Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

C'était hier - Page 525

  • Jour de rugby à Puivert

    C'était certainement un dimanche, et le stade municipal de Puivert, jouxtant l'actuel terrain d'aviation, avait drainé nombre de supporters venus encourager le quinze du Puy Verd.  

    puivert,edmond marty

    Le quinze puivertain. De gauche à droite : Debout : Jean Bigou, Faustin Bayle, Maurice Ruffat, ? Raynaud, Pierre Silvestre, ? Olive, ? Novak, Pierre Jourda, Gabriel Gallardo. Accroupis : Un de Rouvenac, Robert Jourda, Jean Baylac, Baptiste Gougaud, Henri Sabatier, Fernand Juliani, Alfred Nègre.

    Serein malgré l'imminence d'un coup d'envoi, Edmond Marty (photo ci-dessous), juge de touche officiel de l'Union Sportive Chalabroise XV, se dirige d'un air plutôt confiant, vers le périmètre de jeu. Immortalisée aux abords de la halle puivertaine, notre figure chalabroise semble apprécier à l'avance, l'intensité d'un derby que l'on imagine enflammé. Toutefois, et sans possibilité d'avancer une date, rien n'indique bien sûr que ces photos aient été prises le même jour.

    puivert

  • C'était hier : « Charivari de Fluris » : Patrick Lasseube a mené l'enquête

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du dimanche 2 décembre 2007.

    patrick lasseube,flurisEn 1997, Patrick Lasseube (assis au centre) avait participé à la célébration du tricentenaire de la mort de Fluris (Photo archives Décembre 1997).

    « Vei fan les ans que tueron Fluris ! » Chaque année au soir du 13 décembre, jeunes et moins jeunes participent à un tapage nocturne et pacifique consistant à battre le pavé en traînant des objets métalliques. Un « rambalh » qui perpétue le souvenir d’une mort violente, celle du Sieur Jacques Fleury envoyé « ad patres » un soir de décembre 1697, et dont on ne sait pas vraiment s’il était curé, braconnier, contrôleur de l’impôt du sel, bûcheron, valet du comte ?

    patrick lasseube,flurisUn mystère vieux de trois siècles que Patrick Lasseube, gascon d’origine, tentait de percer durant l’été 1984, aiguillé dans ses recherches par ses amitiés chalabroises et l’ethnologue Daniel Fabre. Ainsi commençait une grande enquête ayant pour but de collecter non pas l’impôt, mais les témoignages locaux auprès des doyens de la capitale du Kercorb. Conseillé par le département d’enseignement supérieur d’audiovisuel de Toulouse Le Mirail, Patrick Lasseube allait réaliser un remarquable diaporama, véritable outil informatif mis au service d’une vérité historique à dépoussiérer.

    Présenté en avant-première au mois de mars 1988 devant un parterre de Chalabrois attachés à la tradition, ce montage sera présenté le jeudi 6 décembre prochain, à 13 h 30, aux élèves du collège Antoine-Pons et de l’école Louis-Pergaud. La projection aura lieu au théâtre municipal et sera suivie d’une deuxième séance pour adultes et grands enfants, à partir de 20 h 30. Patrick Lasseube présentera son travail de recherches aux côtés de ses amis Roland, Bernard et Jean-Marie, amoureux des traditions et curieux d’en savoir plus, tout comme les générations de Chalabrois qui se sont succédé au rythme d’un « chirbilhi » annuel, défoulement sonore à la mémoire de Fluris.

    patrick lasseube,fluris

    Quand le fantôme de Fluris dévoile une stèle à sa mémoire (Photo archives Décembre 1997).

    patrick lasseube,fluris

    Archives, Théâtre municipal 6 décembre 2007

    patrick lasseube,fluris

    Archives, Théâtre municipal 6 décembre 2007

  • Un écrivain public s’est installé sur le Cours Sully

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du jeudi 29 novembre 2007.

    yves ettoriYves Ettori met sa bonne volonté et ses connaissances au service de ses nouveaux compatriotes (Photo archives, novembre 2007).

    Il est Ariégeois, natif de Pamiers, mais le Kercorb a toujours occupé une place privilégiée dans les souvenirs d’Yves Ettori, néo retraité qui choisissait voilà bientôt deux ans de s’établir au cœur du vieux Chalabre. Dans ce « village de caractère qui dispose d’un patrimoine architectural remarquable et des services essentiels », Yves Ettori a choisi de consacrer une partie de son temps libre à l’activité d’écrivain public. Fonction assurée d’ordinaire par des professionnels exerçant à titre libéral ou à titre salarié par des collectivités publiques ou des associations. Mais pour Yves Ettori, l’exercice est totalement bénévole et s’inscrit dans le cadre des activités du foyer d’éducation populaire. Il se propose ainsi de « prêter sa plume » à toutes catégories de public, personnes ayant des difficultés à écrire et pour des raisons diverses (apprentissage insuffisant de l’écriture, inaptitudes physiques ou tenant à l’âge, personnes de nationalité étrangère…). Le but étant d’assister ces personnes en les aidant à formuler leur problème et rédiger leurs courriers, démarches administratives, correspondance personnelle, récits de vie, …

    Depuis le 11 avril dernier, date à laquelle il s’est impliqué dans cette activité, Yves Ettori rencontre une « clientèle » constituée de publics de tous âges et de tous milieux sociaux. Les besoins exprimés sont divers mais portent pour l’essentiel sur des problèmes de correspondance avec les administrations, les services de la justice, les préfectures, les assurances. Souvent traités également, des litiges de consommateurs.

    Loin de vouloir se substituer aux professionnels du droit, Yves Ettori a parfaitement cerné son rôle et n’en ignore pas les limites. L’essentiel pour lui est de mettre en forme les démarches souhaitées par les gens qui le sollicitent, de les conseiller le cas échéant pour leur éviter des contentieux inutiles, de les orienter vers les services compétents.

    Lorsqu’il est invité à confier ses motivations, Yves Ettori avance deux raisons essentielles, sa passion pour l’écriture, et son expérience professionnelle. En effet, ses fonctions au sein de l’administration hospitalière l’ont souvent mis au contact des difficultés éprouvées par des personnes amenées à formaliser leurs écrits, sans parler des difficultés liées à la complexité du système administratif.        

    Il peut être contacté auprès du foyer d’éducation populaire (04 68 69 24 87) ou de la Communauté de Communes (04 68 69 21 94). Les personnes dans l’impossibilité de se déplacer peuvent solliciter une visite à domicile de la part d’Yves Ettori dont l’activité faut-il le rappeler est totalement bénévole et s’adresse à tous les habitants du canton de Chalabre.

  • C’était hier : Les Foulées du Kercorb en assemblée générale

    L’article mis en ligne avait été publié le mercredi 20 novembre 2002.

    foulées du kercorbLes fondeurs chalabrois ont les yeux rivés sur 2003. Claude Cnocquart, Thierry Cnocquart, Jean Martinez et Laurent Garcia posent en haut du col du Bac, à leur retour de la dernière édition de la course à Villelongue-d’Aude, organisée par l’équipe de Gilbert Prades (photo archives, juin 2002).

    Au terme d’une saison particulièrement bien remplie, les coureurs de fond chalabrois se retrouveront ce samedi 23 novembre à 17 h 30 au centre socio-culturel des Cèdres. L’assemblée générale annuelle du club permettra d’établir le bilan d’activités pour 2002, avant l’évocation des perspectives pour la saison 2003. Tous les passionnés de course à pied sont cordialement invités à participer à cette rencontre. Après le pot de l’amitié, les membres des Foulées et les sympathisants du club se retrouveront autour d’une bonne table.

    Dimanche 10 novembre dernier, les Foulées du Kercorb ont effectué leur dernière sortie sur route à Villegailhenc où se déroulaient les XVe Foulées de la Bade. Laurent Garcia chez les Espoirs, et Davina Azzi chez les Benjamines, ont eu les honneurs du podium, tandis que Thierry Noy et Antoine Azzi signaient un très honorable tête-à-tête avec le chrono. Après les courses sur route, place à présent à la saison de cross-country, rendez-vous le 1er décembre prochain à Carcassonne pour la 25e édition du Cross international de la Cité.