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Animations - Page 273

  • L’entente a été cordiale sur le hameau du Cazal

    cazal 2017Gaulois et légionnaires ont signé la Pax romana des deux mains. 

    Les festivités annuelles célébrées en l’honneur de Sainte Marie-Madeleine, ont réservé une surprise de taille aux Chalabrois, déconcertés par l’arrivée en leurs murs, d’une cohorte de lointains descendants tout droit venus des forêts profondes des Tataoubas. Progéniture illégitime de la tribu des Kercorbates, fondatrice en des temps immémoriaux de la cité lacustre du Cazal, ces héritiers ont fait circuler leur chaudron magique sur les cours Sully, Colbert et d’Aguesseau. Auparavant, cette clique pacifique avait satisfait au rite des ablutions dans les eaux thermales établies tout au long du parcours, bains supposés propices au renfort de la ceinture abdominale.

    A l’heure dite, chacun rejoignait les alignements mégalithiques du Cazal pour un festin dont Arnaud, Joël et Mathieu perpétuent le secret dans une hutte oubliée des hommes. Au cœur d’un village gaulois tolérant les refrains de son barde et la compagnie romaine, les temps forts se seront succédés, pour donner au millésime 2017, un caractère très chaleureux.

    Compliments aux éléments du FC Chalabre et aux « Festejaïres del Cazal », qui ont offert le temps d‘une fin de semaine, un dépaysement intégral dans l’antre d’irréductibles cazaliens.

    cazal 2017

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  • Les notes magiques du quatuor « Cordes et Ames »

    Cordes et Ames,rivel patrimoine,musique en kercorb,

    Un beau succès pour cet ensemble classique.

    Dimanche 16 juillet dans la chapelle Sainte Cécile de Rivel, l'association Musique en Kercorb accueillait le quatuor à cordes « Cordes et Ames ». Issus de l'orchestre du Capitole de Toulouse, ces quatre musiciens d'exception, déjà invités en 2014, ont interprété avec fougue et énergie, des oeuvres de Mozart, Chostakovitch et Schubert.

    Après le quatuor de Mozart, issu de la série « Les Milanais », oeuvres de jeunesse du compositeur, la pièce maîtresse en fut le quatuor n° 8 de Chostakovich, compositeur ayant vécu sous le régime stalinien, dénonçant excès et méfaits au travers de sa musique. Une présentation du musicien et du morceau en question, où se mêlent la petite et la grande histoire, permit de rentrer dans l'oeuvre et de l'appréhender avec recul. Oeuvre expressive et austère qui toucha le public, invité à se remettre de ses émotions à la faveur de l'entracte. Le quatuor « Rosamunde » de Schubert pour clôturer le concert, ainsi qu'un petit bis de Bach, et le public, ravi et conquis, pouvait partager sous le soleil de fin d'après-midi, le verre de l'amitié, offert par l'association Rivel Patrimoine.

  • Cent bougies pour Isabelle Pierobon

    isabelle pierobonIsabelle a révélé les secrets d’une vie bien remplie.

    Une ambiance de fête régnait dans les salons de l’hôpital local, en l’honneur d’Isabelle Pierobon, pensionnaire des Hauts-de-Bon-Accueil et alerte centenaire en ce jeudi 6 juillet. Depuis sa naissance à Tuchan, un vendredi de l’été 1917, et avant de devenir Chalabroise par les hasards de l’existence, Elisabeth, pour le registre de l’état-civil, s’est souvenue d’une enfance à Sallèles-d’Aude, où elle avait découvert le tableau noir de l’école communale. La petite écolière arrivera ensuite à Quillan avec ses parents et ses trois grandes sœurs. Elle travaillera chez Jean Bourrel, treize années dans l’univers de la chapellerie, avant de rejoindre Alice Simon, une de ses sœurs, coiffeuse dans la Grand-Rue. Elle épouse Raymond, boulanger rue de la Hille, qu’elle va accompagner en Béarn en 1959, lorsque Lacq commence à dévoiler les richesses de son sous-sol. Ils retrouvent la cité des Trois-Quilles en 1980, et après la disparition de Raymond en 1993, Isabelle Pierobon va partager son existence aux côtés de ses proches, et de sa sœur, Juliette Soulier, qu’elle rejoint à l’Ehpad de Chalabre en 2013.

    isabelle pierobon,hauts-de-bon-accueil

    Tout comme en 2015, lorsque Juliette, aujourd’hui disparue, avait célébré cent années d’existence, une date et un anniversaire ont été dignement fêtés en compagnie de la famille, des amis, et du personnel de l’hôpital. Chants, histoires, rien n’aura manqué à la fête, Isabelle Pierobon allant même jusqu’à emmener une chenille des plus entraînantes.

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    Après un poème lu pour les pensionnaires par Andrée Pont (photo ci-dessous), et un message de félicitations de Sylvie Soinnard, directrice de l’établissement, Isabelle Pierobon était invitée à souffler les bougies du gâteau aux accents d’une musique distillée par la clarinette de sa nièce. L’occasion de souhaiter à Isabelle, un très heureux anniversaire, avec admiration et respect.

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