Quand les eaux du lac de Chalabre se figent, c'était le samedi 7 janvier dernier (Photos Jean-Gérard Jean).



En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Quand les eaux du lac de Chalabre se figent, c'était le samedi 7 janvier dernier (Photos Jean-Gérard Jean).



L’assemblée générale annuelle de l’association « Cri du Vent », se tiendra le jeudi 26 mai à 18 h 30 dans la salle polyvalente de Courtauly. Les délibérations s’effectueront à la majorité des membres présents. A l’ordre du jour, rapport moral du président, rapport financier, renouvellement des membres du CA, élection du bureau, questions diverses et débat. Le rapport moral fera état de l’état d’avancement des projets éoliens sur le territoire.
Les collégiens ont élaboré des recettes à base de produits locaux.
Les élèves ont mis en valeur les circuits courts et les productions locales.
Cake épicé au potimaron, pain au pin biologique, gâteau aux carottes, jus de pommes, « wake-up red juice », tels étaient les mets proposés à la dégustation, mardi 26 janvier, par la classe de 5e du collège Antoine-Pons.
Cette dernière participe pour l’année scolaire en cours, à un projet académique sur le développement durable intitulé « Goûter le monde autour de soi ». Encadrés par Mmes Nuñez, leur professeure de Sciences de la Vie et de la Terre (SVT) et Ingrao, professeure d’Histoire et Géographie, les élèves ont adhéré à un projet réalisé en partenariat avec Gée Aude (groupe d’éducation à l’environnement), et l’association Eco-citoyennetés, dans le cadre du dispositif « Les collèges font leur Agenda 21 », soutenu par le Département.
Manger équilibré et se responsabiliser Les objectifs sont multiples mais s’articulent autour de trois axes essentiels : sensibiliser les adolescents à la consommation durable (manger local et de saison), les amener à consommer des légumes variés afin de mieux équilibrer leur alimentation, et enfin, faire des citoyens responsables respectueux de l’environnement, grâce aux éco-pratiques agricoles. Une des premières étapes basée sur plusieurs ateliers chez les producteurs de légumes biologiques à « Jardine », a permis de mettre en place ces différentes notions.
Vincent Bousquet, principal du collège, a accueilli les élèves et leurs invités.
Mardi 26 janvier était l’occasion de faire un premier bilan sous forme d’un goûter salé, préparé durant l’après-midi par les élèves, dans les cuisines de la Communauté de Communes, avec l’aide du chef et de son équipe. Les recettes ont été élaborées à partir de légumes de saison, produits à Chalabre ou aux environs. Dans le même temps, des affiches réalisées par les élèves, présentant le projet et les résultats de deux enquêtes sur les légumes et le gaspillage à la cantine ont été exposées.
Catherine Nuñez a détaillé les étapes du projet académique.
Houmous de betterave au cumin pour Reine Beauvois et Gwen Pierron.
Le film documentaire de Thierry Gentet propose une réflexion sur la gestion durable des ressources en eau.
Il y a urgence à mettre en place de nouvelles pratiques.
A l’initiative de l’association Lictp-Chalabre (Liens et Initiatives Citoyennes en Terre Privilégiée), une rencontre était proposée le jeudi 19 novembre, au Moulin de l’Evêque à Rivel. En présence de Thierry Gentet, réalisateur du film documentaire intitulé « Quand la Garonne aura soif », une nombreuse assistance a pu partager les inquiétudes suscitées notamment par le réchauffement climatique.
Accueilli par Roland Da Costa pour LicTP, Thierry Gentet (photo) a expliqué comment son film, non militant, prend le parti de raconter une histoire, à travers le périple d’un guide de montagne qui parcourt à pied les 580 km qui séparent la source de l’estuaire de la Garonne, et qui en fin de voyage fait le bilan.
« Tout cela est basé sur des données scientifiques de l’Agence de l’eau. En 2050, si nous restons bras croisés, la Garonne aura un déficit d’un milliard de mètres cubes. Dans mon documentaire, nous parcourons 150 ans, de 1900 à 2050. Les glaciers ont pratiquement disparu des Pyrénées (il reste 20 km²), et à l’horizon 2050, nous aurons 30% de neige en moins. Avec une évaporation accélérée dû à la chaleur, une consommation d’eau démesurée pour l’agriculture, et sachant que Toulouse tire son eau potable à 97 % de la Garonne, l'heure est venue d'imaginer des solutions. Barrages, retenues collinaires, économie d’eau grâce à une autre agriculture, nouvelles techniques pour piéger l’eau,… je pose le problème ».
Au terme de la projection, les intervenants ont évoqué quelques pistes ou solutions de bon sens. Comme une timide lame d’optimisme, pour chasser les nuages qui s’amoncellent sur le grand fleuve.
Roland Da Costa et le bureau de l'association « LicTP » ont assuré l'accueil du public.