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Cérémonies - Page 12

  • Célébration du 14 juillet 1789

    14 juillet chalabre

    A l'occasion de la célébration de la fête nationale, Jean-Jacques Aulombard, maire, et son conseil municipal, invitent les Chalabroises, les Chalabrois et leurs invités, à se retrouver devant la mairie, le mardi 14 juillet à 11 h. Le cortège constitué cours Sully, se rendra au monument aux Morts pour un dépôt de gerbe, avec un accompagnement musical assuré par la formation Batucada.

  • 8 mai 1945 : L’hommage aux jeunes patriotes

    8 mai 1945 à chalabre

    8 mai 1945 à chalabre
    Un protocole 8 mai 2020 singulier, pour Jean-Jacques Aulombard, maire de la commune.

    L’année 2020 n’aura pas permis la tenue d’une cérémonie, comme confirmé par le message du secrétaire général du ministère de l'Intérieur. En raison du prolongement du confinement, un rendez-vous des plus intimes s’est tenu au pied du monument aux Morts où le maire Jean-Jacques Aulombard a donné lecture du message du chef de l’état. Après le dépôt de gerbe, Roland Combes, fils de Roger Combes, dernier représentant de Rhin et Danube à Chalabre décédé en août 2018, est venu fleurir la stèle érigée à la mémoire des anciens de la 1ère Armée française.

    Célébré dans sa plus simple expression, sans porte-drapeaux, sans sonneries, par une délégation impromptue, le 75e anniversaire de la capitulation de l'Allemagne nazie aura avivé le souvenir de jeunes patriotes ayant combattu pour que leur pays recouvre une Liberté perdue.

    8 mai 1945 à chalabre

    8 mai 1945 à chalabre

    8 mai 1945 à chalabre

    8 mai 1945 à chalabre

    8 mai 1945 à chalabre

    Roland Combes a fleuri la stèle de la 1ère Armée Française

    8 mai 1945 à chalabre

  • Cérémonies annulées

    8 mai 1945 à chalabre

    L’année 2020 ne permettra pas de célébrer le 75e anniversaire de la capitulation de l'Allemagne nazie, comme l’a confirmé le message du secrétaire général du ministère de l'Intérieur :

    8 mai 1945 à chalabre« Suite à l'annonce par le président de la République du prolongement du confinement rendu nécessaire par la lutte contre le coronavirus COVID-19, nous vous informons que toutes les cérémonies organisées en dehors de Paris sont annulées jusqu'au 11 mai. Pour mémoire, les prochaines cérémonies nationales inscrites au calendrier et donc concernées par ces mesures sont : 8 mai, commémoration de la victoire du 8 mai 1945, 9 mai, journée de l'Europe, 10 mai, commémoration annuelle en France métropolitaine de l’abolition de l’esclavage ».

     

  • Après le virus, « il faudra tout remettre à plat, dans une mondialisation détraquée »

    abbé raymond cazaban,église notre-dame

    La prière universelle à huis clos de l'abbé Raymond Cazaban

    Depuis près d’un mois, les lieux de prière n’accueillent personne mais en cette semaine pascale, la nef de l’église Notre-Dame emplie de lumière, a tout de même vibré. A la faveur des messes du Jeudi saint et du dimanche de Pâques, célébrées à huis clos par l’abbé Raymond Cazaban : « Il faut garder le sourire ! ». De retour de sa promenade quotidienne, l’abbé Raymond Cazaban, échange quelques mots, à distance, en arborant ce sourire « qui doit nous aider à poursuivre le chemin ».

    Quelle perception avez-vous de la crise que nous traversons ?

    « Plus qu’une crise, nous sommes soumis à la virulence d’un virus que nous ne connaissions pas. Il passe nos frontières, il mord, il tue. Tout ou presque s’est arrêté. Partout. Nos rêves, jusqu’à la démesure, nous ont renvoyé à la mesure humaine et nous avons eu peur ».

    Cette situation peut-elle s’inscrire dans le temps ?

    « Déjà le sida nous avait laissé un goût amer, n’épargnant ni vieux ni jeunes. Nous n’avions contre lui ni remède, ni contre poison. Il a fallu longtemps… Nous avions même accusé tel ou tel de s’être laissé prendre par sa faute. Aujourd’hui nous n’oserions plus ».

    Que vous inspirent les attitudes induites par cette pandémie ?  

    « Sourcilleux comme nous sommes de la moindre atteinte à nos libertés, nous avons accepté d’un seul coeur de perdre nos aises et nos mobilités, pour ne pas risquer d’être complices de l’épidémie. J’aime que nous soutenions nos soignants, diplômés ou bénévoles. Ils sont chaque jour les plus exposés pour soigner et guérir. Ils ont aussi des enfants, des amis, dont la crainte du pire tourmente leur prière et leur espérance ».

    A qui s’adressait votre homélie de Pâques, à huis clos ?

    « Je prie pour les milliers de familles en deuil. Je sais qu’elles seront inconsolables. Le prix du sang, quand il faut le payer, est à prix cher, pour tous ceux qui demeurent confinés et qui connaîtront l’après ».

    Comment pressentez-vous cet après ?

    « Après ? Il faudra tout remettre à plat, dans une mondialisation détraquée, où les sous se feront plus rares, dans nos entreprises mises à mal. Et le virus ne sera pas pour autant éradiqué : il continuera à vivre dans nos rues. Tandis que notre science tentera de le vaincre, notre générosité, renouvelée dans ce drame, se saura plus humaine dans le respect de nos fragilités ».