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Ecologie - Page 12

  • Caudeval : La rivière Ambronne a refait son lit

    L'Ambronne aval février 2018.JPGResponsables et élus sur un passage à gué entre Caudeval et Moulin-Neuf.

    Elle prend sa source entre le Pech de Gendarme et le col del Tuquet (Saint-Benoît), la rivière qui a donné son nom au val de l’Ambronne, vient de faire l’objet de travaux initiés par le SBGH (Syndicat du bassin du Grand Hers). Réalisés dans le cadre du plan de gestion des cours d’eau 2016-2020, ces travaux, déclarés d’intérêt général, ont permis le désencombrement du lit (retrait des chablis et des encombres), un abattage préventif et des coupes de la végétation poussant dans le lit mineur de son cours. Par l’intermédiaire de la société SATF (Pamiers), la végétation poussant dans les courbes internes des méandres a été coupée, afin notamment de limiter l’érosion des berges opposées.

    La réception des travaux s’est tenue jeudi 15 février, en présence de Jean Cazanave, président du SBGH, Christophe Drelon technicien rivière, Evelyne Garros présidente de la commission Hers-Ambronne, Michel Boudlet pour la mairie de Caudeval et Bernard Carbonneau pour la mairie de Moulin-Neuf. Comme le précisait Christophe Drelon, « L’Ambronne a un fonctionnement de type méditerranéen, il connaît un assec important une grande partie de l’année. De ce fait, la végétation se développe dans le chenal d’écoulement. Les travaux ont été réalisés sur 9 km de l’Ambronne en son aval (rivière qui en compte 18 au total), depuis le pont de Peyrefitte-sur-l’Hers jusqu’à sa confluence avec l’Hers, à Moulin-Neuf ».

    L’opération (22.300 € HT) a été financée par l’Agence de l’eau Adour Garonne (60 %), le conseil départemental de l’Aude (18 %), le conseil départemental de l’Ariège (1,5 %, les travaux se situant principalement dans l’Aude) et le SBGH (20,5 %).

    Au final, un nouveau chantier mené à terme par le Syndicat du bassin du Grand Hers, en charge de l’entretien de 900 kilomètres de ruisseaux et rivières, répartis sur une superficie de 1 380 km² (de Cintegabelle à Comus et de Dun à Fanjeaux).

  • Les collégiens multiplient les gestes en faveur de l’environnement

    Recyclage Collège Antoine-Pons 001.jpgLes corbeilles ont été installées en plusieurs points du collège.

    L’initiative entre dans le cadre des bonnes résolutions prises en début d’année, les élèves de 6e du collège Antoine-Pons ont fédéré leur énergie au service du recyclage du papier. Dans le cadre des cours d'EMC (éducation morale et civique), les collégiens ont d’abord élaboré des affiches explicatives à destination de leurs camarades de classe. Des corbeilles en 17 points de l'établissement     Et grâce à une organisation spécifique, la collecte du papier, des cartouches d'encre et des ampoules, s’est mise en place avec beaucoup d’efficacité. Des corbeilles ont été installées dans dix-sept points de l’établissement, l’étape suivante étant l'acheminement du papier à destination d’un point de collecte. Une opération planifiée en interne, en partenariat avec la Communauté de Communes des Pyrénées Audoises ainsi que la mairie de Chalabre.

    Recyclage Collège Antoine-Pons 004.jpg

    Les vieux manuels deviennent des cahiers pour l'l'Unicef     Une autre action, désignée Ecogestes collège et menée avec le concours de deux services civiques, est une opération nationale, orchestrée par les éditions Belin et la société Veolia. Les manuels scolaires obsolètes du collège ont ainsi été récupérés, puis transformés en cahiers, et vendus au profit de l'Unicef. Une belle démarche qu’il faut saluer et encourager, grâce à des collégiens responsables et à l’équipe éducative.

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    Mise en place des affiches explicatives

  • Les chèvres de Monsieur Cédric aux espaces verts

    Chèvres Cédric 004.JPGDe l’eco-pâturage aux portes de la ville.

    Depuis plusieurs jours, les riverains du quartier de la gare bénéficient d’une quiétude parfaite, libérés de toutes contraintes sonores causées par tondeuses, rotors et autres fils à couper les broussailles. Aussi silencieux qu’efficace, un bataillon caprin dépêché par l’ami Cédric Courdil, éleveur sur les coteaux de la Sigalière, a en effet investi les lieux.

    cédric courdil

    Avec une énergie phénoménale, les chèvres, au nombre d’une douzaine, ont réduit à néant, un beau roncier qui avait cru prendre ses aises sous l’ancien four désaffecté de l’usine Canat. Visiblement, les consignes délivrées étaient strictes, mais la tache a semblé parfaitement correspondre au tempérament des pensionnaires de Cédric, ravies du menu proposé. Et heureuses de joindre l’utile à l’agréable, puisque le service des espaces verts de la ville s’est trouvé ainsi, un peu libéré de ses attributions estivales.

    Les biquettes reprendront bientôt le chemin de leur enclos, déterminées à accepter un nouveau contrat propice à la gestion durable des espaces verts de la commune.

    cédric courdil

    Un petit jeu de « cap a cap», à l'heure de la pause. 

    cédric courdil

    Contrat rempli ou presque pour les pensionnaires de Cédric Courdil.