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Fêtes - Page 18

  • C’était hier : Un violent orage s’est abattu sur la Fête des rues

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mercredi 5 juillet 2006.

    fête des rues chalabreLes chanteurs basques d’Egoa ont rendu le sourire aux festejaïres (Photo archives, Juillet 2006).

    C’est une journée synonyme d’amitié et de festivités, deuxième édition de la Fête des rues, qui n’aura pas connu le succès espéré en raison d’un ciel excentrique. Le déploiement d’attentions à mettre à l’actif du trio organisateur composé de Sarah Opel, Michel Alegre et Olivier Carbonneau aura été noyé par le violent orage qui éclatait à l’heure où les groupes d’animation s’apprêtaient à investir les cours chalabrois.

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    Les Grapp’s del Negret de Fronton ont eux aussi assuré malgré la tourmente

    Bandas, chanteurs basques, danseuses brésiliennes, jazz band, saltimbanques et bateleurs allaient rester confinés dans des vestiaires de fortune tandis qu’un véritable déluge s’abattait sur le Kercorb. Là-bas, sur la pelouse du stade Lolo-Mazon, la finale du 2e Challenge Bruno-Danjou opposant les Ecrevisses de Villefort aux Lauragais de Villefranche, se terminait sous les trombes d’eau.

    A Chalabre, où il était 18 heures et où il faisait déjà nuit, auvents et porches du cours Sully et d’Aguesseau étaient pris d’assaut, avant que les « bodegas » n’ouvrent enfin leurs portes. Les chanteurs basques d’Egoa étaient les premiers à braver les averses, bientôt suivis de la banda de Fronton, Les Grapp’s del Negret, et des artistes de l’association ADAPT, accompagnés d’un invité de marque en la personne d’El Quijote. Cette soudaine contre offensive allait décourager les éléments et le tempo musical regagnait une à une les rues de la bastide, enfin rendues à la fête et à ses « festejaïres ».

    Sous l’ancienne halle aux blés, Christof et l’orchestre Bailamor attaquaient une symphonie de tangos et de pasos dobles, la Fête des rues deuxième du nom était cette fois vraiment lancée. Bien au sec dans l’intimité des bodegas, chacun allait se remettre de ce flot d’émotions, et faire honneur à une 2e édition « Fête des rues », mise en œuvre par un comité passionné et à la peine, qui mérite de vives félicitations.

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    L'orage ne s'est pas encore invité à la fête du XV

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    Les Foulées du Kercorb proposaient des rondes autour du lac

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    Les quinzistes de Villefort, finalistes du Challenge Bruno-Danjou

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    La remise des trophées sous la halle

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  • C’était hier : Une paella géante aux Genêts

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du dimanche 30 juin 1996.

    fête aux genêts,henri cazasLe comité des fêtes aux fourneaux, avec le concours cette fois de Didier et Mireille Antonio (Photos, archives, Juin 1996).

    La colline des Genêts qui donna son nom au milieu des années 1960 au lotissement de la route de Lavelanet, était samedi, encore plus jaune qu’à l’habitude. C’était à l’occasion de la fête annuelle du quartier, organisée par le comité des fêtes du président Henri Cazas. Jaune comme les fleurs des Genêts, et jaune comme l’excellente paella servie à la tombée de la nuit, aux résidants et à leurs nombreux invités. Les connaisseurs qui avaient pris place sous le chapiteau ont eu le privilège de déguster une spécialité valencienne très délicate à maîtriser. Réquisitionnés par l’équipe du comité chalabrois, Didier et Mireille Antonio se sont parfaitement sortis d’affaire,  régalant du même coup une centaine de convives heureux de se trouver à pareille fête, malgré un froid qui aurait pu être désagréable, si la table n’avait pas été aussi accueillante. Félicitations à toute l’équipe, qui n’a pas hésité en ce dernier samedi de juin à remettre le couvert au Quartier Salinas, et qui espère retrouver son président Henri Cazas en pleine forme, à son retour d’Italie où il se trouve en villégiature avec Hermine son épouse.

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  • C'était hier : Le collège fête les vacances en musique

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 28 juin 2001.

    collège antoine-pons,opvcUne fois n’est pas coutume, l’OPVC a ouvert le bal (Photos archives, Juin 2001).

    Les décibels sont montés crescendo pour ce premier jour d’été au collège Antoine-Pons, à l’heure où potaches et enseignants célébraient leur fête de la musique. A l’initiative du foyer socio-éducatif, l’établissement dirigé par Claude Ruiz a soigné ses partitions tout au long d’une soirée exclusivement dédiée à la musique. A l’ombre des vieux acacias, les premiers invités sont entrés dans la danse, avec la complicité des solistes de l’OPVC, renforcés par un petit et néanmoins talentueux nouveau.

    collège antoine-pons,opvc

    Dans le même temps, Claude Ruiz principal du collège réservait à chacun son meilleur accueil, avant que les formidables cuivres de No Mambo n’enchantent à leur tour une assemblée en phase avec l’avènement de l’été. Le coin grillades connaissait à son tour un franc succès, tandis que sur la scène principale, le groupe Courtauly Power commençait à faire un joli tabac.Et tout se passait donc comme prévu, à ceci près qu’une petite surprise attendait M. le principal, lequel s’apprête à faire ses adieux à la cité chalabroise. Beaucoup d’humour et d’émotion, un cadeau très original, et un échange de messages qui auront fait mouche au cœur de l’auditoire et des intéressés. L’occasion pour nous de souhaiter à M. Claude Ruiz une parfaite adaptation en pays minervois, puisqu’il sera à la rentrée prochaine à la tête du collège de Rieux-Minervois. Les jeunes talents de Courtauly Power remettaient alors les watts en service, pour une soirée des plus réussies, musique en tête pour un début d’été en fête.

  • C’était hier : La fin des haricots à Montjardin

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 22 juin 2001.

    montjardin fêteLa paella a détrôné la vénérable « mounjetado » (Photos archives, Juin 2001).

    La liesse battait son plein samedi dernier au pied du col du Bac, à l’heure où le comité des fêtes frappait les trois coups de la fête annuelle de Montjardin. Une fois encore, ce grand rendez-vous de la gastronomie a réservé son lot de surprise, à l’adresse cette année des « accros de la moungeto », surpris de ne point retrouver à la pointe de leur fourchette, le fin du fin, le must du haricot.

    montjardin fête

    Il était un peu moins de 20 h 35 et plus de 130 convives allaient vivre un instant privilégié, avec l’arrivée sur la place montjardinoise d’un immense soleil jaune saupoudré de rouge et noir, porté à bout de bras par les dynamiques partenaires du président Francis Routelous. Ces derniers faisaient ainsi un téméraire pied de nez à la tradition en remplaçant l’indétrônable « mounjetado » par une paella qui allait se révéler tout simplement excellente. Les fins palais ne s’y tromperont pas, chacun faisant honneur deux fois plutôt qu’une à ce qui se fait de mieux là-bas, « por la Albufera de Valencia ». En remplaçant samedi les couennes par le safran, Francis Routelous savait qu’il jouait gros, mais ce coup d’essai magistralement réussi le conforte plus que jamais dans ses fonctions. Un grand coup de chapeau à l’équipe du président pour ce nouvel épisode de convivialité, prochain rendez-vous en juin 2002.

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