue Saint-Antoine en passant par la rue Sainte-Anne.

    Tout cela sous la bienveillance de Sainte-Luce, patronne des couturières, qui ne serait patronne des électriciens que bien plus tard, et qui pouvait jeter un clin d’œil prévenant vers l’âme en peine du Sieur Jacques Fleury. Dans un ciel étoilé à souhait et en ce jour anniversaire, trois cent dix bougies brillaient de mille feux. L’horloge de Notre-Dame indiquait l’heure de rentrer au bercail pour une soupe bien chaude, mais avant, les enfants scandaient un dernier « Vei fa les ans que tueron Fluris ! ».

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