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C'était hier - Page 94

  • C'était hier : Victoria et Tana brisent la barrière de la langue

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du samedi 1er novembre 2003.

    tana edwins,victoria iles

    Tana Edwins et Victoria Iles, animatrices d'un atelier de langues

    Photo archives, Parc des Cèdres, Octobre 2003

    A l'instar de nombreux villages de la campagne languedocienne, Chalabre et ses environs, enregistrent, depuis plusieurs mois déjà, l'arrivée de nombreux résidents, venus essentiellement d'Outre-Manche. Séduits par la clémence du climat et le cadre naturel, attirés par les vieilles pierres et leur passé, ils souhaitent dans leur grande majorité s'intégrer à la vie locale du Kercorb.

    Cette volonté est souvent mise à mal par ce qu'il est convenu d'appeler la barrière de la langue, obstacle majeur qui devrait toutefois disparaître grâce à l'initiative de Victoria et Tana. Confrontées dans un passé récent à la difficulté de maîtriser la langue de Voltaire, Victoria, installée en pays chalabrais depuis 14 ans, et Tana, néo Chalabroise, ont souhaité créer un atelier de langues.

    « Vitalangues » est une nouvelle société qui va favoriser les rencontres et dispenser des cours de français intensif en petits groupes, selon la méthode dite d'immersion. Un premier stage est prévu le week-end du 29 au 30 novembre, dans le cadre de l'hostellerie de Rennes-les-Bains, un deuxième y sera organisé les 20 et 21 décembre prochain. Le siège social de « Vitalangues » se trouve au 19 de la rue Capitaine Danjou, où il est possible de rencontrer Tana et Victoria, également joignables au 04 68 69 37 52 ou au 04 68 69 25 65, adresse email : vitalangues@hotmail.com

    Pour l'heure ces stages sont destinés aux personnes désireuses de parfaire leur maîtrise de la langue française, dans un futur proche, Victoria et Tana proposeront une initiation à la langue de Thomas Hardy, stages qui se dérouleront sur le même principe.

  • C'était hier : Descente du col de Festes : retour vers le futur

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 31 octobre 2013.

    Les amateurs de cette course surréaliste peuvent laisser leur imagination en roue libre et fabriquer des engins extraordinaires.

    course du col de festes

    Les Chalabrois Dave Compston et Pete Newbury devraient être au départ

    Photos archives, Novembre 2010

    En 2011, les organisateurs de la célèbre « Descente du Col de Festes », avaient été contraints d'annuler un rendez-vous qui attire depuis trois décennies maintenant, tout ce que le Kercorb et la Haute-Vallée comptent de partisans inventifs et désireux de porter l'imagination au pouvoir.

    La bonne nouvelle est que les spécialistes de la discipline vont pouvoir se concentrer à nouveau sur la confection de prototypes, au volant ou au guidon desquels ils affronteront les virages serrés du col.

    Parcours sécurisé     Et ceci en toute sécurité puisque plusieurs aménagements du règlement ont été apportés, ainsi que la mise en place de balles de paille tout au long des six kilomètres d'un parcours sinueux.

    Dans ce contexte, il y a fort à parier que David Compston et Peter Newbury, citoyens chalabrois qui avaient vu la victoire leur échapper d'une roue en 2010, seront au sommet du col le samedi 9 novembre, pour une nouvelle tentative que Dave et Pete espèrent voir cette fois couronnée de succès.

    course du col de festes

  • C'était hier : Les agriculteurs en « brament »

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du samedi 30 octobre 1993.

    dédou mamet

    Le maïs dans un triste état

    Photo archives, Octobre 1993 au tournant de l'enfer

    Mardi soir, quelques gros producteurs de maïs de la région s'étaient donné rendez-vous chez Joseph Mamet dit Dédou, président de la société de chasse de Chalabre, pour évoquer les dégâts occasionnés à leurs cultures par le gros gibier.

    Et nous avons été très surpris ! Comme les communs des mortels, nous pensions que les sangliers étaient les ravageurs des champs de maïs. Détrompez-vous ! Comme le faisait remarquer un des présents, « C'est bien beau d'écouter le brame du cerf au moment des amours. Quand on n'est qu'amoureux de la nature et non producteur, on peut goûter à ce concert idyllique. Mais nous, agriculteurs, avons à protéger les fruits de notre travail. Ce ne sont pas les sangliers qui actuellement causent le plus de dégâts. Ce sont les cerfs, les biches et les chevreuils qui fréquentent régulièrement nos champs et gaspillent inutilement des centaines de pieds de maïs en les renversant sur leur passage et en les piétinant. Les responsables de la chasse doivent se rendre à l'évidence, cerfs et biches sont trop nombreux dans notre région ».

    Et là, de s'adresser au responsable des chasseurs : « Vous devriez vous arranger grâce à des battues -sans fusil s'il le faut- à faire fuir ces bêtes vers la montagne. Ou bien que les responsables revoient leur plan de chasse et donnent davantage de médailles à chacune des sociétés de la région. Ceci ne peut durer ».

    Quand on sait que les chasseurs de gros gibier ont vu monter leur timbre spécifique de 50 à 100 puis à 150 F pour payer les dégâts et que ces dégâts sont de plus en plus importants, eux aussi finiront par mêler leurs protestations à celles des producteurs.

    Ce qui pourrait faire faire un drôle de brame.

    dédou mamet

  • C'était hier : Du Blau au Chalabreil

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du jeudi 29 octobre 1998.

    Les as du piquet au café des Sports

    louis de méric

    L'ami Louis est un beloteur hors pair et l'incontestable favori des concours

    Photo archives, Louis Pratx de Méric, 15 mai 1994, Foire Association des Commerçants et Artisans au Champ Legrand

    Toujours aussi prisé, le concours de belote organisé par Thom et Marie a réuni, samedi dernier, un très grand nombre de concurrents. Malgré quelques plis de qualité, Louis Prats favori de l'épreuve s'est incliné en demi-finale, laissant la victoire finale à la paire Dilhat-Laffont, vainqueurs de MM. Goffin et Plantié. Prochaines donnes, le samedi 31 octobre prochain, au café des Sports.

    Le FCC se qualifie

    louis de méricSamedi soir en nocturne au stade Lolo-Mazon, le FCC est parvenu à arracher sa qualification face à l'US Belpech, au cours d'une rencontre engagée et disputée devant un maigre public.

    C'est le capitaine Frédéric Canal (photo Mars 1997) qui délivrera ses partenaires à la 75e mn, grâce à un tir superbe logé dans l'équerre du gardien visiteur.

    louis de méricUne victoire entachée par la blessure du néo bellopédien Isidro Martinez (photo Janvier 1997), crédité de sept points de suture après un télescopage aérien avec Christophe Berkane, son ancien partenaire du FCC.